Archives mensuelles : juin 2020

Gaëtane Verbruggen, Circuit Court, les images (2)

Gaetane Verbruggen – Circuit Court
Gaetane Verbruggen
Sans titre, 2020,
Huile sur bois préparé, 14 x 20,5 x 4,2 cm
Gaetane Verbruggen – Circuit Court
Gaetane Verbruggen
Sans titre, 2019,
Huile sur bois préparé, 15 x 10 x 4,3 cm
Gaetane Verbruggen – Circuit Court
Gaetane Verbruggen
Sans titre, 2019,
Noix de coco et fusain sur papier marouflé sur bois, 14 x 21 cm
Gaetane Verbruggen
Sans titre, 2020,
Noix de coco et fusain sur papier marouflé sur bois, 14 x 21 cm
Gaetane Verbruggen
Sans titre, 2020,
Huile sur bois préparé, 17,5 x 11,5 x 4,3 cm

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Brecht Koelman, Circuit Court, les images (2)

Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman
2020-03-9
Huile sur lin, 27 x 22 cm, 2020
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman
2020-05-4
Huile sur lin, 20 x 25cm,
2020
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman
2020-04-4
huile sur bois, 20 x 25cm,
2020
Brecht Koelman
2020-05-13A
Huile sur panneau, 20 x 25 cm, 2020

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Loic Moons, circuit court

Loic Moons
Sans titre, technique mixte sur toile, 2020
135 x 90 cm

Cette silhouette rose fraichement bombée, c’est lui, c’est Loic Moons; c’est lui et son double. Librement, la silhouette occupe la toile comme le peintre balise son terrain de jeu, une friche permanente qu’il met en œuvre. Loïc Moons n’est pas bon client des magasins de toiles et couleurs. Non, il n’est pas propre sur lui. Il récupère, collecte, recycle les toiles et châssis usagés des amis peintres, les fonds de pots, quels qu’ils soient, de peintures industrielles. « J’aime à salir le support que j’ai choisi », dit-il. Si celui-ci est grand, tant mieux, le terrain de jeu n’en sera que plus ample, le geste aussi, les potentiels accidents plus nombreux. Un circuit court donc, qui trouve son naturel prolongement dans sa façon de regarder les choses et le monde, des images, des signes, qu’il happe sur les partages en réseaux, des images à portée de main ou plutôt d’écran, des « images d’ici et là », dit-il, qu’il s’approprie, réinterprète, triture, use jusqu’à ce qu’elles soient siennes, vocabulaire dès lors personnel, des images qui lui servent de béquilles, de « grigris, précise-t-il, qui me rassurent quand je ne sais plus trop où je vais ». Car, il est vrai, la peinture est une aventure, une émancipation continuelle, se libérer des images captées, s’affranchir de la toile, là où en strates et dans une permanente jubilation surgit la couleur.

Loic Moons
Sans titre, technique mixte sur toile, 2020
50 x 40 cm

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Brecht Koelman, le souffle

(…) Brecht Koelman, on le sait, – à la manière des dates paintings d’On Kawara – se contente de titrer ses peintures par la date du jour de leur réalisation, établissant ainsi un calendrier plus atmosphèrique que saisonnier, perception immédiate d’un espace et d’un temps donné, vécue dans une environnement spécifique. Sa peinture résulte des forces qui conjuguent la couleur, le rythme des formes, l’air qui circulent entre toutes ces choses qui constituent un paysage, l’air comme un vide, l’air comme un mouvement, l’air considèré pour lui-même. Ainsi touche-t-il –et cela n’a rien de paradoxal – à une logique intemporelle, celle d’un souffle suspendu. Ce processus ne pouvait que se cristalliser en ces temps pandémiques et cette inédite expérience du confinement. Pour ce Circuit Court, l’artiste a donc voulu très logiquement organiser la monstration de ses peintures au fil des semaines confinées passées dans son jardin. L’art au temps du corona, cet axiome repris ces derniers mois par tant de média paraphrasant le célèbre roman de Gabriel García Márquez ne fait, hic et nunc, que renforcer un processus vécu. Brecht Koelman parle ainsi de ses « peintures corona », toutes élaborées dans son jardin. « Durant toute la quarantaine, le temps fut exceptionnellement agréable, ce qui m’a permis de travailler à̀ l’extérieur de façon permanente, explique-t-il. J’ai peint essentiellement au jardin car je ne pouvais pas le quitter, et ce faisant, je constatais la sécheresse grandissante de la végétation ».

