Archives par étiquette : publication

Au Comptoir du Livre, Affinités éditrices, carte blanche à l’Usine à Stars / galerie Nadja Vilenne

Exposition du 17 novembre au 15 décembre 2012

Vernissage le 17 novembre de 16 h à 19 h

En résidence au Comptoir du livre, L’Usine à Stars associe à cette exposition trois jeunes maisons d’édition avec lesquelles elle entretient des relations privilégiées, un rhizome de préoccupations communes, un intérêt constant et partagé pour quelques plasticiens, une certaine façon de concevoir une politique éditoriale.
Le Facteur humain est dirigé par Denis Gielen. Saskia Gevaert développe un catalogue de livres d’artistes exigeant. (SIC_) est une jeune plateforme éditoriale et curatoriale ; elle s’investit tant sur le plan plastique que théorique.
Chacun de ces éditeurs mène des activités singulières et se retrouve dans des intérêts partagés. Cette rencontre initiée par le Comptoir permettra de découvrir des livres, des œuvres et des livres d’artiste de Jacques Charlier, Kristien Daem, Koenraad Dedobbeleer, Edith Dekyndt, Peter Downsbrough, Olivier Foulon, Rodney Graham, Pascal Häusermann, Jacques Lizène, Bernd Lohaus, Capitaine Lonchamps, Michel Lorand, Jacqueline Mesmaeker, John Murphy, Tony Oursler, Walter Swennen, Raphaël Van Lerberghe, Peter Wächtler, Marie Zolamian.

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Capitaine Lonchamps et les Nègres du Kilimandjaro d’André Stas au Comptoir

Ce samedi 5 mai de 17 à 19h, André Stas présentera son dernier livre

LES NÈGRES DU KILIMANDJARO
Journal de voyage
suivi de Ce qu’en pense Yak Rivais et deLe Pot aux roses
avec neuf Neiges de Capitaine Lonchamps

paru au Crayon qui tue,
en présence de Thieri Foulc, éditeur et de Capitaine Lonchamps, illustrateur

Les errances et les intimités d’un personnage multiface : exactement cinq cent quatre-vingt-cinq faces dont les noms sont révélés, avec sept-cent quarante-neuf références, en fin d’ouvrage, dans la liste des « nègres ».
Digne de l’Oulipo.Un volume de 144 pages, sous couverture à rabats, avec gaufrage.
Neuf planches en pleine page.
33 exemplaires de tête non rognés, au format 16 x 22 cm, dont 3 sur japon retrouvé et 30 sur hollande Van Gelder, couverture Arches ivoire.
179 exemplaires sur vergé gris, au format 15,5 x 21,5 cm, couverture noire.

 

Aglaia Konrad, Carrara @ Wiels

Ce mercredi 21 décembre à 20h au Wiels à Bruxelles : présentation du livre « Carrara » d’Aglaia Konrad édité par Roma Publications.

Roma Publications @ WIELS
présente
Marc Nagtzaam – Reissue
Aglaia Konrad – Carrara

Conférences de Bart Verschaffel, Kris Kimpe & Koenraad Dedobbeleer
Musique par Marc Nagtzaam & Koenraad Dedobbeleer
Signature sur demande

www.romapublications.org

Jacqueline Mesmaeker, Oeuvres 1975 – 2011, souscription

La galerie accueille, dès le 18 décembre prochain, Jacqueline Mesmaeker. Cette exposition intitulée « Le premier jour du mois » sera accessible jusqu’au 12 février et balisera le parcours de l’artiste. Cette exposition est organisée à l’occasion de la publication d’un très bel ouvrage édité par (SIC) & couper ou pas couper, ouvrage dirigé par Olivier Mignon.

Nous relayons ici l’offre de souscription à cette publication :

APPEL À SOUSCRIPTION
Jacqueline Mesmaeker
OEuvres1975 -2011
Disponible le 18 décembre 2011

les éditions (SIC) & couper ou pas couper ont le plaisir d’annoncer la parution de

Jacqueline Mesmaeker. OEuvres 1975·2011

Il s’agit de la première publication monographique consacrée à l’oeuvre de l’artiste belge Jacqueline Mesmaeker (Uccle, 1929). Un catalogue prèsente quarante et une oeuvres à l’ aide d’illustrations et de notices, auquel s’ajoute une douzaine de textes éclairant la démarche de l’artiste, ainsi qu’une biographie et une bibliographie.
Edité sous la direction d’Olivier Mignon, avec les contributions de Muriel Andrin, Michel Assenmaker, Koen Brams, Laurent Busine, Corinne Glandou. Luk Lambrecht, Anaël Lejeune, Lynda Morris, Raphaël Pirenne, Benoit Platéus, Dirk Pültau, Philippe André Rihoux, Georges Roque, Thierry Smolderen et Pierre Sterckx.

