Archives de catégorie : Jacques Lizène

Jacques Lizène, Offscreen Paris, les images

Lu sur Instagram ces quelques phrases de Philippe Mangeot. :

Ces jours de bord des larmes où tu ne sais plus distinguer entre les petits emmerdements et les problèmes réels ; où tu rabats la débâcle du monde sur la dégringolade de certains de tes proches ; où tu n’as même plus la ressource de rire quand le flux du réseau déverse sur ton téléphone les affects les plus dégueulasses ; où la lecture de deux copies successives te convainc que tu es un prof médiocre – c’est forcément ta faute…

Et soudain, deux rencontres – une œuvre plastique, un livre. Elles ne te vengent pas, elles ne te réparent pas, on n’est pas chez les bisounours. Elles viennent sans avoir été appelées. Elles ne demandent rien, tu leur fais de la place, tu respires.

L’œuvre plastique, ce sont les photos de Jacques Lizène montrées par la galerie belge Nadja Vilenne dans l’exposition OffScreen à la chapelle de la Salpêtrière. Lizène est, avec Bas Jean Ader, l’un de tes héros paradoxaux : ce « petit maître liégeois », comme il se désignait lui-même, fut porte-drapeaux d’une médiocrité fertile, d’une idiotie apte à dégonfler toutes les baudruches, comme dans cette série de performances photographiques datées en 1971 où il s’efforce de rester dans le cadre jusqu’à l’occuper totalement en position fœtale, de s’y glisser subrepticement comme un intrus entre deux portes, d’adapter le cadre à ses bras en croix ou encore de gambader gaiement sur ses bords.

Le livre, c’est ‘Pot pourri’ de Liliane Giraudon, dont je l’ai entendue dire quelques pages l’autre jour à la librairie Les Mots à la bouche (elle était avec Vincent Broqua qui présentait son nouvel exercice de traduction louche, ‘Gaiamen’). J’en lis aujourd’hui une partie, et notamment les notations numérotées, rassemblées sous le titre « Ce qui s’affiche les nuits où tu n’as pas pu dormir », où s’expriment, au cœur du constat du vieillissement, la vigueur de la rage et la persistance de l’émerveillement – celui d’avoir vécu et de vivre aujourd’hu dans ce monde-là et dans aucun autre. Elle y parle souvent du « siècle dernier », dont je viens comme elle. Ce journal d’insomnie est écrit à la deuxième personne, ce « tu » n’est pas toi et il te déplace.

Merci à elle et lui !

Jacques Lizène, Offscreen, introduction

Contraindre le corps (1971-73)

Juste après son exposition Art Spécifique (1970), Jacques Lizène crée un ensemble d’œuvres filmiques et photographiques soulignant une approche spécifique au médium, des images toutes intrinsèquement liées à leurs titres qui décrivent les performances absurdes représentées dans les images. Ainsi en va-t-il de Contraindre le corps à s’inscrire dans le cadre de la photo, de Contraindre le corps d’une jeune fille dans le cadre de la photo ou de photographier un personnage refusant de subir la contrainte des limites du cadre de la photo, toutes ces œuvres participant d’un plus ample projet consistant à Contraindre toutes sortes de corps à s’inscrire dans les limites du cadre de la photo, y compris des corps de policiers. Image par image, l’appareil photo ou la caméra se rapproche de plus en plus du sujet, le forçant à se pencher de plus en plus jusqu’à ce qu’il apparaisse totalement contenu dans le cadre en position fœtale, un comble régressif pour un artiste qui adhère aux idées d’Émile Cioran dissertant de l’Inconvénient d’être né. Chantre du ratage et du fiasco, l’artiste-performer disqualifie son propre travail lorsqu’en 1972, il ne réussit pas à garder la tête et les pieds parfaitement au bord de l’image. Il barre dès lors son film à la main, image par image.

