Archives par étiquette : Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero, Paintings, les images (3)

Emilio Lopez Menchero
La dame au bonnet vert à pois blanc (2018, acrylic paint on canvas, 60 x 45 cm

Emilio Lopez Menchero
Visage sur la route vers Chicago n°2 (2016), acrylic paint on canvas, 60 x 45 cm

Emilio Lopez Menchero
Trying to Be Regular on pale green (2018), oil on canvas, 200 x 160 cm

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Emilio Lopez Menchero, Paintings, les images (2)

Emilio Lopez Menchero
Trying to Be Regular on Gray (2018), oil on canvas, 200 x 160 cm

Emilio Lopez Menchero
Vénus de Brooklyn (2016), acrylic paint on canvas, 50 x 40 cm 

Emilio Lopez Menchero
Fragment américain (2017), oil on canvas, 50 x 40 cm

Emilio Lopez Menchero
Trying to Be Regular on Warm Gray N°2 – or Chicago (2017), oil on canvas, 200 x 160 cm

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Emilio Lopez Menchero, Paintings, les images (1)

Emilio Lopez Menchero
GLOBAL / BOPAL / ORAL / BALL (2018), oil on canvas, 55 x 40 cm

Emilio Lopez Menchero
Trying to Be Regular on pale pink (2018), oil on canvas, 200 x 160 cm

Emilio Lopez Menchero
Visage sur la route vers Chicago n°1 (2016), acrylic paint on canvas, 60 x 45 cm

Emilio Lopez Menchero
Dame au voile noir (2018), acrylic paint on canvas, 60 x 45 cm

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Emilio Lopez Menchero, Van Mol tot Molenbeek, De Garage, Mechelen

De Belgisch-Spaanse kunstenaar Emilio Lopez-Menchero (°1960) onderzoekt in zijn werk op velerlei wijzen diverse vragen rond identiteit: die van de kunstenaar tot zichzelf, die van de kunstenaar in het hart van samenleving. Vanuit zijn sociale engagement probeert hij mythes en cliches te ontkrachten. De titel van deze tentoonstelling lijkt, vreemd genoeg misschien, een geografisch afgebakend kunstproject te omschrijven. Nochtans begeeft hij zich voor zijn tentoonstelling in De Garage aan een persoonlijke introspectieve zoektocht, in dit geval via het medium schilderkunst.

Vernissage ce 16 juin à 20h 

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Emilio Lopez-Menchero, Willem Vermeersch, Gaëtane Verbruggen, vernissage ce 8 juin

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous inviter aux vernissages des expositions personnelles de :

EMILIO LOPEZ-MECHERO
Paintings

Emilio Lopez Menchero

WILLEM VERMEERSCH
When You Come to a Fork in the Road, Take It

Willem Vermeersch

et dans le cadre des jurys de fin d’année de l’Ecole Supérieure des Arts de la Ville de Liège – Académie royale des Beaux-Arts

GAETANE VERBRUGGEN

Gaetane Verbruggen

Vernissage le vendredi 8 juin à 19h
Exposition du 9 juin au 15 juillet 2018
je – sa, 14-18h. et sur rendez-vous

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Emilio Lopez Menchero, Fondation Bolly Charlier, Huy

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero
Trying to be Valie Export, 2015

Emilio Lopez Menchero participe à :

Variée dans les approches, diversifiée dans les moyens d’expression, surprenante ou émouvante dans la forme ou le propos, incontestablement riche et de qualité… La cuvée 2018 du Prix triennal de la Fondation Bolly-Charlier – créé par Jenny Bolly dans le cadre de la Fondation qu’elle initia en 1979, et treizième du nom depuis lors – saura, gageons-en, satisfaire la curiosité des amateurs éclairés autant que celle des promeneurs occasionnels. Proposées dans l’église désacralisée de Saint-Mengold en raison des travaux qui mobilisent la galerie Juvénal, la sélection et l’exposition qui en découle livrent un panorama appréciable de la création actuelle, faisant la part belle aux installations ou propositions conçues spécialement pour le Prix (voire pour le lieu), à un art exigeant mais toujours accessible, à diverses formes d’engagement vis-à-vis de la société, ou de questions liées tantôt à l’actualité, tantôt à l’intimité – ou comment douze artistes, ici retenus, questionnent l’art tout en nous parlant du monde.
Les artistes : Caroline Bicheroux, Laurence Dervaux, Emmanuel Dundic, Cathy Coëz, Benoît Félix, Jean-Pierre Husquinet, Matthieu Litt, Emilio Lopez-Menchero, Tanja Mosblech, Dani Tambour, Bruno Vande Graaf, Romain Van Wissen.

