Archives mensuelles : novembre 2014

Jacques Lizène, (Presque) jamais le visionnaire n’a été perçu comme tel en son temps, Musée National de Szczecin (3)

Jacques Lizène

Jacques Lizène, Sculpture nulle, 1980. Installation pour un moniteur, deux squelettes et un piano demi-queue. Musique à l’envers 1979, et doublement à l’envers 1996, en remake 2014. Oh la la la la ! Aie ha ha ha ha ! Piano demi queue, reproductions de deux modèles de squelettes, sur support à roulettes (tout mettre sur des roulettes, 1974), textes, vidéo. Un film barré à la main, 1972, NB, sans son, 16 mm transféré sur DVD, 1’31, Ed.Yellow. Avec la caméra placée à différentes distances, tentative ratée pour des questions de parallaxe, d’inscrire le corps dans le cadre de l’écran, tête et pieds parfaitement au bord. 1971. Film barré image par image, à la main, en 1972. Dim : 180 x 180 x 150 cm. Remake 2014.

Jacques Lizène

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Jacques Lizène
AGCT 1971, fun fichier 1993, en remake 1997-2011
collages de photographies argentiques, dimensions variables

Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, découper et mélanger deux styles, chaises découpées, en remake 2008

Jacques Lizène

Jacques Lizène

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Jacques Lizène
Art syncrétique, 1964. Sculpture génétique 1971.En remake 2011. Technique mixte, 65 x 30 x 30 cm. Sur colonne : 158 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture nulle, guitare pioche 1979, en remake 2005, avec vidéo : C’est Noël, remake d’après deux
projets vidéos de 1971 et une chanson médiocre de 1980. 1984, couleurs, son, 3’46, vidéo transféré sur DVD, avec Myriam Zakdam. (Canal Emploi, WIP, Igloo Edition, Radio Titanic et RTBF).

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Jacques Lizène
Sculpture nulle 1980, bétonnière rythmique, technique mixte (bétonnière, billes, micro et amplification) avec dessins médiocres façon 1966, 120 x 130 x 70 cm , 2007, Peinture nulle, dessin minable de trois sculptures nulles (reconstitution/installation) : 6000 biles au sol, 1970 – guitare électrique à pioche, 1979 et bétonnière rythmique avec micro sur pied, 1979, acrylique sur toile, libre 210 x 210, 1985.

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Marie Zolamian, Résister aux sirènes, Les Brasseurs Art Contemporain, Liège

Résister aux sirènes

Marie Zolamian participe à l’exposition inaugurale des « Brasseurs, Art contemporain » à Liège, désormais installés Rue du pont, 26/28 à 4000, Liège

Résister aux sirènes
MARIE ZOLAMIAN (BE), KARL VAN WELDEN (BE), MARC O’CALLAGHAN (ES), JONATHAN DE WINTER (BE), TRANSCENDENTAL GEOLOGY
18.11.2014 – 18.01.15
vernissage le 15.11.14 à 18:00

Un simple coup d’oeil au flux d’information qui nous parvient en permanence suffit pour s’en convaincre, plus que jamais et comme jamais, notre société est aux prises avec un raz de marée néolibéral triomphant et une montée des extrémismes qui fragilisent un peu partout les valeurs démocratiques et les avancées des luttes sociales. Insidieusement, ce que Pasolini appelait “le nouveau fascisme” s’est infiltré dans tous les recoins d’un monde en pleine mutation autant que de dans nos consciences, prenant possession de l’essence même de nos comportements et donnant raison à Jean Baudrillard lorsqu’il soulignait, en 1970, que la consommation avait remplacé la morale comme “mode actif de relation (non seulement aux objets, mais à la collectivité et au monde)”.

Face à la pensée unique, au profit maximum, au cynisme des financiers, à l’uniformisation culturelle, à l’abrutissement de masse et au règne des simulacres, avons-nous encore la possibilité de nous inscrire à contre courant, de revendiquer d’autres voies, de résister aux sirènes? Quelles sont les stratégies de survie qui se proposent à nous et dans quelle mesure les artistes peuvent-ils devenir des vecteurs d’éveil et de prise de conscience?

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Jacques Lizène, performance par téléprésence à La Plaque Tournante à Berlin ce jeudi 12 novembre

Jacques Lizène

Performance de Jacques Lizène ce mercredi 12 novembre, par téléphone, à La Plaque Tournante à Berlin, avant garde music and exhibition in Sonnenallee, 99.
Répondant à l’invitation de Frédéric Acquaviva, le petit maître interviendra par téléphone depuis Liège tandis que le public à Berlin assistera à la projection de « Jacques Lizène, DVD style best off, 59′.59″ de médiocrité », un film réalisé et monté par Dominique Castronovo et Bernard Secondini en 2009.