296 pages – 21. x 28 cm – ISBN: 978-2-9600632 -9-5

En souscrivant avant le 17 décembre, vous bénéficiez d’un tarif préférentiel sur le prix de vente publlc et contribuez à la publication de l’ouvrage.
Un exemplaire: 30 € (au lieu de35€ )
Frais d’expédition (Belgique) : 6€ pour l’envoi d’l exemplaire, 8€ pour l’envoi de 2 à 7 exemplaires
Frais d’expédition (Fr. AIl. GB. Lux. PB) : 15 € pour l’envoi d’un exemplaire

Pour vous éviter des frais d’expédition. le livre sera en dépôt à la galerie Nadja Vilenne, 5, rue commandant Marchand, 4000 Liège durant toute la durée de l’exposition de Jacqueline Mesmaeker, Le premier jour du mois . . . du 19 décembre 2011 au 12 février 2012. Vernissage le 18 décembre à 15h00. Une permanence sera également assurée au siège de SIC. 54 avenue Van Volxem 1190 Bruxelles, les 20 et 21 décembre de 14h00 à 20h00. Le paiement doit étre réalisé avant le 17 décembre sur le compte Triodos de (SIC) asbl: BE27 523080441973

Mentionner en communication : SOUSCRIPTION JM et préciser Nom, Prénom et Adresse.

Jacques Lizène, revue de presse

Dans H.ART sous la plume de Colette Dubois:

Dans L’Express, sous la plume de Annick Colonna-Césari

Dans Télérama sous la plume de Laurent Boudier :


Dans Flux News sous la plume de Lino Polgato :

Toujours dans Flux News sous la plume de Lino Polgato :

Le Rendez Vous :  Jacques Lizène sera l’invité de Laurent Goumarre, sur france Culture, le lundi 21 mars à 19H

 

Leo Copers, Aux Tuileries, le livre

Cet ouvrage rétrospectif retrace les cinq ans du projet « Aux Tuileries » mené par la FIAC. Plus de quarante oeuvres exposées en extérieur sont présentées dans ces pages. Les sculptures de Richard Long, Car Andre, Ugo Rondinone, Subodh Gupta de Tony Cragg ou de Franz West, les installations de Claude Lévêque, Kimsooja, Mona Hatoum, Michelangelo Pistoletto, Yayoi Kusama ou de Mark Dion se sont succédées dans les allées du jardin. Chaque oeuvre est accompagnée d’une notice explicative. Outre un texte de Jennifer Flay, directrice de la FIAC, cet ouvrage contient des contributions de Pierre Bonnaure, jardinier en chef du Jardin des Tuileries, de Marie-Laure Bernadac, chargée de l’art contemporain au musée du Louvre, et d’Henri Loyrette, président directeur du musée du Louvre.

En 2007, la galerie présentait MIST de Leo Copers dans la Cour Carrée du Louvre.
Livre relié en édition limitée, 144 pages, 18 x 27 cm. Une coédition Dilecta / FIAC

« Mist », de Leo Copers, est une œuvre qui fait appel au mystère, à la féerie, aux rites séculaires liés aux rythmes de la nature.
Installation éphémère, elle fut réalisée une première fois le 21 juin 1977 dans une maison particulière, sans public, sans témoins. Phénomène étrange du solstice d’été, de 14h14 à 15h14 précisément, une vague de brouillard, une vapeur d’abord, une brume de plus en plus abondante ensuite, déferle le long des escaliers qui donnent accès à la maison. La porte est entr’ouverte, le brouillard sort de la maison. C’est comme si celle-ci rejetait les dernières froidures de l’hiver, un dernier petit coup de froid à l’heure des feux de la Saint Jean. L’œuvre agit comme un phénomène paranormal, surnaturel. Elle rappelle les contes et légendes, suscite un imaginaire empreint de rites, de traditions, de phénomènes inexpliqués, de mythes ancestraux relatifs à la mécanique céleste, aux solstices et équinoxes. Le solstice d’été est jour de la magie, c’était le jour le plus important de l’année dans les sociétés anciennes pratiquant les cultes solaires. « Mist » participe pleinement de ces mystères, tandis que l’artiste, absent comme à l’accoutumé, prend la figure du druide.
Cette œuvre n’a été répétée que deux fois depuis sa création. Une première fois lors de la réalisation d’un film relatif à l’artiste, réalisé par Danny Deprez. Une seconde fois dans le cadre d’une exposition temporaire toute récente organisée au musée en plein air du Middelheim à Anvers. En ce cas, l’artiste a investi un ancien pavillon isolé, à l’architecture désuète, sis au fond du parc. Autre rituel, pas si éloigné de l’original, le brouillard s’est échappé du pavillon tous les jours, à l’heure où le soleil est au zénith, comme un souffle durant quelques minutes.

  

 

 

 

Orla Barry, Suchan Kinoshita, Le modèle a bougé

Orla Barry et Suchan Kinoshita participent à l’exposition « Le modèle a bougé » au BAM à Mons. Jusqu’au 12 février 2012.