Jacques Lizène
Contraindre le corps nu d’une jeune fille dans le cadre de la photo. Projet : Contraindre toute sorte de corps nus ou habillés, y compris des corps de policiers à s’inscrire dans les limites du cadre de la photo, 1973. Accompagné d’un personnage refusant de subir la contrainte des limites du cadre de la photo, 1971-73. Photographies NB, impressions numériques, 9 x 40 x 50 cm, 2011. Dimensions du dispositif : 310 x 40 cm
Jacques Lizène
Personnage photographié refusant de subir la contrainte des limites du cadre d’une photo, 1973. Photographie NB, tirage argentique (1973), 16,5 x 22 cm. Encadré : 41 x 31 cm
Jacques Lizène
Un film barré à la main, 1971-1972
NB, sans son, Super 8 numérisé, 1’31, réalisation Galerie Yellow.
Avec la caméra placée à différentes distances, tentative ratée , d’inscrire le corps dans le cadre de l’écran, tête et pieds parfaitement au bord. 1971. Film barré image par image, à la main, en 1972

Travaux sur le cadre (1971)

Outre ses travaux sur les Contraindre le corps, Lizène développe une série de travaux filmiques et photographiques sur la spécificité du cadre de l’image : Entrer joyeusement dans le cadre, accrocher sa cravate au bord du cadre, se promener d’un bord à l’autre du cadre, se promener autour du cadre, s’identifier au bord de cadre, s’introduire simultanément dans le cadre de deux photos, etc. L’aspect performatif exécuté par l’artiste lui-même relie ce groupe d’œuvres au canon conceptuel, plus précisément à l’art conceptuel californien dont Bruce Nauman est une figure clé, un jeu conscient de soi et centré sur soi, une nouvelle relation avec la problématique de l’image mise en scène, une relation différente avec le réel. Usant, comme Bruce Nauman l’a également fait, d’une stratégie tautologique entre titre et image, Lizène donne à son travail une dimension humoristique, absurde, éminemment subjective, une stratégie qui s’inscrit parfaitement dans la lignée de la Subversion des Images (1929-1930) du surréaliste bruxellois Paul Nougé ou de René Magritte dans ses clichés amateurs. L’artiste devient objet perturbateur de l’image qu’il manipule par ailleurs. En 1990, Lizène déclarera être l’inventeur du conceptualisme comique, rejoignant sans le savoir puisqu’il ne les connaissait pas à l’aube des années 70, William Wegman, Bas Jan Ader ou Ger Van Elk.

Jacques Lizène
Petit Maitre liégeois hésitant à entrer dans le cadre de l’une ou de l’autre photo, 1971
Photographies NB, tirage argentique (1971), 18 x 24,5 cm. Encadré : 37 x 43 cm
Jacques Lizène
Promenade autour du cadre de la photo, 1971
16 tirages argentiques couleurs. 44 x 48 cm. Encadré : 62 x 79 cm

Pieds (minimal body art)
Petite chanson répétitive et non séductive à placer dans les galeries et les musées

Dans sa Rapide Autobiographie (Tome II), Jacques Lizène précise qu’il devient photographe non photographiant en 1971. Il fait réaliser par un photographe professionnel, en l’occurrence son galeriste Guy Jungblut, trois photos grandeur nature : ses deux pieds chaussés, ses deux pieds en chaussettes et ses deux pieds nus. Les trois photos sont destinées à être exposées au bas d’une cimaise de galerie ou de musée. Il compose, pour accompagner ces photos une première petite chanson non-séductive et répétitive pour cassettophone. Et il chante : Mais qu’y-a-t-il sur mes souliers ? Deux lacets lacés ou délacés. / Mais qu’y-a-t-il sous mes souliers ? Deux semelles caoutchoutées. Mais qu’y-a-t-il dans mes souliers ? Deux chaussettes et deux pieds. / Mais qu’y-a-t-il au bout de ces deux pieds ? Dix doigts agités, agités, agités. Houplalala, houplalala. Le tout est chanté sur un ton nasillard et très monotone, le chanteur envahi par une grande lassitude. L’artiste précise que ce genre de chansons doit être recommencé sans cesse par l’interprète jusqu’à l’épuisement ou le dégoût. De quoi agacer les visiteurs de la galerie ou du musée. Pieds, titre de l’œuvre, a été montrée à la Neue Galerie à Aachen en 1972 à l’occasion de l’exposition Lüttich, Galerie Yellow Now, ihre Künstler im Studio. Elle a également été exposée au Palais des Beaux-Arts de Charleroi en 1971 pour l’exposition Tendances… l’art jeune en Belgique. Au catalogue, elle y figure sous un autre titre, révélant une autre dimension de l’œuvre : Petit Body Art réalisé avec les pieds. Du minimal body art, dira Jacques Lizène, où du Body Art Nul, le petit maître agitant son gros orteil dans sa chaussure, dans l’esprit du perçu non perçu (1973)

