Archives de catégorie : Jacqueline Mesmaeker

Jacqueline Mesmaeker, A Public Affair, Cloud Seven

Jacqueline Mesmaeker participe à l’exposition A Public Affair, Oeuvres de la collection Frédéric de Goldschmidt, sous commissariat de Bayo Hassan Bello à Coud Seven, Bruxelles. Du 12 septembre 2023 au 29 mars 2024

Jacqueline Mesmaeker, Les Charlotte

L’exposition soulève des questions sur les espaces que nous utilisons souvent, tels que les églises, les terrains de jeux et les cinémas. Sont-ils vraiment publics ou appartiennent-ils à la sphère privée ? L’exposition examine également la manière dont les personnes et les communautés naviguent dans des systèmes plus vastes tels que le travail, la propriété et l’économie. Enfin, elle réfléchit au contrôle que nous exerçons réellement sur nos pensées et nos actions lorsque nous sommes confrontés aux règles et à l’autorité de ceux qui détiennent le pouvoir.

A Public Affair, organisée par Bayo Hassan Bello, présente des œuvres de Helena Almeida, Reza Aramesh, Éric Aupol, Younes Baba-Ali, Aline Bouvy, James Casebere, Laurie Charles, Aleskandra Chaushova, David Claerbout, Margaret Courtney-Clarke, Tacita Dean, Dries Depoorter, Romuald Hazoumè, Jan Henderikse, Hideyuki Ishibashi, Sven ‘t Jolle, Kapwani Kiwanga, Maria Kley, Michel Mazzoni, Jacqueline Mesmaeker, Terrence Musekiwa, Sophie Nys, Camille Orso, Michael Patterson-Carver, Carmen Reátegui, Hiroshi Sugimoto, Barthélémy Toguo, Isaac van Nikelen, Nico Williams, Ulla-Stina Wikander, Wiktoria Wojciechowska et Yunyao Zhang.

Heures d’ouverture : du mardi au vendredi, de 14h00 à 18h00. Ouvert le samedi en septembre et octobre 2024. Dimanche 15 septembre : ouvert pour le week-end Rendez Vous. Vendredi 20 septembre : visite guidée avec le commissaire d’exposition à 19h00.

 

Jacqueline Mesmaeker, Les Charlotte (le jardin), la Serre de Charlotte et Maximilien, Tuin en cascade

Au musée Emile Verhaeren.

Jacqueline Mesmaeker, Tuin (le jardin) en cascade, lettrage, 2023
Jacqueline Mesmaeker
La Serre de Charlotte et Maximilien, modèle, 2020 Technique mixte, 25 x 12 x 20 cm
Jacqueline Mesmaeker
Les Charlottes (le jardin), 1977-2023
Photocopies et impressions jet d’encre, (15 x) 29,7 x 21 cm

Brecht Koelman, Jacqueline Mesmaeker, Le Jardin Enchanté, musée Emile Verhaeren, Sint-Amands

Brecht Koelman et Jacqueline Mesmaeker participent à l’exposition Le Jardin Enchanté au musée Emile Verhaeren à Sint-Adams. Exposition du 16 juin au 6 octobre 2024. Du 16 juin à fin août 2024 : tous les jours (11h-18h), sauf le lundi. Du 7 septembre jusqu’au 6 octobre 2024 : du jeudi à dimanche (11h-18h), ou sur réservation. Vernissage : dimanche 16 juin 2024 à 11h.

Jacqueline Mesmaeker
La Serre de Charlotte et Maximilien, modèle, 2020
Technique mixte, 25 x 12 x 20 cm

Le jardin d’Eden, le jardin des délices, le jardin enclos ou tout simplement un potager. Depuis la nuit des temps, le jardin frappe notre imagination. C’est un endroit pour se promener ou se reposer, on peut y admirer les merveilles de la nature, mais il nécessite également pas mal d’entretien. En plus, le jardin est une source d’inspiration pour de nombreux artistes et poètes. Cette exposition rassemble des œuvres de Thierry De Cordier, Frank Depoorter, James Ensor, Lieve Kauwenberghs, Brecht Koelman, Bernd Lohaus, Freya Maes, Jacqueline Mesmaecker, Jean-Pierre Ransonnet, Reniere & Depla, Fabrice Souvereyns, François Poubeau, Frieda Van Dun et Jan Vanriet. Le volet poétique est assurée par Guido Gezelle, Bart Moeyaert, Jacques Prévert, Peter Theunynck, Petra van den Berghen, Emile Verhaeren et autres.