Brecht Koelman est philosophe de formation. Du jardin au Jardin, il n’y a qu’un pas, le Jardin d’Epicure, cette école philosophique ouverte aux hommes et aux femmes en 306 avant notre ère où Epicure enseigne les moyens de parvenir à l’ataraxie, cette paix de l’âme, cette tranquillité résultant de la modération et de l’harmonie de l’existence, principe même du bonheur. « L’idée d’un jardin enclos est récurrente dans mon travail, explique-t-il. Je peins souvent dans mon jardin, j’ai eu l’occasion de résider dans des endroits isolés comme Isola Comacina en Italie ou Vélez Blanco en Andalousie. J’ai aimé entretenir le jardin du monastère de Westmalle et j’ai envisagé d’y entrer ». L’idée même du confinement évoque ici le jardin enclos médiéval, l’Hortus Conclusus, thème iconographique et littéraire de l’art religieux européen, principalement dans les domaines de la poésie mystique et de la représentation mariale. « Ma sœur et fiancée est un jardin enclos ; le jardin enclos est une source fermée », lit-on dans le Cantique des Cantiques. « Le cosmos se reflète dans ce jardin, poursuit Brecht Koelman, comme dans les jardins orientaux. Je sens que mon travail est la résonance des forces en interaction que je perçois dans le paysage. Et cela présente de fortes similitudes avec le concept du ch’i dans le taoïsme, important pour de nombreux peintres tels que Zhu Da (Bada Shanren). Le coup de pinceau est donc une réponse directe, une traduction de ce qui est observé, comme le peintres chinois traduit le ch’i du paysage en ch’i du dessin. Ce concept de ch’i est similaire à celui du rouach, littéralement le souffle, qui se réfère, entre autres, à l’esprit de Dieu se promenant dans le jardin d’Eden dans la fraîcheur du jour, the cool of the day » (Genèse 3: 8). Tiens, The cool of the day, n’était-ce pas le titre de la précédente exposition de Brecht Koelman à la galerie ? Un souffle, une respiration. (JMB)

Brecht Koelman
2019-06-2
huile sur lin, 20 x25 cm, 
2019

(…) Brecht Koelman volstaat ermee om, zoals we weten, – op de manier van On Kawara’s datumschilderijen – zijn schilderijen te betitelen met de datum van de dag waarop ze zijn gemaakt, waardoor een kalender wordt gecreëerd die eerder atmosferisch dan seizoensgebonden is, een onmiddellijke waarneming van een gegeven ruimte en tijd, beleefd in een specifieke omgeving. Zijn schilderkunst is het resultaat van de krachten die zich bundelenin kleur, het ritme van vormen, de lucht die beweegt tussen al wat een landschap vormt, de lucht als een leegte, de lucht als beweging, de lucht op zichzelf beschouwd. Op die manier stoot hij – en dat heeft niets paradoxaals – op een tijdloze logica, die van een ingehouden adem. Een dergelijk proces kon niet anders dan zich uitkristalliseren in deze pandemische tijden en deze ongekende ervaring van opsluiting. Voor deze Circuit Court heeft de kunstenaar er daarom volkomen logisch voor gekozen om zijn schilderijen te organiseren aan de hand van de weken die hij afgezonderd in zijn tuin heeft door gebracht. Kunst in tijden van corona, dit axioma dat de afgelopen maanden is herhaald door zovele media, daarbij de beroemde roman van Gabriel García Márquez parafraserend, versterkt dus, hic et nunc, alleen maar een beproefd proces. Zo spreekt Brecht Koelman over zijn ‘corona-schilderijen’, alle gemaakt in zijn tuin. « Het was uitzonderlijk mooi weer tijdens de hele quarantaine, waardoor ik permanent buiten kon werken”, legt hij uit. “Ik schilderde voornamelijk in de tuin omdat ik die niet kon verlaten en merkte daarbij een toenemende verdorring van de gewassen op. « 