A l’occasion de :

La plaque tournante

BERNARD HEIDSIECK OPENING NOV 12, 6.30PM
30 OCTOBRE 2014 LAISSER UN COMMENTAIRE
SOIREE TABULE RASA WITH TOMOMI ADACHI’S PERFORMANCE + JACQUES LIZENE BY TELEPRESENCE!!!!!!!!!
DOORS + EXHIBITION (WITH SOUNDS) 6.30PM / PERFORMANCES 8PM / POLICE 10PM
FREE ENTRY + FREE FOOD + FREE DRINKS = KOMMT IN MASSEN!

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Jacques Lizène, (Presque) jamais le visionnaire n’a été perçu comme tel en son temps, Musée National de Szczecin (2)

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
AGCT 1971, fun fichier 1993, en remake 1997-2011
collages de photographies argentiques, dimensions variables

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Musique à l’envers et musique doublement à l’envers, en rushes, 1997.
1997, couleurs, son, DV transféré sur DVD, 16’05.

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Jacques Lizène, Sculpture nulle, 1980. Installation pour un moniteur, deux squelettes et un piano demi-queue. Musique à l’envers 1979, et doublement à l’envers 1996, en remake 2014. Oh la la la la ! Aie ha ha ha ha ! Piano demi queue, reproductions de deux modèles de squelettes, sur support à roulettes (tout mettre sur des roulettes, 1974), textes, vidéo. Un film barré à la main, 1972, NB, sans son, 16 mm transféré sur DVD, 1’31, Ed.Yellow. Avec la caméra placée à différentes distances, tentative ratée pour des questions de parallaxe, d’inscrire le corps dans le cadre de l’écran, tête et pieds parfaitement au bord. 1971. Film barré image par image, à la main, en 1972. Dim : 180 x 180 x 150 cm. Remake 2014.

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture nulle 1980, instruments de musique modifiés en guise d’interrogation génétique, art syncrétique, croiser un violon et une raquette de tennis, en remake 2011.
Technique mixte, violon, raquette, 100 20 x 10 cm

Konstytutywne znaczenie dla praktyki artystycznej Lizène’a ma nie tyle forma, jaką się posługuje (kreatywnie wykorzystuje różne środki wyrazu), ile postawa artystyczna, która ściśle łączy sztukę z życiem. Twórca konsekwentnie stawia pytania o rolę artysty, sens uprawiania sztuki, status dzieła sztuki i świata sztuki, czyniąc to we właściwy sobie – ironiczny i błyskotliwy – sposób.
Lizène sięga po różnorodne artystyczne media – rysuje, maluje, tworzy instalacje, obiekty, uprawia performans. Jest także pionierem belgijskiego wideo-artu. Formalną różnorodność łączy z konsekwentną metodą tworzenia sztuki opartą na upodobaniu do kolażu, do tworzenia obrazów-hybryd i samodzielnie konstruowanych obiektów powstających na bazie zwykłych przedmiotów.
Lizène stawia siebie w roli obserwatora i krytyka własnej twórczości. Nazywając siebie Małym Mistrzem z Liège i nadając swoim dzieło tytuły takie jak: „Sztuka mierna”, „Rzeźba bez wartości” czy „Rysunki liche i byle jakie”, wprawia publiczność w zakłopotanie, podważając jej oczekiwania wobec sztuki.
Lejtmotywem wystawy w Muzeum Narodowym w Szczecinie będzie remake instalacji Lizène’a z 1980 roku pod tytułem „Rzeźba bez wartości”, instalacja na dwa szkielety, monitor i fortepian, „Muzyka wspak”, 1979 i „Muzyka podwójnie wspak”, 1996.
Kurator wystawy Jean-Michel Botquin pisze o niej: „Cóż za danse macabre akompaniuje temu szkieletowi, który przykucnął sobie na klapie fortepianu i wyciąga swe nadgarstki, śródręcza i paliczki ku klawiaturze o klawiszach wysuszonych na kość? Szkielet, niczym eksponat dla studentów medycyny, gra muzykę wspak, a nawet podwójnie wspak, dokładnie tak, jak polecił artysta. Osłupiały, wytrzeszcza oczy, a jego śmiech zapisany jest w dymku. Słychać tak śmiech Małego Mistrza z Liège, śmiech, który Jacques Lizène nazwie chichotem. […] Wykonując kilka tanecznych pas ze szkieletem, Jacques Lizène nawiązuje do długiej tradycji danse macabre. «Tańczcie! I cieszcie własną nicością», pisze Gustave Flaubert. «Tańczcie! Niech ogromny będzie taneczny krąg, a zabawa wesoła». To ambitny projekt, zapoczątkowany w 1979 roku przepisaniem wspak partytury Haendla. Chodzić będzie o to, by w ogóle nie być muzykiem, by być niekomponującym kompozytorem i zapisać raz jeszcze wspak całą muzykę świata, by na nowo zapisać wspak Mozarta, Chopina, Bartóka i wszystkich innych, pomieszać wspak wszystkie istniejące partytury, by zagrano podwójnie wspak całą muzykę”.

