Archives mensuelles : avril 2024

Art Brussels Preview, Jacqueline Mesmaeker

Contours réalisés à l’aide d’ustensiles divers (des jouets, des instruments trouvés, des outils de cuisine) dessinés tels quels ou en combinatoires, renvoyant aux images élémentaires des livres à colorier. Les tracés ne se discernent que difficilement ; ils sont à chercher comme des oeufs de Pâques. Certains de ceux-ci ont été dessinés sur les murs lors d’une exposition à Marseille en 2020. Dix dessins au crayon, format 42 x 29,7 cm

Art Brussels preview, Michel Assenmaker

Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Blumen, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Florence Delay, 2022
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
 
Michel Assenmaker
Sans titre, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker
Berthe, 2021
Collage, documents, 37,5 x 47 cm

Art Brussels 2024, preview, Alevtina Kakhidze, Jacques Lizène, Benjamin Monti

Art Brussels 2024, preview, Aglaia Konrad, Werner Cuvelier

AGLAIA KONRAD, I LOVE RUCKBAU

Les archives d’Aglaia Konrad sont très riches et portent sur l’urbanisme, l’architecture, la sculpture et le cinéma. Dernièrement, elle s’est intéressée aux processus dits de « Rückbau » (construction à l’envers) qui traitent de la démolition comme un aspect inévitable du progrès.

Le « Rückbau » en tant que processus sculptural ou filmique est une approche unique qui permet à l’artiste non seulement d’affirmer la démolition en tant que pratique architecturale étendue, mais aussi d’incorporer les débris physiques en tant que geste sculptural en relation avec l’image.

I love Rückbau témoigne de la fascination qu’Aglaia Konrad porte aux engins de chantier. Elle filme, ici, en caméra discrète – son smartphone- la destruction d’un bâtiment moderniste emblématique du paysage urbain bruxellois. Telle une archéologue, elle se plonge dans la signification des diverses couches dont est constituée la ville, depuis le choix des matériaux jusqu’à l’idéologie qui le sous-tend. Umbau, en allemand, signifie transformation, des transformations que l’artiste constate et dont elle témoigne.

WERNER CUVELIER, Statistic Project XVI

(…) Par contre, il sera le point de départ du Statistic Project XVI, initialement intitulé Bordellen Project, le projet des bordels, puis plus finement, Buitenverblijven, ce que l’on pourrait traduire par Seconde Résidence ou Abri Extérieur. C’est tout dire. Dans l’introduction de son pamphlet, ce guide de randonnée dans la jungle belge qui réveillera les somnambules, Renaat Braem fait une cocasse description du bâti urbain et surtout suburbain belge. Les routes sont des rues, écrit-il. Une digue de pierre vous sépare du paysage. Un vrai cauchemar pour les fournisseurs de matériaux. Des briques de toutes les couleurs imaginables et impossibles, du jaune féroce, du blanc maladroit, du vert savoyard au violet toxique, de l’encre bleue bon marché au noir sale des eaux usées. Les toitures crient leur présence par leur complexité, leur texture et leur couleur, l’amiante rose, les ardoises vertes, les tuiles rouges, les tuiles vernies noires, et à l’extérieur des agglomérations, où un arbre occasionnel suggère que nous sommes à la campagne, le chaume des toits taillé de façon fantaisiste des pseudo villas douillettes et autres châteaux à pignons. Vous pourrez vous approvisionner dans les stations-service de style normand, de style colonial, de style flamand, de style moderne ou même industriel. Vous pourrez vous restaurer dans des auberges aux rideaux à carreaux et aux enseignes en fer forgé, des rôtisseries aux façades en pseudo – colombages, des friteries gérées par des chefs chaleureux. Il existe une variété infinie de lieux de consommation, de la très sèche maison du peuple aux accueillants petits cafés aux fenêtres ornées de rideaux rouges et aux parkings discrets. Ce sont nos locaux pays chauds. Et la publicité. Ha, ha, beaucoup de publicité ! Du cola à la bière blonde nationale.