Jacques Lizène
Pieds, minimal body art, 1971
4 photographies NB, 45 x 58 cm 
Petite chanson répétitive, pièce de musique non séductive à placer dans les galeries et les musées, 1971

Jacques Lizène, Offscreen, La salpêtrière, Paris, 21-26 octobre

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous informer de sa participation à la quatrième édition de OFFSCREEN, Installations, images fixes et en mouvement,  et exposera des oeuvres de

JACQUES LIZENE 

Contraindre le corps et travaux sur le cadre 1971-1973

Petit maître liégeois ayant accroché sa cravate au cadre de la photo, 1971

OFFSCREEN
Chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière, Paris

Entrée par le square Marie Curie
47, Bd de l’Hôpital, 75013 Paris

Public Days
Mardi 21 — samedi 25 octobre | 11:00 —19:00
Dimanche 26 octobre | 11:00 —18:00

Pour garantir une expérience de visite optimale, OFFSCREEN est accessible gratuitement sur réservation, en cliquant ici 

 

Paréidolie Marseille, Jacques Lizène, preview

Paréidolie Marseille, les images (1)

Sandrine Morgante imagine des procédés pour organiser et visualiser des informations par le biais du dessin, son médium premier et vecteur immédiat de la pensée. Elle se lance ainsi en 2015 dans l’étude exploratoire d’Infinite Jest, en anglais dans le texte. Un roman inclassable et complexe dans lequel l’auteur américain David Foster Wallace fait exploser tous les champs lexicaux et genres littéraires, toutes les règles et formes langagières. Une somme expérimentale où il est question d’addiction et de répétition pour dire un monde en déréliction et la dislocation des relations sociales dans un trop plein d’informations. Pour appréhender cette brique de mille pages (qu’elle n’a lue ni dans son intégralité ni de façon linéaire), Sandrine Morgante a opté pour une approche aléatoire et parcellaire. Elle a privilégié l’extrait pour traiter les données sur un mode obsessionnel et fragmentaire qui entre en résonance avec le roman, tant du point de vue de son signifié que de son signifiant. Ces morceaux choisis, elle leur a donné une forme visuelle, par le biais de fichiers numériques, d’animations sonores et graphiques, de dessins sur papier, d’une installation interactive. Selon une méthodologie ordonnée, elle invente des grilles analytiques et des index pour décortiquer le texte. (…)

WHERE WAS THE WOMAN WHO SAID SHE’D COME (“WWWWWSSC”) se compose d’un ensemble de grands dessins (crayon, feutre et correcteur sur texte imprimé) qui analysent le deuxième chapitre d’Infinite Jest, amorcé avec la phrase de l’intitulé (“Où était la femme qui avait dit qu’elle venait”). L’angoisse névrotique d’un personnage qui attend sa drogue est traduite par un long soliloque où les mots récursifs acquièrent une valeur générique qui convoque l’imaginaire collectif. Dans certains cas, le texte est tenu à distance, réduit à un rectangle grisé, autour duquel se déploie un espace de phantasmes stéréotypés, à l’instar de ces images dessinées (horloges, insectes), copiées sur les occurrences proposées par Google Images à la saisie de ces mots-clés. (…)

Plaçant le spectateur au cœur d’une constellation de signes, de données, de temps écoulé, ce travail monomaniaque et dense n’est pas sans évoquer celui de la conceptuelle allemande Hanne Darboven. Si ce n’est que Sandrine Morgante vit à l’ère du numérique, d’internet et de l’hyperlien illimité. Bienvenue dans l’infinie comédie de la polysémie…

Sandra Caltagirone (extraits d’un texte paru dans l’Art Même)

