Archives mensuelles : juin 2021

Olivier Foulon, le soleil sonne, les images (2)

Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (1)
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (2)
Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (3)
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (4)
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (5)
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (6)
Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (7)
Olivier Foulon, Maman va bien, Papa aussi (Motherwell), 2021 (8)

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Olivier Foulon, le soleil sonne, les images (1)

Olivier Foulon, Sans titre, 2019/2021
Olivier Foulon, Sans titre, 2019/2021
Olivier Foulon, Olivier Foulon, Sans titre, 2019/2021
Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Sprung in die Neuzeit (Genzken/Sturtevant), 2016/2017
Olivier Foulon, Felix Gonzalez-Torres avec Christopher Wool, Untitled, 1993
Olivier Foulon, Felix Gonzalez-Torres avec Christopher Wool, Untitled, 1993
Olivier Foulon, Felix Gonzalez-Torres avec Christopher Wool, Untitled, 1993
Vue d’exposition. Olivier Foulon, le soleil sonne
Olivier Foulon, Nez (Joyce), 2004
Olivier Foulon, Nez (Joyce), 2004

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Suchan Kinoshita, On Celestial Bodies, Arter, Istanbul

Suchan Kinoshita participe à l’exposition On Celestian Bodies au Centre d’art Arter à Istanbul. Commissaire : Kevser Güler. Jusqu’au 25 juillet 2021.

Suchan Kinoshita
Tokonoma (Variation, Private collection), 2014
Mixed media, 200 × 120 × 80 cm
Exhibition view: On Celestial Bodies, 2020.. Photo: flufoto

Drawn from the Arter Collection, the group exhibition titled On Celestial Bodies deals with questions around the possibility of reconceiving and reconstructing a vital terrain for living together in our present day. Including works by twenty-eight artists, the exhibition invites visitors to contemplate together the ways that beings come together and disperse, the manners through which they build relations, and their ways of distancing and converging with each other.

The title of the exhibition aims to point to the potentials and limits of the conception of the material embeddedness of beings. This notion of material embeddedness, as highlighted in the famous quote from the 1980s by astronomer and astrobiologist Carl Sagan, “We’re made of star stuff”, also informs one of the fundamental questions addressed in the exhibition: What would it mean to think of an artwork, a pencil, a human, a virus, a robot, a cat, a tree, a creek, a mountain as a celestial body as much as the Earth and Venus are? Dealing with the act of destabilising the foundations of anthropocentric hierarchies and exceptionalism, built, as they are, on binary oppositions, this question aims to debunk the validity of various dualities and distinctions, including those that place the human above the non-human.

With their proposals for, and criticism of, the complex and multiple ways of being together, On Celestial Bodies questions the possible effects that exhibitions and artworks may assume in imagining a politics of life. What are the potential ways of understanding art today as an act that cares for radical relationality, and one that affirms and defends life itself, in the context of the idea of justice, that makes living together possible? 

 

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Raphaël Van Lerberghe, Art au Centre #6, Liège

Raphaël Van Lerberghe participe à  Art au Centre #6, parcours de 26 vitrines réalisé&es par 29 artistes, projet de revitalisation du centre-ville de Liège par l’art. Du 3 juin au 31 août 2021. 

Art au Centre est un projet de revitalisation du centre-ville de Liège par l’art. Il consiste à investir les vitrines des cellules commerciales vides pour y installer des œuvres d’artistes contemporains liégeois, belges et étrangers, afin d’offrir au visiteur un parcours artistique à travers la ville. Le livret explicatif et la carte du parcours sont disponibles gratuitement aux desks info des Galeries Saint-Lambert et de la Gare des Guillemins ainsi qu’au musée de La Boverie. Ces documents sont aussi à télécharger ici.

BUSINESS SILHOUETTES
A.R.D.V.L
Raphaël Van Lerberghe, Chimay (BE), 1978 • Alexia de Visscher, Ixelles (BE), 1975
Artistes sélectionnés dans le cadre de l’appel à projet
Rue de la Cathédrale 31a

A.R.D.V.L est le nom de la collaboration entre l’artiste Raphaël Van Lerberghe et la graphiste-éditrice Alexia de Visscher. Cette association interroge les lieux de frottement entre art et édition et ce qui les réunit. Au croisement de leurs pratiques, le livre s’inscrit dans des formes, des contextes d’apparition singuliers qui questionnent entre autres les extensions du livre et son exposition. 