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Suchan Kinoshita, Isofollies IV

Suchan Kinoshita

Suchan Kinoshita
Isofollies IV, 2014
Technique mixte, dimensions variables
« la taille », « à faire ce jour, limited édition », « le penseur en vacances », « couples », « www ».

« … Grand –père était avant tout coiffeur. Cet art était sa vie. Il lui a tout sacrifié. Il était aussi un collectionneur passionné : documents touchant à sa profession, timbres, gravures médailles, cartes de membre d’associations de tir, monnaie auxiliaire. D’abord deux puis trois pièces de son appartement du 8 de la Ryfligasse furent consacrées à ses collections. Après sa mort en 1971, en mettant de l’ordre, j’ai mis de côté et conservé tout ce qui me rappelait mes grands parents. Depuis des années, je trouvais que cet appartement avait une valeur d’exposition, en tant que visualisation d’une histoire, témoignage d’un mode de vie, illustration du fait que, dans la vie de chaque être humain, existe un moment où chaque objet devient naturel, coule de source et que, à ce moment là, l’accumulation des signes et des objets n’obstrue plus le chemin. (…) Lors de la visite des lieux commémoratifs, j’ai toujours été fasciné par le problème posé par les maisons du souvenir ou, en montrant une exposition, comment redonner vie, même artificiellement, grâce aux objets. Une reconstitution de l’appartement n’aurait pas suffi. L’ordre de Grand-Père ne peut-être présenté que classé, classifié. »
Harald Szemann a classé tous ces objets ayant appartenu à son grand-père. Il en a fait une exposition, à Berne, à la galerie Toni Gerber, qu’il a titrée : « Grand-père, un aventurier comme vous et moi » (1974).

Je repense à ce geste alors que Suchan Kinoshita œuvre à sa quatrième constellation d’ « Isofollies ». Ces astéroïdes sont apparus en 2004 dans l’œuvre de Suchan Kinoshita, une sorte de jardin de sculptures, comme des notes de musique tombées d’une portée, des aérolithes jalonnant un espace de déambulation. Volumes noirs ronds, ventrus, aux formes parfois plus étranges, ils opèrent dans l’espace d’exposition, sans qu’on sache ce qui les constitue. En fait, ils agissent comme une sorte de pétrification, comme de grosses scories de temps. Sur le lieu même de l’exposition, dans les caves et greniers de la maison, l’artiste a récolté et entassé des objets de rebut, des déchets de toutes sortes, ce qui a été abandonné, n’a plus d’utilité. Suchan Kinoshita en constitue des ballots de diverses tailles ; elle les momifie au sens propre comme au figuré, les serre dans de longues bandes de plastique industriel, élastique et noir, roulent ces ballots sur le sol comme s’il s’agissait de boules de neige, les compressant, compactant ces rebuts ainsi fossilisés. C’est le temps du lieu que voici pétrifié.

En 2006, lors d’une exposition à l’Ikon Gallery à Birmingham sont apparus trois nouveaux astéroïdes que l’artiste nomme désormais «Isofolies », du nom du plastique qu’elle utilise. Ce sont, cette fois, les résidus du montage de l’exposition que Suchan Kinoshita utilise. Le premier ensemble de ces sculptures devient ainsi un principe délocalisé. Kinoshita est invitée quelques mois plus tard par la biennale de Sharjah, aux Emirats Arabes Unis. «Still Life, art, ecology and the political of change» aborde les défis sociaux, politiques et environnementaux, le développement urbain excessif et l’épuisement progressif des réserves naturelles. Tout naturellement, Suchan Kinoshita propose de produire une troisième ensemble d’ «Isofolies». L’ensemble, constitué d’une quinzaine d’œuvres, est à nouveau produit in situ, avec les déchets et rebuts trouvés sur place. Cet espace de pensée né dans un contexte quasi domestique, temps compressé d’un lieu, du vécu de ses habitants successifs, prend une dimension de recyclage, de délocalisation des déchets, comme de recyclage du principe même qui conduit la création de l’objet. A Birmingham c’était le temps d’un centre d’art contemporain, à Sharja, une dimension plus large, plus actuelle face aux défis du temps.