Les voici donc ces bordels et bars sur grand-route qui intéressent Werner Cuvelier. Il décide de dresser l’inventaire de ceux qui jalonnent les chaussées de Courtrai, d’Anvers et de Bruxelles, trois grands axes qui permettent de sortir de la cité scaldienne, ou de la rejoindre.  Werner Cuvelier se tourne vers le photographe Fred Vandaele : celui-ci prendra les clichés, 80 diapositives, toutes prises de nuit, de préférence lorsque le bitume suinte de pluie, ce qui accentue le reflet des enseignes et néons. (7) On devine dès lors dans la nuit toutes ces architectures hétérogènes, telles que les décrit Renaat Braem, un formidable bordel, des chalets, des pavillons quatre façades, des vitrines a front de rue, des fermettes, des paquebots modernistes, des parkings aussi, plus ou moins discrets. Au clair du néon, Fred Vandaele emprunte à dessein le trottoir d’en face, learning from the Kortrijksesteenweg pour paraphraser la célèbre leçon de Las Vegas (1972) de Robert Venturi et Cie, ouvrage qui, à l’époque, vient de paraître et fait un tabac. Pas âme qui vive, pas une furtive silhouette, pas un client, pas une hôtesse, c’est l’être et le néon. Seules règnent ici les enseignes de ces maisons et ces néons qui architecturent le paysage. Micro-dispositifs d’écriture, pratiques vernaculaires qui graphent la nuit en lignes lumineuses rouges, bleues, jaunes, vertes, l’enseigne devient, grâce à une conversion du regard, un véritable signe, non plus de l’information à délivrer, mais du système intellectuel et économique qui l’a produite.

Werner Cuvelier ne cherche évidemment pas à dresser un inventaire exhaustif de ces maisons, ni même une topographie de leur implantation. Lorsqu’il classera les diapositives, il bouleversera la transhumance du photographe et ordonnera les clichés par ordre alphabétique des enseignes. De l’Amigo au Witte Paard, les couleurs des néons offre un singulier lexique que Werner Cuvelier révèle par son propre système de pensée, compilant une énumération hétéroclite, une nomenclature où se croisent les langues (le français, le néerlandais, l’anglais), les truisme du genre (Le Pussy Cat, Le Favori, l’Eden, Le Love, le Milady), l’exotisme (le Bellinzona, Le Byblos, Le Capri, le Nefertiti, le Crocodile, le Hawaï), les stars (Le Berkley, le Lido, le Ritz, le 5th Avenue), les fleurs (Le Bacarra, Le Bloemfontein, Le Myosotis, Le Mimosa), les performants (L’Elite, L’Equipe, le Rally, El Toro, De Jager), les chalets (Chalet T’Witte Paard, Chalet Olympia, Chalet Stop) et quelques inattendus (De Toerist, L’Oiseau Rare, Le Clochemerle, L’Elcerlyc (8). A l’heure où la sémiologie et les analyses structurales du langage tiennent le haut du pavé, cette déclinaison alphabétique éclaire ces Résidences Secondaires d’une autre manière et nous confronte, en quelque sorte, à une singulière linguistique des bordels. 

Werner Cuvelier, Buitenverblijven, 1973, carrousel de 80 diapositives

AGLAIA KONRAD : SHAPING STONES

In Shaping Stones, Konrad juxtaposes found architecture with authored architecture, and modern with ancient. We see anonymous buildings in Lithuania, Mexico City, Hong Kong, and elsewhere-set alongside buildings by such well-known authors as Bloc, Gillet, Hans Hollein, Parent and Virilio, James Stirling and Fritz Wotruba. And we see as well ancient stone structures- in Avebury, Vienna, or Sardinia-juxtaposed to modern excavations of Carrara. This approach has much in common with that of inter-war modernism, as it forges links between the ancient and the modern, and asserts them through a democratization of the means: black-and-white photography and large-scale printing. The inside-out and back-to front quality of these photos, bath in terms of their indexical and their temporal nature, is shared with all engravings and lithographs, whether etched in metal or indeed drawn on stone. Konrad’s photography plays with notions of « original » and « index, » « nature » and « culture, » with the fact that the original « stone » cannot be dated and with its « social » shaping in the historic present. (…)