Brecht Koelman is filosoof van opleiding. Van de tuin naar de Tuin is het slechts een stap, de Tuin van Epicurus, deze filosofische school die in 306 vC voor zowel mannen als vrouwen werd geopend, waar Epicurus de manier onderwees om ataraxia te bereiken, deze zielsrust, die voortkomt uit matiging en harmonie in het bestaan, als grondslag voor geluk. “Het idee van een besloten tuin is een terugkerend thema in mijn werk”, legt hij uit. “Ik schilder vaak in mijn eigen tuin en deed residenties op afgezonderde plaatsen, zoals Isola Comacina of Vélez Blanco. Ik hield er van om de kloostertuin in Westmalle te onderhouden en overwoog om er in te treden.” Het idee van opsluiting en afzondering roept hier de middeleeuwse besloten tuin op, de Hortus Conclusus, een iconografisch en literair thema in de Europese religieuze kunst, voornamelijk op het gebied van mystieke poëzie en Mariavoorstelling. “Mijn zuster, o bruid! gij zijt een besloten hof, een besloten wel, een verzegelde fontein.”, lezen we in het Hooglied. “De kosmos werd weerspiegeld in deze tuin”, vervolgt Brecht Koelman, “zoals ook in de oosterse tuinen. Ik heb het idee dat mijn werk de resonantie is van op elkaar inwerkende krachten die ik in het landschap zie. Dit is iets dat sterke overeenkomsten heeft met het begrip van ch’i in het taoïsme, belangrijk voor veel Chinese inktschilders zoals Zhu Da (Bada Shanren). De penseelstreek is daarom een ​​direct antwoord, een vertaling van wat is geobserveerd, zoals de Chinese schilders de ch’i van het landschap vertalen in de ch’i van de tekening. Dit concept van ch’i is vergelijkbaar met dat van Rouach, letterlijk de adem, wat onder meer verwijst naar de geest van God die door de tuin van Eden wandelt in de de koelte van de dag, the cool of the day” (Genesis 3: 8). Tiens, The cool of the day, was dat niet de titel van de vorige tentoonstelling van Brecht Koelman in de galerie? Een adem, een ademtocht. (JMB)

Brecht Koelman
2020-04-4
huile sur bois, 20 x 25cm,
2020

(…) Brecht Koelman suffices, as we know, – in the manner of On Kawara’s date paintings – to label his paintings with the date of the day they were created, thus creating a calendar that is atmospheric rather than seasonal , an immediate perception of a given space and time, experienced in a specific environment. His painting is the result of the forces that bundle themselves in color, the rhythm of forms, the air moving between everything that forms a landscape, the air as a void, the air as movement, the air in itself. In this way he encounters – and there’s nothing paradoxical about it – a timeless logic, that of a breath suspended. Such a process could not but crystallize in these pandemic times and this unprecedented experience of incarceration. For this Circuit Court, the artist has therefore logically chosen to organize his paintings on the basis of the weeks he spent in his garden in isolation. Art in the time of corona, this axiom that has been repeated by so many media in recent months, paraphrasing the famous novel by Gabriel García Márquez, does nothing but reinforce, hic et nunc, a tried and tested process. Thus Brecht Koelman speaks of his ‘corona paintings’, all made in his garden. « The weather was exceptionally nice throughout the quarantine, which allowed me to work outside permanently, » he explains. « I painted mainly in the garden because I couldn’t leave it, noticing an increasing withering of the vegetation. »