Dès le début des années 90, Lizène développe ses « Ahaharchitectures ». C’est évidemment le rire lizénien qui résonne ; ce pourrait aussi être une allusion pataphysique, tant ces projets sont des solutions imaginaires (bien que la ‘Pataphysique préfère Ha! Ha! à Ah !Ah!). Sur l’idée des Sculptures nulles de 1980, sur celle aussi de « Mettre sur roues n’importe quoi » ( 1974), Lizène conçoit des maisons aux styles composés et composites (Art syncrétique, 1964). Ce sont des sculptures pénétrables sur grosses roues d’avion, avec escaliers dépliants, en métal léger, plastique dur, plexiglas, dotées de panneaux solaires, de cheminées en forme de priape, de jardins suspendus, fontaines de fumée, écrans TV et écrans extra-plats en façade et bornes électroniques. Lizène résout ainsi une série de problématiques liées à la mobilité, à l’énergie, à la robotique domestique.

Paréidolie 2024, preview, Jacques Lizène

Jacques Lizène,
Minable Ahahaharchitecture, 1980, remake 1999, d’après des dessins médiocres de 1964-1966,
copie de dessin rehaussée et plastifiée, 42 x 30 cm
Jacques Lizène,
Minable Ahahaharchitecture, 1980, remake 1999, d’après des dessins médiocres de 1964-1966,
copie de dessin rehaussée et plastifiée, 42 x 30 cm

L’architecture occupe une place particulière dans l’œuvre de Jacques Lizène. Durant ses années d’études aux beaux-arts, il est déjà très attiré par les maquettes, les plans et tracés d’architectes. Ses premiers dessins médiocres (1964) en témoignent : des maisons s’y syncrétisent et dans une bonne logique de l’échec, du revers, des déboires et du naufrage, le Petit Maître dessine des traces de maisons démolies. Il les dessine en coupe aussi, révélant l’envers du décor, ses lézardes et ses décrépitudes. C’est déjà là un intérêt pour une archéologie contemporaine qui ne se démentira pas. Cela ne l’empêche pas de dessiner des buildings, mais la plupart du temps, ceux-ci gondolent. Le Petit Maître est d’ailleurs un grand technicien à rebours, puisqu’il tente de mettre au point un système de fenêtres gondolantes, à l’ondulation commandée électroniquement (projet de Sculpture nulle, 1980). Faut-il préciser qu’il est très admiratif devant le projet de moteur antigravitationnel de Panamarenko ? Non, bien sûr, cela va de soi.

Dès le début des années 90, Lizène développe ses « Ahaharchitectures ». C’est évidemment le rire lizénien qui résonne ; ce pourrait aussi être une allusion pataphysique, tant ces projets sont des solutions imaginaires (bien que la ‘Pataphysique préfère Ha! Ha! à Ah !Ah!). Sur l’idée des Sculptures nulles de 1980, sur celle aussi de « Mettre sur roues n’importe quoi » ( 1974), Lizène conçoit des maisons aux styles composés et composites (Art syncrétique, 1964). Ce sont des sculptures pénétrables sur grosses roues d’avion, avec escaliers dépliants, en métal léger, plastique dur, plexiglas, dotées de panneaux solaires, de cheminées en forme de priape, de jardins suspendus, fontaines de fumée, écrans TV et écrans extra-plats en façade et bornes électroniques. Lizène résout ainsi une série de problématiques liées à la mobilité, à l’énergie, à la robotique domestique.

Jacques Lizène,
Minable Ahahaharchitecture, 1980, remake 1999, d’après des dessins médiocres de 1964-1966,
copie de dessin rehaussée et plastifiée, 42 x 30 cm
 

Et côté Second Rayon, section érotique du Salon marseillais :

Jacques Lizène,
petit dessin médiocre, le sexe, la multitude, 1966.
Encre sur papier, 10 x 18 cm

Jacques Lizène, Future is now, Le Parvis, Tarbes – Ibos

Jacques Lizène participe à Future is Now, exposition du cinquantième anniversaire du centre d’art Le Parvis à Tarbes. Exposition du 15 juin au 5 octobre 2024.

