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Emilio Lopez Menchero, Atomic Ping Pong, Cultuurhuis Meerelbeke

Suite logique de l’installation Prometheus / Eurochimic, créée l’an dernier pour la triennale brugeoise A porous City, Emilio Lopez Menchero poursuit sa réflexion sur l’atome. Il est l’invité de Cultuurhuis à Merelbeke, pour une exposition monographique  dont Luk Lambrecht est le commissaire. À partir dune perspective personnelle et autobiographique, il formule des analyses poétiques des aspects géopolitiques et idéologiques liés à la recherche  et à l’énergie nucléaire. Exposition accessible tous les week-end, de 14 à 17h, jusqu’au 30 mai. 

Emilio Lopez Menchero, Atomícela Ping Pong, détails

Le communiqué : 

NL

De openluchtkunstwerken ‘Flowers’ (Merelbeke, 2012, WOII) en ‘Mosterd’ (Avelgem, 2018, WOI) zijn de aanleiding voor de expo’s Atomic Ping Pong 1 en 2. Gekruid met zijn autobiografie, diept architect en beeldend kunstenaar Emilio López-Menchero (°1960) zijn betrokkenheid met gemeentes met oorlogstrauma’s verder uit.Tweemaal een intens plastische denkoefening over chemie, wapens, oorlog en vrede.

Centraal op deze expo zal een ‘Cloud’ staan, een constructie van aan elkaar geassembleerde pingpongballen. De 33 tekeningen rond ‘Flowers’ staan symbool voor de afstand tussen Avelgem en Merelbeke in vogelvlucht, nl. 33 km. De moleculaire beeldtaal, in Avelgem ontstaan, zet Emilio hier verder op een canvas van 18 meter. Met dit nieuwe werk legt de kunstenaar de focus op een intense verwevenheid tussen markante en diep in het collectieve geheugen gebeitelde gevoeligheden van de Grote Oorlogen, zonder daarbij het heden te vergeten.

FR.

Les œuvres d’art en plein air « Flowers » (Merelbeke, 2012, Seconde Guerre mondiale) et « Mustard » (Avelgem, 2018, Première Guerre mondiale) sont l’occasion des expositions Atomic Ping Pong 1 et 2. Au travers de son autobiographie, l’architecte et artiste visuel Emilio López-Menchero (°1960) explore plus avant son engagement auprès des communautés touchées par les traumatismes de la guerre.

Au cœur de cette exposition se trouve un « nuage », une construction de balles de ping-pong assemblées les unes aux autres. Les 33 dessins autour de « Fleurs » symbolisent la distance entre Avelgem et Merelbeke à vol d’oiseau, soit 33 km. Les images moléculaires, créées à Avelgem, trouvent leur prolongement sur une toile de 18 mètres. Avec cette nouvelle œuvre, l’artiste se concentre sur une interconnexion intense entre les sensibilités frappantes et profondément ciselées des grandes guerres, sans oublier le présent.