Date: samedi 5 mai 2018 14:00 – dimanche 3 juin 2018 18:00
Lieu: Espace Saint-Mengold – Place Verte – 4500 Huy
Exposition accessible les mercredis, vendredis, samedis et dimanches de 14 à 18h.
Entrée libre.

La Fondation Bolly-Charlier est une fondation d’utilité publique créée en 1979 par Jenny Bolly-Charlier, artiste et philanthrope. Elle a pour but la promotion des arts à Huy et dans la région. Elle organise des expositions à la Galerie Juvénal (ou à l’Espace Saint-Mengold), place Verte, à Huy et attribue, tous les trois ans, un Prix de Peinture d’un montant de 5000 €. Le jury du Prix Bolly-Charlier est composé de l’ensemble du comité de sélection et d’intervenants extérieurs, variant d’une édition à l’autre. Chaque membre propose plusieurs artistes. Cette année, le jury a attribué le Prix de la Fondation Bolly Charlier à Emmanuel Dundic. 

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Emilio Lopez Menchero, Trying, the book

Lu dans La Libre Art, à propos de Trying, de Emilio Lopez Menchero

La Libre Arts

Trying
Emilio López-Menchero

2017
320 pages / 29,7 x 21 cm
Published by
MER. Paper Kunsthalle
Languages
DUTCH, ENGLISH, FRENCH
Authors
Luk Lambrecht, Hans Theys, Koen Van Synghel
Design
Studio Luc Derycke
ISBN
978 94 9232 152 7
Price
45.00 euros

Emilio Lopez Menchero

This book serves as a printed memory of the oeuvre of the artist Emilio López-Menchero (°1960, Mol). It documents and illustrates a selection of exhibitions, artistic projects and public performances created in the past 25 years.
Conceptually, the book is based on a statement by which López considers each of his actions a test against reality, an ‘attempt’. Within this context, the title of each project is consequently preceded by the prefix ‘Trying to -’; ‘Trying to situate’, ‘Trying to light up’, ‘Trying to question’,… By trying to infiltrate daily context, López-Menchero aims to generate new situations, confront with reality and contemplate on the meaning of art. Included in the book are essays and texts by Luk Lambrecht, Hans Theys and Koen Van Synghel.

MER Paper Kunsthalle

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Emilio Lopez-Menchero, Oh les beaux Jours, Biennale de Louvain la Neuve

Emilio Lopez-Menchero

Emilio Lopez Menchero

Performance au vernissage, le 6 octobre 2017

L’action urbaine que je propose au sein de Louvain-la-Neuve est composée en quatre mouvements : une criée, une récolte, une construction, une destruction.
Je sillonnerai les rues du campus en incarnant un « T’chanchès » réactualisé, poussant une charrette à bras, mégaphone à la main, vociférant un appel à la population. La demande sera claire: « Barricade! Barricade! Lâchez vot’ brol, meubles, bois, métaux, cartons, plastiques et autres encombrants en tous genres…Construisons une barricade!!! » Mon intention sera de tirer un trait, une limite, une frontière qui divisera une rue obligeant ainsi les passants à oblitérer leur chemin. En me rendant compte de la présence commerciale omniprésente dans ce campus, Louvain-la-Neuve m’est apparu comme un grand shopping mall où je pouvais me servir pour donner de l’épaisseur à une limite et faire participer les habitants et les commerçants. Le geste du « T’chanchès » sera donc une petite déviation éphémère de la destinée courante des rebus de la consommation pour une résistance urbaine. Son échelle est dérisoire à l’ère de l’anthropocène, mais elle marquera de manière infime un temps d’arrêt dans le flux de l’évacuation des déchets. Ceux-là mêmes qui nous préoccupent lorsqu’on en vient à réfléchir à notre empreinte humaine. Ce recyclage servira donc à construire un bastion pour résister. Mais résister à quoi ? Résister comment ? Résister pourquoi ? Et surtout résister à cet endroit-là : l’université. Résistance de pacotille certes, cette muraille terminera son périple dans la décharge municipale.

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Emilio Lopez-Menchero, Oh les beaux jours ! Biennale 9 Louvain la Neuve

Pour sa 9e Biennale d’art contemporain, le Centre culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve a fait appel à un duo de commissaires internationaux : le plasticien Angel Vergara (B) et le curateur et critique d’art Joël Benzakin (F).