 

WERNER CUVELIER : STATISTIC  PROJECT XVIII

Il est en quelque sorte le parent proche du Statistic Project XXII, dolmens et menhirs de France (1975) ainsi que du Statistic Project XXVI, Relaciones, España, Verano (1978) tous deux projets de grande transhumances. En fait, ce Statistic Project XVIII, Romeinse Reisroute, élaboré en 1974, en est en quelque sorte les prémices, tant du point de vue de la méthode que de l’objet. A l’été 1974, Werner Cuvelier décide de profiter de sa traversée de la France, en route vers sa villégiature estivale espagnole, afin d’établir un itinéraire mettant l’art roman à l’honneur. C’est de stricte actualité : les routes de Compostelle, durant ces années 70  et grâce à de nombreuses initiatives,  passent du monde des érudits épris d’art et d’histoire et de quelques pionniers attirés par l’horizon de la route, à la sphère d’un grand public. En 1978, la parution du récit de Barret et Gurgand  Priez pour nous à Compostelle  rencontre ainsi un vif succès et popularise les pérégrinations romanes. Werner Cuvelier est au fait. Il se base d’ailleurs sur une carte des routes compostellanes publiée dans un guide touristique, La France en Poche, Abbayes et cloîtres de France (1972). Mais pas question de calquer sa transhumance sur ces chemins historiques : il trace sur la carte une droite, de Soignies en Belgique à Clermont-Ferrand,  une droite qu’il ne quittera pas (quitte à passer non loin de Vézelay sans faire le détour), n’empruntant les chemins du pèlerinage  que durant les dernières étapes, 35 stations répertoriées à l’avance. A son retour, Cuvelier constituera une documentation parfaitement classée. Ses notes d’itinéraires, une quarantaine de dessin : des tracés rectilignes à échelle, d’un point à l’autre, report sur feuille A4 des cartes routières utilisées ainsi que des  photographies qu’il fait lui-même des monuments visités et des cartes postales collectées durant le voyage. Il laissera les choses en l’état. Trente ans après nous exhumons le classeur en l’état également. Celui-ci  témoigne des liens intrinsèques que Werner Cuvelier tisse entre pratique artistique, réel et vie quotidienne.

Art Brussels, preview, John Murphy, Suchan Kinoshita, Michiel Ceulers

One of ltalo Calvino’s ‘Six Memos for the Next Millenium’ is concerned with the question of ‘lightness’. Quoting the De Rerum Natura of Lucretius, he muses on the idea that knowledge of the world tends to dissolve its solidity, leading to a perception of ail that is infinitely light and mobile. He talks, too (for these essays were conceived as lectures), of ‘the sudden agile leap of the poet-philosopher who raises himself above the weight of the world, showing that with all his gravity he has the secret of lightness. Lucretius, he tells us, is a poet of the physical and the concrete, who nonetheless proposes that emptiness is as dense as solid matter. Just so, as lightness is inseparable from precision and determination. ‘One should be light like a bird, and not like a feather’, said the poet Paul Valéry.

If lightness has to do with the subtraction of weight, then this body of work by John Murphy is light. Several of these canvases carry merely the delineation of an ear; the others refer to the state of being that remains when all weight has been removed. ‘Selected Works’, blank music paper bound and displayed in vitrines, push that liminal state a step further into the unknown, for they exist in a permanent state of potentiality, somewhere between birth and death.