Préliminaire à la conception de la vitrine : l’édition d’artiste Ready•to•use* réalisée en duo. 

La vitrine, lieu privilégié de la monstration du livre, s’apparente ici à une scène de théâtre. Y sont présentées plusieurs double pages dudit livre à l’échelle d’éléments de décor que l’on retrouve habituellement à l’intérieur des cages scéniques. Le livre « mis en scène » est alors envisagé comme une architecture qui permet d’en explorer les différentes pans, rectos et versos dialoguant entre eux dans un espace autre, et d’en proposer une nouvelle lecture.

L’édition Ready•to•use part d’un geste simple et minimal. Un objet pensé pour son usage, un livre constitué d’une banque d’images de silhouettes est détourné au pied de la lettre : ses pages sont reproduites uniquement du point de vue de leur verso et par leur qualité de transparence. 

Le point de départ du projet est une édition de la série Clip-Art de la maison d’édition américaine Dover qui date de 1996. Décrite sur sa couverture comme ceci : Business silhouettes, 96 illustrations libres de droit imprimées sur une face, des centaines d’usages, elle illustre le monde moderne du travail en entreprise de la fin du 20e siècle, son mobilier, ses appareillages et leurs usages, leurs représentations et leurs gestes associés.

* L’édition Ready•to•use est visible à la galerie Nadja Vilenne 5, Rue commandant Marchand 4000 Liège.

ENGLISH

A.R.D.V.L is the name of the collaboration between artist Raphaël Van Lerberghe and graphic designer-editor Alexia de Visscher. This partnership questions the connections between art and publishing and what unites them. At the crossroads of their practices, the book is in line with shapes and singular contexts of appearance that question for example the extensions of the book and its exposure.

Preliminary to the design of the window: artistic publication Ready•to•use* created in duo. The window, privileged place to exhibit the book, here resembles a theatre stage. The window displays several double pages of the aforementioned book on the scale of scenery components that we usually find inside scenic cages. The “staged” book is then considered as an architecture that enables us to explore its different parts, rectos and versos communicating with each other in a different space, and to suggest a new reading.

The publication Ready•to•use starts from a simple and minimalist gesture. An object thought for its usage, a book comprised of an image bank of figures is literally distorted: its pages are reproduced only from the point of view of their verso and through their quality of transparence. The starting point of the project is a reproduction of the series Clip-Art created by American publishing house Dover that dates back to 1996. Described on its cover as follows: Business silhouettes, 96 illustrations libres de droit imprimées sur une face, des centaines d’usages, it illustrates the modern world of business work at the end of the 20th

century, its furniture, its equipment and uses, representations and associated gestures.

*The publication Ready•to•use is displayed at the Galerie Nadja Vilenne located 5, Rue commandant Marchand 4000 Liege

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Wiels, Bruxelles, Marie Zolamian en conversation avec Vanessa Desclaux ce 10 juin

Ce 10 juin à 19h

Une conversation en ligne entre l’artiste Marie Zolamian et Vanessa Desclaux à propos des peintures  présentées dans l’exposition collective Regenerate au Wiels à Bruxelles. 

Vanessa Desclaux est actuellement responsable du pôle des attentions (service des publics et programmation culturelle) au Frac Nouvelle-Aquitaine MECA à Bordeaux. Enseignante en histoire des arts à l’école nationale supérieure de Dijon entre 2011 et 2019, elle est titulaire d’un doctorat en Curating (Goldsmiths, Université de Londres). Autrice et curatrice, Vanessa Desclaux a travaillé à la Tate Modern et à Bloomberg Space à Londres, et a collaboré avec différents lieux tels que de Appel, Amsterdam ; le Parc Saint Léger, centre d’art contemporain de Pougues-les-Eaux ; le Frac Bourgogne, Dijon; la Galerie, centre d’art contemporain de Noisy-le-Sec, ou le Grand Palais à Paris.

inscription et accès à la conférence online : c’est ici. 