Cette exposition prendra place dans l’espace public de Louvain-la-Neuve du 6 octobre au 10 décembre 2017. Installations, images, vidéos, performances et actions viendront rythmer cette manifestation tout au long de son déroulement.
Oh les beaux jours ! réunit de nombreux artistes belges et internationaux qui ont accepté de partager avec tous les publics leurs approches singulières des enjeux d’une époque pleine d’incertitudes où se posent à la fois les questions sur un monde qui se clôt et celles d’un avenir qui interroge nos pratiques, nos modes de vie et d’être ensemble, le futur possible d’un autre Commun.

Invités à proposer un projet, les commissaires ont souhaité que l’espace public de cette cité soit le terrain privilégié d’une possible rencontre, d’une proximité revendiquée entre l’art et ses publics, d’un partage d’expériences sensibles menées tout au long de cette exposition.

La volonté d’activer une plate-forme de propositions et d’échanges a guidé l’ensemble de cette démarche. Une position critique face aux pratiques habituelles de l’art actuel, face aux expositions prêtes à consommer et à la marchandisation de l’art. Une plate-forme expérimentale où peuvent se retrouver et travailler ensemble, artistes, universitaires, étudiants, acteurs culturels et publics.

Pour une esthétique des moyens disponibles est le sous titre de cette exposition. Une manière de manifester qu’au-delà des contingences matérielles souvent associées à la création contemporaine, de la modélisation des pratiques et de leur domestication économique, s’impose la nécessité de repenser nos modèles esthétiques, d’affirmer encore une fois que l’art est avant tout un “geste en pure perte”, une dépense non quantifiable, un échange désintéressé.

Cette exposition prendra place dans l’espace public de Louvain-la-Neuve du 6 octobre au 10 décembre 2017. Installations, images, vidéos, performances et actions viendront rythmer cette manifestation tout au long de son déroulement.

Emilio Lopez-Menchero

« Barricade ! Barricade! », 2017, par Emilio Lopez-Menchero
L’action urbaine que je propose au sein de Louvain-la-Neuve est composée en quatre mouvements : une criée, une récolte, une construction, une destruction.
Je sillonnerai les rues du campus en incarnant un « T’chanchès » réactualisé, poussant une charrette à bras, mégaphone à la main, vociférant un appel à la population. La demande sera claire: « Barricade! Barricade! Lâchez vot’ brol, meubles, bois, métaux, cartons, plastiques et autres encombrants en tous genres…Construisons une barricade!!! »
Mon intention sera de tirer un trait, une limite, une frontière qui divisera une rue obligeant ainsi les passants à oblitérer leur chemin.
En me rendant compte de la présence commerciale omniprésente dans ce campus, Louvain-la-Neuve m’est apparu comme un grand shopping mall où je pouvais me servir pour donner de l’épaisseur à une limite et faire participer les habitants et les commerçants.
Le geste du « T’chanchès » sera donc une petite déviation éphémère de la destinée courante des rebus de la consommation pour une résistance urbaine. Son échelle est dérisoire à l’ère de l’anthropocène, mais elle marquera de manière infime un temps d’arrêt dans le flux de l’évacuation des déchets. Ceux-là mêmes qui nous préoccupent lorsqu’on en vient à réfléchir à notre empreinte humaine.
Ce recyclage servira donc à construire un bastion pour résister. Mais résister à quoi ? Résister comment ? Résister pourquoi ? Et surtout résister à cet endroit-là : l’université.
Résistance de pacotille certes, cette muraille terminera son périple dans la décharge municipale.