Cette quatrième constellation est singulière, elle appartient à la sphère privée. G.B., une amatrice d’art, a confié à l’artiste une série d’objets, d’écrits, de photographies, d’agendas, qui ont appartenu à une personne chère décédée, lui aussi un collectionneur passionné. C’est une accumulation de signes et d’objets dont elle n’a pas voulu se défaire, « des objets naturels, qui coulent de source » pour reprendre les termes d’Harald Szemann. G.B. a proposé à Suchan Kinoshita d’enfouir ces traces mémorielles dans une nouvelle constellation d’ « Isofollies ». Sans avoir connu la personne à qui tous ces objets ont appartenu, Suchan Kinoshita les a classé, a imaginé des scenarii, avant d’envisager cinq sculptures distinctes, cinq astéroïdes, participant d’une même constellation. Afin d’accentuer le caractère singulier de chacun de ces aérolithes, elle leur a donné des titres distincts, « la taille », « à faire ce jour, limited édition », « le penseur en vacances », « couples », « www ». Soustraits au regard, ces traces mémorielles acquièrent ainsi une nouvelle vivacité, abstraite et universelle.

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Jacques Lizène, (Presque) jamais le visionnaire n’a été perçu comme tel en son temps, Musée National de Szczecin (1)

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Mettre n’importe quel objet sur la tête 1994, une Sculpture nulle 1980, sur une idée de 1977, pour hélicon, pot de WC et fumée (la fumée comme élément sculpural), photographie sur toile, remake 2011, 110 x 90 cm

Jacques Lizène
Petit Maître à la fontaine de cheveux, 1980 (photo de Pierre Houmant). Photographie N.B, tirage numérique, 110 x 90 cm. Ed 5/5 et photographie N.B, tirage numérique marouflée sur toile et aluminium, 50 x 60 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Peinture nulle, dessin minable de trois sculptures nulles (reconstitution/installation) : 6000 biles au sol, 1970 – guitare électrique à pioche, 1979 et bétonnière rythmique avec micro sur pied, 1979, acrylique sur toile, libre 210 x 210, 1985.

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène,
Mettre n’importe quel objet sur la tête 1994, petits dessins médiocres néo-rupestres, façon 1964-66, impressions sur bâche, en lambris, remake 2011

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Minable music-hall en vidéo art.
1982 (projet 1981), couleurs, son, U-matic transféré sur DVD, 27’59. Production RTBF Liège. (Avec la collaboration, entre autres, de Paul Paquay, du groupe La Vatory, d’un chien et d’une chienne anonymes, etc.…)

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
La danse de derrière le décor (le ballet d’entretien des lieux d’expositions afin de faire reluire l’écrin de l’art séductif) 1975, en remake 2014. Aspirateur du musée, tape.

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Eleni Kamma, Valérie Sonnier, Jeroen Van Bergen, finissage ce dimanche 9 novembre

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous convier au finissage des expositions

ELENI KAMMA, YAR BANA BIR EĞLENCE (OH,FOR SOME AMUSEMENT!)

VALÉRIE SONNIER, FAIRE LE PHOTOGRAPHE, II

JEROEN VAN BERGEN, T.C.003.K

dimanche 9 novembre de 11 à 18 heures

Eleni Kamma

Eleni Kamma
Play it Enim ! Walking along the Russian Monument at Ayastefanos, 2014

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Jacques Lizène, (Presque) jamais le visionnaire n’a été perçu comme tel en son temps, Musée National de Szczecin

Jacques Lizène

6 listopada 2014 (czwartek), o godz. 18.00, Lech Karwowski, Dyrektor Muzeum Narodowego w Szczecinie oraz Franck Pezza, Delegat Walonii-Brukseli w Warszawie zapraszają do Gmachu Głównego Muzeum Narodowego w Szczecinie, przy ul. Wały Chrobrego 3, na otwarcie wystawy i performans Jacques’a Lizène’a „Wizjoner (niemal) nigdy nie był postrzegany jako taki w swoich czasach!”. Wstęp wolny.

Jacques Lizène expose au Musée National de Szczecin dans le cadre de la coopération entre le Musée national et le Centre wallon d’Art contemporain de la Châtaigneraie (Liège).

Minable music-hall, petites chansons médiocres du chanteur en dessous de tout, séquences d’art sans talent, musique à l’envers, musique doublement à l’envers, bétonnière rythmique emplie de billes, guitare pioche, portraits de l’artiste portant n’importe quoi sur la tête, fontaine de cheveux, placards à tableaux avec les oeuvres des réserves du musée, partage de cimaises avec les artistes locaux, sculptures génétiques en portraits croisés, l’exposition de Jacques Lizène au Musée National de Szczecin sera cacophonique. (Presque) jamais le visionnaire n’a été perçu comme tel en son temps !

Du 6 novembre au 1er février
Performance du Petit Maître au vernissage.

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