BAD + Bordeaux, les images (2)

Jacques Lizène
Art syncrétique [1964], sculpture génétique [1971] en remake 2011. Statue fétiche africaine croisée copie inspirée d’antique.
Valérie Sonnier
Le bassin des Beaux-Arts, 2024
Fusain et acrylique sur papier coréen, 150 x 210 cm
Michiel Ceulers
Je peux vous tutoyer (Man Man), 2018
Caulk and gloss paint on cardboard shoebox lids / artist frame; duck tape, 65,5 x 58 cm

Michel Assenmaker Firenze, 2023
Collage, 17,5 x 23,5 cm
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.

BAD+ Bordeaux, Michel Assenmaker, Jacqueline Mesmaker, preview

Michel Assenmaker Firenze, 2023
Collage, 17,5 x 23,5 cm
Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm

Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm

Blumen, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm

Berthe, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.
Jacqueline Mesmaeker
Séquence II, 2020
Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.

Art Brussels 2024, les images

Aglaia Konrad
I love Rückbau, 2020
Video, color, sound, flatscreen, 16:9 vertical, 19 min.
 
Aglaia Konrad
Footnote 1. CAT, 2020
Digital print, clip frame, 42 × 30 cm
 
Aglaia Konrad
Footnote 3. Concrete, 2020
Digital print, clip frame, 42 × 30 cm
 
Aglaia Konrad
Footnote 2. Rückbaukristall, 2015
Digital print, clip frame, 42 × 30 cm
Michiel Ceulers
“Your clock will never fade like a flower (ah non je ne fais plus ça)”, 2024
oil, gloss, spray paint, wooden pieces, perspex, collage on canvas and wooden panel
60 × 103 cm
Suchan Kinoshita
Hängen Herum No. 5/6, 2023
metal, JBL flip essential, son

John Murphy
Selected works #2, #3, #6, #23, 1973
musical partitions, vitrine, h.99 cm
Jacqueline Mesmaeker
Contours clandestins, 2020
crayon sur papier, (10) x 42 x 29,7 cm
Aglaia Konrad
Shaping Stones, 2023
Impression sur bâche
Exhibition view
Alevtina Kakhidze
Sans titre, 2023
technique mixte sur papier, 20,5 x 15 cm, 2023
Michiel Ceulers
Immer Realistischere Malerei / Je cherche quelqu’un, 2024
Oil, acrylic and acrylic mirrors on canvas in found frame, 64 x 52 cm (4500) 
Benjamin Monti
Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. 
Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)
Michel Assenmaker
Florence Delay, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
 
Michel Assenmaker
Blumen, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
 
Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
 
Michel Assenmaker
Berthe, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
John Murphy
Portrait of the Artist as a Deaf Man, 1996
Framed photographic print, 70 x 60 cm
Michiel Ceulers
Pierre, Jacques et Jean endormis (thirty pieces of silver running away), 2024
Oil, spray paint, pigment and caulk on canvas / artist made frame; oil & caulk on canvas on wood, staples, 88 x 77 cm

Art Brussels Preview, Jacqueline Mesmaeker

Contours réalisés à l’aide d’ustensiles divers (des jouets, des instruments trouvés, des outils de cuisine) dessinés tels quels ou en combinatoires, renvoyant aux images élémentaires des livres à colorier. Les tracés ne se discernent que difficilement ; ils sont à chercher comme des oeufs de Pâques. Certains de ceux-ci ont été dessinés sur les murs lors d’une exposition à Marseille en 2020. Dix dessins au crayon, format 42 x 29,7 cm

Art Brussels preview, Michel Assenmaker

Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Blumen, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Florence Delay, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
 
Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Berthe, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm

Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, Delta, Namur

Quelques unes des Péripéties de Jacqueline Mesmaeker sont exposées au Delta à Namur dans le cadre de l’exposition La carte postale, objet de collection, oeuvre d’art.