Emilio López-Menchero
Espagnol, né en Belgique en 1960.
L’activité d’Emilio López-Menchero est pluridisciplinaire. L’intervention urbaine, l’action performative, l’installation, la photographie, le dessin, la peinture, le son, la vidéo font parties de ses outils.
En 1996, Il intervient sur le sol d’un garage avec un tapis montrant schématiquement, à échelle réelle, la capacité maximale humaine tolérée dans tout espace public réduit selon le manuel des architectes, le E.Neufert. Cette capacité est de 6 personnes au m2.
Il en fera aussi la démonstration en 2002, en dessinant le nombre total possible de silhouettes humaines sur la bâche d’un semi-remorque sillonnant les routes de toute l’Europe.
C’est à Berlin, en 1997 lors de sa résidence au Künstlerhaus Bethanien, qu’il appréhende pour la première fois la totalité d’une ville, avec un mini-monument : deux semelles de 18 cm de haut en béton peint en jaune réfléchissant.
En 1999 dans sa performance “Vu’cumpra ?”, à partir du pavillon belge de la biennale de Venise, il se transforme en marchand ambulant et vend dans les rues, des Atomiums souvenirs.
Jan Hoet l’invite en 2000 à l’exposition Over the edges, et lui demande d’intervenir sur un coin de Gand. En joignant ses propres mains en angle droit et en les ouvrant devant sa bouche, Emilio López-Menchero lui propose de lancer un cri, celui de Tarzan (Johnny Weissmüller), à travers toute la ville !
En 2001, en réponse à la commande d’un faux Picasso, il se propose lui-même en personne. Il commence dès lors la série “Trying to be”, autoportraits tentant d’entrer dans la peau d’un autre, qu’il définit comme performances photographiques.
Il réalise en 2006 à Bruxelles, l’œuvre publique Pasionaria, gigantesque porte-voix en acier où tout passant peut vociférer en pleine rue.
En avril 2010, il commande à un groupe de huit ouvriers intérimaires, professionnels de la construction, de circuler en portant un tube en polyéthylène de 12 m de long, d’un diamètre de 20cm, à travers toute la foire d’art contemporain de Bruxelles (Artbrussels).
En septembre 2010, en pleine crise politique belge, il installe une réplique exacte du Checkpoint Charlie. Habillé en policier militaire US, il bloque la circulation en plein cœur de Bruxelles, sur le Canal, à la Porte de Flandre, entre le quartier gentrifié de la rue A. Dansaert et le quartier émigrant de Molenbeek.
En 2012, sous le titre « Gare au gorille ! », il expose exclusivement des peintures à la galerie Nadja Vilenne à Liège.
Toujours en 2012, il participe à l’exposition TRACK, à Gand, avec le diptyque vidéo « Moscou-Bernadette » où il demande aux habitants de deux quartiers périphériques de lui chanter une chanson pour une joute musicale.
En 2013, il reconstitue en Suisse (eac-les halles, Porrentruy, Jura) la réalité conflictuelle de la ville palestinienne d’Hébron.
Plus récemment, en 2014/15 une rétrospective lui a été consacré à la Centrale for Contemporary Art à Bruxelles.

Les artistes participants : Artistes invités : Saâdane Afif, Francis Alys, Harold Ancart, Eric Angenot, Igor Antic, Younes Baba Ali, Isabelle Arthuis, Sven Augustijnen, Jérôme Basserode, Bernard Bazile, Carlotta Bailly-Borg, Mabe Bethônico, Alain Bourges, Nicolas Bourthoumieux, Jérémie Boyard, Lucia Bru, Camille Buiatti, Daniel Buren, David Claerbout, Vaast Colson, Luigi Coppola, François Curlet, Alec de Busschère, Krijn De Koning, Simona Denicolai et Ivo Provoost, Nico Dockx, Endeweld Dror, Lionel Estève, Doughie Eynon, Yona Friedman, Michel François, Lior Gal, Jean-François Gavoty, Kendell Geers, Céline Gillain, Aurélie Gravas, Amy Hilton, Pierre Huyghe, Ann Veronica Janssens, Svent’Jolle, Mathias Kessler, Gabriel Kuri, Erwan Mahéo, Pierre-Pol Lecouturier, Hervé Le Nost, Emilio Lopez Menchero, Leslie Martinelli, Gijs Milius, Michel Mouffe, Toma Muteba Lutumbue, Selcuk Mutlu, Antonio Ortega, Césare Pietroiusti, Régis Pinault, Benoit Platéus, Sébastien Reuzé, Gwendolin Robin, Helena Schmidt, Stalker, Pierre Tatu, Christophe Terlinden, Dominique Thirion, Luc Tuymans, Dennis Tyfus, Richard Venlet, Oriol Villanova, Noémie Vulpian, Sophie Whettnall

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Emilio Lopez-Menchero, Marcel(s), TAMAT, Tournai, vernissage ce 7 octobre

Emilio Lopez Menchero

Du samedi 07 octobre 2017 au lundi 13 novembre 2017

Ce sera une expo qui colle à la peau, un corps à corps avec le public.
Point de départ de cette invitation, Emilio López-Menchero décline le Marcel, du nom de cette désormais célèbre camisole créée par la compagnie du même nom à la fin du dix-neuvième siècle, une icône sociale et politique, une icône du siècle. Artiste multimédia, Emilio Lopez-Menchero brasse les images, il les essore. Avec pour fil conducteur le passé textile de la cité tournaisienne, il rassemble ici une série d’œuvres qui toutes évoquent des notions de frontières, de migration, d’aliénation ou d’émancipation. Bref, il tisse du sens.

Dans le cadre de l’art dans la Ville.
Vernissage le samedi 07 octobre à 11h.

9 Place Reine-Astrid
7500 Tournai

Horaire d’hiver, du 1er novembre au 31 mars
De 09h30 à 12h et de 14h à 17h
Fermeture le mardi et le dimanche matin

Horaire d’été, du 1er avril au 31 octobre
De 09h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30
Fermeture hebdomadaire le mardi

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