Brecht Koelman is educated as a philosopher. It is only one step from the garden to the Garden, the Garden of Epicurus, this philosophical school that opened to both men and women in 306 BC, where Epicurus taught the way to attain ataraxia, this peace of mind that stems from moderation and harmony in existence, as a foundation for happiness. « The idea of ​​a private garden is a recurring theme in my work, » he explains. “I often paint in my own garden and did residences in isolated places, such as Isola Comacina or Vélez Blanco. I liked to maintain the monastery garden in Westmalle and considered entering it. ” The idea of ​​confinement and seclusion here evokes the medieval enclosed garden, the Hortus Conclusus, an iconographic and literary theme in European religious art, mainly in the fields of mystical poetry and Marian representation.  » A garden inclosed is my sister, my spouse; a spring shut up, a fountain sealed”, we read in the Song of Songs. “The cosmos was reflected in this garden,” continues Brecht Koelman, “as in the oriental gardens. I feel that my work is the resonance of interacting forces that I see in the landscape. This is something that has strong similarities to the concept of ch’i in Taoism, important to many Chinese ink painters such as Zhu Da (Bada Shanren). The brushstroke is therefore a direct answer, a translation of what has been observed, like the Chinese painters translate the ch’i of the landscape into the ch’i of the drawing. This concept of ch’i is similar to that of Rouach, literally the breath, which refers, among other things, to the spirit of God walking through the garden of Eden in the cool of the day ”(Genesis 3 : 8). Hey, The cool of the day, wasn’t that the title of Brecht Koelman’s previous exhibition in the gallery? A breath, a respiration. (JMB)

Brecht Koelman
2020-04-23
Huile sur lin, 20 x 25 cm,
2020

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Jacqueline Mesmaeker, Ah Quelle Aventure!, BOZAR (14), Valéry Larbaud en cascades, D’après Albrecht Dürer, A Childhood, Castor & Pollux

Valéry Larbaud en cascades

Valéry Larbaud en cascades est un jeu formel utilisant des mots tirés au hasard dans le prolongement littéraire de Valéry Larbaud. L’œuvre libère le langage de sa fonction habituelle en prenant la forme d’une colonne de mots dont l’interprétation est laissée au pouvoir associatif de chaque lecteur. Lewis Carroll en cascades est présentée plus loin dans l’exposition.

D’après Albrecht Dürer

En 2015, à l’occasion d’une exposition à la Vitrine Rivoli de JAP, Jacqueline Mesmaeker avait réalisé une série de dessins à partir de 3 cartes postales d’œuvres d’artistes célèbres :
2 de Picasso et une de Dürer. Cette dernière représente une esquisse extraite d’une lettre adressée à Willibald Pirckheimer le 8 septembre 1506. Ce leporello, tiré à 30 exemplaires signés et numérotés, rassemble l’ensemble des dessins inspirés du croquis ludique de Dürer.

A Childhood

Ce livre d’artiste, edité en 2011 par JAP, rassemble les pages dessinées au crayon par Jacqueline Mesmaeker dans le livreA Childhood de Francesca Allinson (Hogarth Press, 1937), qui lui fut offert et dédicacé en 1945 par Smithy, officier à la RAF en visite chez ses parents à Bruxelles. Ce cadeau fut toujours considéré par l’artiste comme un précieux talisman. Cette édition, tirée à 30 exemplaires signés et numérotés, reprend en lettres dorées la dédicace de cet officier en couverture et contient trois dessins originaux.

Castor & Pollux

En 2019, un échange entre deux amies a permis la découverte de deux reflets lumineux apparaissant sur un mur de briques rouges. Ces mystérieux fantômes ont été baptisés Castor et Pollux. Cette édition de JAP compte 30 exemplaires signés et numérotés + 5 Épreuves d’Artiste.