Jusqu’au 18 août 2024

Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm

Les Péripéties constituent une série (ouverte) de paires de cartes postales sous cadre. Sous chaque couple d’image, un cartel : Les péripéties. Ces paires sont délibérément regroupées sans explication, histoire de laisser libre cours à l’interprétation. Comme un choix de couleur sur une palette, chaque couleur, chaque image révéle l’autre. Au fil des années Jacqueline Mesmaeker a construit sa collection de cartes postales grâce aux envois familiaux et amicaux.

Aglaia Konrad, Jacqueline Mesmaeker, la carte postale, objet de collection, oeuvre d’art, Le Delta, Namur

Aglaia Konrad et Jacqueline Mesmaeker participent à l’exposition La Carte postale, objet de collection, oeuvre d’art, au Delta à Namur. Un commissariat de Virginie Devillez. Du 30 mars au 18 août 2024. Vernissage le 29 mars à18h30. 

Jacqueline Mesmaeker, Les Péripéties, 2012-2018

À l’heure où des images protéiformes circulent sur les réseaux sociaux et où les échanges se réduisent à quelques signes, le Delta a voulu revenir sur l’impact de la carte postale sur la société et la scène artistique. Son apparition dès la seconde moitié du 19e siècle a en effet suscité des phénomènes similaires, le commun des mortels devant apprendre à écrire dorénavant dans une case réduite prédéfinie – le recto. Quant au verso, illustré, sa diffusion intense suscite d’emblée un engouement inédit. L’année 1889, qui voit s’ouvrir l’Exposition universelle de Paris, semble véritablement constituer un tournant. Cinq à six mille cartes postales de la Tour Eiffel sont ainsi vendues chaque jour, lançant l’ère de la modernité, dont elles deviennent l’un de ses fleurons les plus populaires.

À l’heure où les reproductions circulent peu, ce support produit massivement s’impose auprès de toutes les classes sociales. La carte postale devient une image-objet à portée symbolique multiple qui passe de main en main et ouvre les portes de l’imaginaire. Par son format, elle permet aussi la constitution d’archives personnelles ou l’agencement d’images sur les murs ou les espaces de travail ; elle devient un outil pour l’artiste, ou l’historien de l’art, puisant dans cet Atlas infini, véritable point de départ de pratiques et d’usages multiples : peinture, collage, installation, film, objet, photographie, Mail Art…

De manière libre et non exhaustive, le Delta revient sur la présence, la réappropriation et le détournement de la carte postale dans l’art depuis la fin du 19e siècle jusqu’à nos jours. Le point de départ choisi est Francis Picabia dont la démarche postimpressionniste conceptuelle marque le début des avant-gardes du 20e siècle. Il annonce ainsi le « déclin de l’aura » prophétisé par Walter Benjamin, là où la reproduction prend part au savoir et à l’art, voire à leur constitution, au point de pouvoir les remplacer. (…) Virginie Devillez

Avec des oeuvres de :

Avec Pilar Albarracín, Bernard Boigelot, Marcel Broodthaers, Marcelle Cahn, Jean Challié, Alphonse Davanne, Damien Deceuninck, Peter Downsbrough, Marcel Duchamp, Paul Éluard, Gilbert & George, Camille Goemans, Nicole Gravier, Susan Hiller, Hannah Höch, Georges Hugnet, On Kawara, Aglaia Konrad, Jean-Jacques Lebel, Éric Manigaud, René Magritte, Jacqueline Mesmaeker, Valérie Mréjen, Martin Parr, Jehanne Paternostre, Michel Peetz, Francis Picabia, Allen Ruppersberg, Kurt Schwitters, Joëlle Tuerlinckx, Oriol Vilanova