A point of entry into this weightless world may be through ‘A Portrait of the Artist as a Deaf Man’, a recent work based on a painting by Sir Joshua Reynolds. To those who are in possession of all their senses, the condition of deafness, like that of blindness, can suggest both isolation and an acute awareness of an inner world. ln conjunction with ‘Selected Works’, are we to suppose that the artist, within himself, hears echoes of Baudelaire’s « La Musique », which was inspired by the work of the deaf composer, Beethoven? (‘l feel all the passions of a groaning ship vibrate within me, the fair wind andthe tempest’s rage cradle me on the fathomless deep- or else there is a fiat cairn, the giant mirror of my despair’). But perhaps he can hear nothing at all?

There is solitude in John Murphy’s work, as well as a little irony and a touch of the comic. (Calvino, again, remarks that ‘melancholy is sadness that has taken on lightness. Humour is comedy that has lost its bodily weight’). The space in these paintings is unidentifiable; it is neither close nor distant. So, too, is their colour, which is poised but unstable. Pink passes into blue; blue passes into pink.

Music and the metaphysical are seldom far apart. It is in and through music that many of us feel most intimately in the presence of meaning that cannot verbally be expressed. Murphy’s ‘Selected Works’ are either so full of meaning that they are inexpressible or, quite plainly, they have never existed. Like his paintings, the ‘Selected Works’ invoke the aesthetics of the sublime; they present the unpresentable to demonstrate that there is something conceivable which is not perceptible to the senses. The experience of the sublime, according to Kant, accords us simultaneous grief and pleasure, because it both opens and conceals. The sublime impedes the beautiful; it destabilizes good taste.

Francois Lyotard, who has written about a connection between the aesthetics of the sublime and postmodernism, suggests that it is the business of contemporary culture to invent allusions to the conceivable that cannot be presented – not to enjoy them but to impart a new sense of the unpresentable. Calvino makes a comparable point, more wonderfully. ‘Think what it would be like to have a work conceived from outside the self, he writes, ‘a work that would let us escape the limited perspective of the individual, not only to enter into selves like our own but to give speech to that which has no language, to the bird perching on the edge of the gutter, to the bee in spring and the tree in fall, to stone, to cement, to plastic… ‘. John Murphy conveys to us the activity of absence – its force and inner vitality.

John Hutchinson

Dublin, August 1996.

By titling her exhibition “Architectural Psychodramas,” Suchan Kinoshita effectively provides the salient keywords that lead to a possible mode of reception. Kinoshita invariably eschews fixed categories and definitions; she loves the changeable and the speculative. For her, architecture is built space, environmental space that influences us, but also some- thing that we shape. “Psychodramas,” experiences, memories and emotions stick to it, but without necessarily congealing; they remain changeable. This understanding of time and space, replete with the subject-object groupings and contexts of meaning that are constantly updated within it, also resonates recognizably in her background in music and performance art. The individual elements in the exhibition are not given one single role or meaning. Rather, it is about their “potential as objects,” as Eran Schaerf described it in the catalogue for Kinoshita’s exhibition at Museum Ludwig, Cologne (2010). As a result, there are countless connections to be discovered between the totality of the assembled elements, which coalesce and condense in a number of themes and ideas, no sooner to jump into another context once more. (…)

Suchan Kinoshita produce sounds  with the help of birdcalls. She presents them via instruments, made with by hand and with incredible creativity, in a kind of aviary, thus also adhering to the principle of granting a physical presence to the acoustic components of the exhibition. These objects, too, are architectures in Kinoshita’s understanding, since they form a dwelling place for sound. And this brings us back to the never-ending topic of change- ability: when Kinoshita deploys birdcalls, it is by no means to imitate them. Instead, it is about the creation of something new. Just as it is with every memory, every object, every word.

Kristina Scepanski,  introduction to the exhibition « Architektonische Psychodramen » Westfälischer Kunstverein, 2022.