« Le modèle a bougé » : c’est en ces termes, empreints d’ironie, qu’Edgar Degas qualifia un jour les portraits réalisés par son contemporain Eugène Carrière, dont la pratique picturale se caractérisait par un certain flou. Etrange confusion entre la réalité du modèle et le procédé interprétatif de l’artiste… Au-delà de la dérision, Degas pose deux questions, étroitement liées l’une à l’autre : celle du rapport de l’artiste à son modèle et celle de sa relation au mouvement et à l’image. Cette problématique est omniprésente dans l’exposition au travers de disciplines pertinentes à cet égard : les arts plastiques, la photographie et l’image animée
« Le modèle a bougé » aborde, dans un dialogue étonnant entre les œuvres modernes et contemporaines, différents aspects tournant autour de cette thématique :
Seront aussi abordés les rapports entre peinture et photographie à partir de la question du temps de pose et du flou, parfois quasi imperceptible, dans les œuvres de Gerhard Richter, d’Eugène Carrière ou de Felten & Massinger. La fonction de l’atelier comme théâtre de la séance de pose du modèle, sera traitée au travers des œuvres poétiques et ludiques de Fischli & Weiss ou de Claude Cattelain, mais également des œuvres plus construites de Léon Vranken ou de Constantin Brancusi.
Saisir le mouvement, ou l’animation d’un modèle, est un des grands thèmes de l’histoire de l’art. Les relations entre les arts plastiques et les arts du mouvement, comme la danse ou la performance, seront ainsi développés avec les œuvres d’Henri-Cartier Bresson, de Gabriel Orozco et de Suchan Kinoshita. Enfin, les œuvres de Hans Bellmer et de Roni Horn, d’Ulla Von Brandenburg et de Hélène Amouzou feront retour sur cette problématique initiale du rapport de l’artiste à son modèle en se focalisant plus précisément sur les questions d’identité qui peuvent y être afférentes.

  

  

 

 

 

 

Benjamin Monti, Amnesia & Emulation

Benjamin Monti participe à l’exposition des finalistes au Prix de l’Emulation, soutien à la jeune création plastique, en compagnie de Cathy Alvarez Valle, Laurent Berbach, Alexia Creusen, Nolwenn de Couesnongle, Isabelle Francis, Françoise Hardy, Françoise Hottois, Charles-Henry Sommelette et Graziella Vruna.

Vernissage ce mercredi 9 novembre à 18h. Maison Renaissance, rue Charles Magnette à Liège. Exposition accessible jusqu’au 17 décembre, du mercredi au samedi, de 14 à 18h.

 

Signalons la publication toute récente de :

Amnésia, aux éditions Bruno Robbe.
Imprimé sur les presses de l’Atelier Bruno Robbe à Frameries
Cent exemplaires dont quatre-vingt numérotés et vingt épreuves d’artiste, tous signés par l’auteur. Septembre 2011. (D/2011/9206/01)

Jacques Lizène, au BWA Katowice

 

Jacques Lizène expose au BWA Contemporary Art de Katowice en Pologne du 23 septembre au 23 novembre. Plus d’informations dans nos prochains billets.

Jeering at everything and at himself, deliberately predisposed to farce and to being pitiful
A monographic exhibition dedicated to one of the most interesting post-war Belgian artists —Jacques Lizène (born 1946, in Ougrée, Belgium). As a fluxus movement adherent, he erases the boundaries between art, in the traditional meaning of the word, and the prosaic aspects of life, creating drawings, collages, photography and video. He combines happenings, painting, experimental poetry and music. Co-incidence, spontaneity, and sense of humour are all factors included  in his artistic activity. His actions resemble Dadaist games; playing art, playing with art, the art of play, which although self-mocking, become an important voice in the discussion about an artist’s place and role in society. In front of his audience, Lizène plays a magician, a shaman, a clown, who delivers tongue-in-cheek commentary on reality, the laws of physiology and the intricacies of identity.

A cette occasion paraît l’ouvrage « Jacques Lizène, remakes » co-édité par BWA Contemporary Art in Katowice / Atelier 340 Muzeum et l’Usine à Stars / galerie Nadja Vilenne. Avec des textes de Marta Lisok et Guy Scarpetta ainsi qu’un choix d’images commentés par Jean-Michel Botquin.

size: 21 x 27 cm
volume: 136 pages
edition: 1000 pieces
binding: softcover
reproductions in colour
languages: Polish/English/French
typesetting: Katarzyna Goczoł, Magdalena Piwkowska
ISBN 978-83-88254-64-2

“The fool circulates, moves, witters on about anything, laughs his head off, drinks himself blind, walks all night in the streets, dozes for an hour or two, then after a quick wash he starts again to play, messing, fooling and clowning around; he celebrates meetings with his many reliable friends, telling jokes every minute, presenting a farce every quarter of an hour, theorising on the side, never claiming or lacking anything, then again he drinks and seems to take nothing seriously, except for his very lack of seriousness. He is in turn ironical, delighted, enthusiastic, bad tempered or genial, shocking or delicate, notably when throwing himself into a tango or paso doble. He is precise or sluggish, attentive, miserable, trivial, elegant, extravagant, continually making a joke out of everything, and being stubborn to a certain extent.
His works, we clearly feel, are only a series of actions. Made freely, as if he hadn’t taken anything for himself; hence his praise of failure and defeat.”

Guy Scarpetta “A fool” (fragment)

L’ouvrage est disponible à la galerie