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Jacqueline Mesmaeker, Ah Quelle Aventure!, BOZAR (13), Time Table Fax, Lire et Écrire, Secret Outlines

Jacqueline Mesmaeker
Time Table Fax 1997
Suite de 32 fax envoyés entre le 8 janvier et le 15 février 1997 à Kirsty Ogg
pour l’exposition Slight – Norwich Gallery, Norwich, 1997 – Collective Gallery, Édimbourg, 1997
Courtesy galerie Nadja Vilenne (photo Philippe De Gobert)
Photo Philippe De Gobert

Time Table Fax

Time Table Fax est une série de 34 fax envoyés entre le 8 janvier et le 15 février 1997. Les fax ont été conçus comme une « correspondance » dans le prolongement de l’art postal, à l’occasion d’une exposition de groupe organisée par Lynda Morris à la Norwich Gallery. Ils montrent une diversité de sources : photos de famille, dessins, inventaires et listes de mots dans la lignée de la poésie concrète – qui rappellent les premières œuvres de l’artiste américain Carl Andre et se rapprochent d’œuvres de Mesmaeker telles que Cascades.

Lire et Écrire

Lire et Écrire (2005) est composée de deux pages (effacées) tirées du recueil ouvert La Cathédrale de brume (1983) de l’écrivain anversois Paul Willems, qui se termine par le discours qu’il prononça pour l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Les signets rouges marquent les pages que Mesmaeker a trouvées intéressantes dans cette réflexion méditative sur l’écriture et la lecture.

Jacqueline Mesmaeker
Secret Outlines, Docteur Johnson. Essai sur la fatigue, Childhood. Lenin. Versailles. Fontainebleau. Une chambre à soi et Théorie de la culture, 1996. Photo Philippe De Gobert
Photo Philippe De Gobert

Secret Outlines

Secret Outlines de 1996 montre 8 enregistrements vidéo de livres en train d’être feuilletés. Les pages sont rehaussées de subtiles interventions picturales et graphiques. Cette œuvre marque le moment où Jacqueline Mesmaeker choisit de considérer le livre, et non plus la galerie ou le musée, comme un lieu d’exposition.

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Brecht Koelman, Circuit Court, les images (1)

Brecht koelman
2020-05-13B
Huile sur panneau, 24×30 cm, 2020.
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman
2019-06-2
huile sur lin, 20 x25 cm,
2019
Brecht Koelman
2019-09-22
huile sur lin, 20 x 25cm,
2019
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman – Circuit court
Brecht Koelman
2020-03-17
Huile sur lin, 27 x 22 cm, 2020

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Jacqueline Mesmaeker, Ah Quelle Aventure!, BOZAR (12), Surface de Réparation, Melville 1891

Photo Philippe De Gobert

Surface de Réparation

Surface de réparation est présentée ici en primeur. C’est l’un des nombreux projets non réalisés par l’artiste dans leur totalité, mais repris partiellement dans d’autres œuvres d’art, en l’occurrence la vidéo I’m a Foot Fan. L’installation vidéo Surface de Réparation est constituée de deux images complémentaires au niveau du contenu. D’un côté, on voit un footballeur qui bouge sans ballon visible, générant une chorégraphie abstraite. De l’autre, nous apercevons tantôt l’image d’un ballon, tantôt celle d’une tâche de lumière sous forme similaire.

Photo Philippe De Gobert
Photo Philippe De Gobert
Photo Philippe De Gobert
Photo Philippe De Gobert
Photo Philippe De Gobert
Surface de Réparation, videostills
Photo Philippe De Gobert

Melville 1891

Melville 1891 de 2015 clôt cette exposition. Il s’agit d’une œuvre qui fait référence au livre posthume Billy Bud, marin de l’écrivain américain Herman Melville, qui raconte le destin tragique du matelot Billy Bud. La maquette du bateau en plâtre est un objet que l’on retrouve depuis 1981 dans différentes œuvres de Jacqueline Mesmaeker. L’image foisonnante en noir et blanc de fleurs portant le joli nom Belle de jour, que l’artiste a réalisée sur sa terrasse, éclaire le bateau comme une ombre floue à la lueur de la projection.

Jacqueline Mesmaeker
Melville 1891, 2015
Photographie argentique numérisée et projetée, maquette en balsa et plâtre. Dimensions de l’installation variables.
Collection BPS22, musée de la Province de Hainaut

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