Art Brussels 2024, la quarantième

La galerie Nadja Vilenne  participe à la quarantième édition de la foire Art Brussels et sera heureuse de vous accueillir sur son stand. 

Galerie Nadja Vilenne is taking part in the fortieth edition of the Art Brussels fair and will be delighted to welcome you to its stand.

Nadja Vilenne exposera les oeuvres des artistes suivant :

Nadja Vilenne will be exhibiting works by the following artists:

MICHEL ASSENMAKER, MICHIEL CEULERS,  WERNER CUVELIER, ALEVTINA KAKHIDZE, AGLAIA KONRAD, SUCHAN KINOSHITA, JACQUES LIZENE, JACQUELINE MESMAEKER, BENJAMIN MONTI,  JOHN MURPHY

Brussels Expo
Halls 5 & 6
Place de la Belgique 1
1020 Brussels

OPENING DAY | 11am – 9pm
Thursday 25 April 2024
Preview | 11am – 4pm
Vernissage | 4pm – 9pm

PUBLIC DAYS | 11am – 7pm
Friday 26 April 2024
Saturday 27 April 2024
Sunday 28 April 2024

Suchan Kinoshita, lauréate du BelgianArtPrize 2025

L’asbl La Jeune Peinture Belge a annoncé le nom de la lauréate du BelgianArtPrize 2025. Suchan Kinoshita a été sélectionnée par le jury et invitée à créer et à présenter de nouvelles œuvres au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles / Bozar du 24 avril au 29 juin 2025. Le BelgianArtPrize est le prix d’art contemporain le plus connu en Belgique. Son objectif est de soutenir les artistes belges ou les artistes internationaux résidant en Belgique et de renforcer leur reconnaissance nationale et internationale. Suchan Kinoshita (Tokyo, 1960) vit et travaille à Bruxelles. Congrats to Suchan ! 

Plus d’informations à propos de Suchan Kinoshita

Aglaia Konrad & Eva Giolo, Simone Guillissen-Hoa, le film, CIVA, Bruxelles

Film stil by Eva Giolo and Aglaia Konrad, 2024

Le CIVA présente la première exposition monographique consacrée à la vie, à l’œuvre et à l’héritage de l’architecte belge d’origine chinoise Simone Guillissen-Hoa (1916-1996). Promotrice de l’architecture moderniste, elle a été l’une des premières femmes à créer son propre bureau d’architecture en Belgique. Sa carrière et sa vie personnelle ont constamment défié les limites et les conventions liées au genre, aux origines et à la religion.

Sa vie a traversé les événements majeurs du XXe siècle, des prémices de la Révolution chinoise à la Reconstruction d’après-guerre, en passant par la Résistance en Belgique occupée. Dans les années 1950, elle a été membre de l’association Soroptimist, une organisation de défense des droits des femmes, et dans les années 1970, elle a participé à la création de l’Union Internationale des Femmes Architectes.

L’exposition présente tout à la fois ses projets architecturaux, ses réflexions sur l’architecture, ses combats, ainsi que sa vie professionnelle et privée, et ce, à travers un large éventail de documents d’archives. En pénétrant dans le cercle artistique de Guillissen-Hoa, composé de personnalités telles que Léon Spilliaert, Alfred Roth, Max Bill, Enrico Castellani, Tapta, Henry et Nele van de Velde, l’exposition explore les influences et les collaborations qui ont façonné son parcours artistique et intellectuel.

Au centre de l’exposition, un film réalisé spécialement par les artistes Eva Giolo et Aglaia Konrad, présente plusieurs bâtiments de Simone Guillissen-Hoa et met en évidence la manière dont l’architecte utilise, adapte et traduit les éléments du langage moderniste.

DATES  : 24 avril, 2024 – 22 septembre, 2024
VERNISSAGE : 23.04.2024 – 19:00
CIVA, Rue de l’Ermitage 55, 1050 Bruxelles

Benjamin Monti, Etudes & Miniatures, les images (5)