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Valérie Sonnier, Le regard du temps

Valerie Sonnier participe à l’exposition Lez Regard du Temps, un commissariat de Brigitte Saby, du 2 au 12 Juin 2021, 36, rue du Fer-à-Moulin – 75 005 Paris , off du Parcours Saint-Germain 2021, une initiative de l’association CulturFoundry, collectif de collectionneurs actif dans le domaine du mécénat.

Rue Boileau, série, tirage argentique sur papier baryté, 2005 © Valérie Sonnier

Les artistes, résistants et visionnaires, nous apportent leur regard singulier sur ce qu’ils entendent par les mots nature et éléments. Quelle perception les artistes ont-ils de la nature? Comment s’intègre-t-elle dans leur travail ? Dans quelle mesure nous aident-ils à prendre conscience des possibilités d’une réalité plus coopérative et harmonieuse ? Dans ces temps d’émulation, il nous est offert une chance de voir différemment notre environnement. L’homme, en changeant son regard et en développant sa sensibilité, peut agir positivement sur son milieu. Le naturaliste Alexander Von Humboldt explique que pour comprendre la nature, l’émotion et la poésie sont nécessaires. Notre subjectivité alliée à notre intelligence nous permet d’entendre le monde, d’en saisir son unité, et par conséquent de le respecter et de l’aimer.

Avec : Camille Benarab-Lopez, Rebecca Bournigault, Daniela Busarello,  Géraldine Cario,  Wolf Cuyvers, Roseline Delacour, Deborah Fischer, Anne Gorouben Jihee Han, Pierre Hanau, Mael Le Golvan, Nikolaj Bendix, Skyum Larsen, Diego Movilla, Marie-Luce Nadal, Benoît Piéron, Laurent Saksik, Valérie Sonnier, Jean-Claude Wouters, Anaïs Wulf. 

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Benjamin Monti, Jacques Lizène, Art Brussels Week, Nadja Vilenne pop up gallery, les images (2)

Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, sculpture génétique 1971, en remake 2018. Palmier croisé olivier croisé cactus. Technique mixte, h. 220 cm
Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, sculpture génétique 1971, en remake 2018. Olivier croisé ananas. Technique mixte, h. 160 cm
Benjamin Monti, collage, 2021
Benjamin Monti, collage, 2021
Benjamin Monti, collage, 2021
Jacques Lizène
Sculpture nulle et danse nulle 1980, art syncrétique 1964, sculpture génétique culturelle et cultuelle, en remake 2011
plâtre peint, 56 x 12 x 14 cm et 63 x 20 x 18 cm

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Benjamin Monti, Jacques Lizène, Art Brussels Week, Nadja Vilenne pop up gallery, les images (1)

Vue d’exposition
Vue d’exposition
Jacques Lizène
Sculpture nulle 1980, instruments de musique modifiés en guise d’interrogation génétique, art syncrétique, croiser un violon et une raquette de tennis, en remake 2011.
Technique mixte, violon, raquette, 100  20 x 10 cm
Benjamin Monti
Sans titre, 2019
Encre de chine (2) x 29,7 x 21 cm
Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, sculpture génétique culturelle 1984 en remake 2011, danseuse asiatique, croisée statuette africaine croisée Vénus de Milo, technique mixte, 40 x 10 x 10 cm – 26 x 8 x 8 cm  – 40 x 11 x 11 cm
vue d’exposition
vue d’exposition
art bJacques Lizène
Sculpture génétique 1971, en remake 2018, croiser tous les visages croisés dans les collections du musée de Liège. Collage de copies laser, 38 x 29 cm encadré
Mathieu Nisen croisé Mathieu Nisenrussels week
Jacques Lizène
Sculpture génétique 1971, en remake 2018, croiser tous les visages croisés dans les collections du musée de Liège. Collage de copies laser, 38 x 29 cm encadré
André Derain croisé Léonard Defrance
Benjamin Monti
Sans titre, 2019
Encre de chine (5) x 29,7 x 21 cm

Nadja Vilenne pop-up gallery – Art Brussels week, rue Ernest Allard, 18 – 1000 Bruxelles

BENJAMIN MONTI  – JACQUES LIZENE

exposition du 25 mai au 13 juin 2021

vernissage le mardi 1er juin de 12 à 21 h

mer.-jeu.-ven.-sam.-dim. de 12 à 18h

Art Brussels week : 3 – 6 juin

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