Jacques Lizène, Sculpture nulle, 1980, art syncrétique 1964, sculpture génétique culturelle 1971-1984, danse de derrière le décor (le ballet d’entretien des lieux d’expositions afin de faire reluire le lieu écrin de l’art séductif), 2011
 

Le Parvis qui est l’une des premières institutions d’art contemporain à voir le jour en France est également l’une des plus atypiques. Et force est de constater que ces 5 décennies passées n’ont pas entamé l’engouement des artistes et des publics pour ce lieu intrigant, implanté dans un centre commercial et intégré à une scène nationale.

De l’empirisme des débuts et des espaces dits « d’expositions » ou « d’arts plastiques », mais pas encore appelés « contemporains ». Des accrochages « amateurs » sur cimaises brinquebalantes à la naissance des grands mouvements artistiques contemporains. De la décentralisation des lois Lang jusqu’à la prise en compte par les artistes des enjeux politiques et sociétaux. De la liberté qui fut laissée aux créateurs ainsi qu’à un écosystème de l’art balbutiant. Du rejet de la peinture à la promotion de l’art vidéo et du numérique. Aux années qui se recentrèrent sur l’expérience humaine à l’ère pourtant de la dématérialisation et du post-internet. Aux artistes et aux marchés super médiatisés puis au retour à un art conscient de l’autre humain ou non. Et, pour finir, à cette lame de fond que sont les questions de genres et les problématiques écologiques dans la création actuelle. Voilà autant de sujets abordés ou évoqués dans cette exposition des 50 ans, à travers les archives du lieu et les œuvres récentes des artistes invités qui y ont exposé de 1974 à 2024.
 Avec les œuvres de : Martine Aballéa, Saâdane Afif , Nils Alix-Tabeling, John Armleder, Bianca Bondi, Michel Blazy, Ulla von Brandenburg, Céleste Boursier-Mougenot , Berdaguer & Pejus, Les frères Chapuisat, Claude Closky, Caroline Corbasson, Nina Childress, Alain Declercq, Damien Deroubaix, Erik Dietman, Christoph Draeger, Mounir Fatmi, Daniel Firman, Dora Garcia, Marco Godinho, Josep Grau-Garriga, Joël Hubaut, Fabrice Hyber, Pierre Joseph, Kapwani Kiwanga, Bertrand Lavier, Ange Leccia, Jacques Lizène, Philippe Mayaux, Caroline Mesquita, Tania Moureau, Philippe Quesne, Jean-Xavier Renaud, Lionel Sabatté, Bruno Schmelz, Franck Scurti, Alain Séchas, Niek van de Steeg, Philippe Ramette, Claire Tabouret, Djamel Tatah, Barthélémy Toguo, Jean-Luc Verna, Jacques Vieille, Gisèle Vienne, Xavier Veilhan, Jérôme Zonder…

 

BAD + Bordeaux, les images (1)

Jacques Lizène
Entassement de toiles d’après un projet de 1970 à placer dans un coin, peinture nulle et non-communicative, 177 x 77 cm, 1988.

BAD+ Bordeaux, Jacques Lizène, Loic Moons, preview

Jacques Lizène
Art syncrétique [1964], sculpture génétique [1971] en remake 2011. Statue fétiche africaine croisée copie inspirée d’antique.
résine, bois, 85 x 15 x 15 cm / sur colonne : 165 cm
Loïc Moons
Sans titre, 2023
Huile sur toile, 101 x 81 cm
Jacques Lizène
Art syncrétique [1964], sculpture génétique [1971] en remake 2011. Statue fétiche africaine croisée copie inspirée d’antique.
résine, bois, 85 x 15 x 15 cm / sur colonne : 165 cm
Jacques Lizène
Entassement de toiles d’après un projet de 1970 à placer dans un coin, peinture nulle et non-communicative, 177 x 77 cm, 1988.
Jacques Lizène
Nature morte à la maladresse [1974], en remake 2010 Photographie NB, vin rouge, moulures, 70 x 70 cm
Jacques Lizène
Nature morte à la maladresse [1974], en remake 2010 Photographie NB, vin rouge, moulures, 70 x 70 cm