Archives de catégorie : L’actualité à la galerie

Jacques Halbert, HTFAM (how to fuck a monochrome), les images (2)

Jacques Halbert
La Galerie Cerise, 1976
triporteur, technique mixte

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 100 x 100 cm

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 100 x 100 cm

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 100 x 100 cm

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 100 x 100 cm

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 165 x 130 cm

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Benjamin Monti, Drawing Room 2018, La Panacée, Montpellier, les images (2)

Accrochage La Panacée, 2018

Benjamin Monti
Sans titre, 2016
Encre de chine sur carte perforée de la « Courage-Organisation SA » 21 x 14,7 cm

Benjamin Monti
Sans titre, 2016
Encre de chine sur carte perforée de la « Courage-Organisation SA » 21 x 14,7 cm

Benjamin Monti
Sans titre, 2016
Encre de chine sur carte perforée de la « Courage-Organisation SA » 21 x 14,7 cm

Benjamin Monti
Sans titre 
Encre de chine sur dessin trouvé (de la série des histoires naturelles)
22,7 x 14,5 cm
2010-2016

Benjamin Monti
Sans titre
Encre de chine sur dessin trouvé (de la série des histoires naturelles)
22,7 x 14,5 cm
2010-2016

Accrochage La Panacée, 2018

Benjamin Monti
Sans titre, 2016
Encre de chine sur carte perforée de la « Courage-Organisation SA » 21 x 14,7 cm

Benjamin Monti
Sans titre, 2016
Encre de chine sur carte perforée de la « Courage-Organisation SA » 21 x 14,7 cm

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Benjamin Monti, Drawing Room 2018, La Panacée, Montpellier, les images

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Accrochage La Panacée, 2018

Benjamin Monti
Sans titre (queue de triton)
Encre de chine sur dessin trouvé (de la série des histoires naturelles)
22,7 x 14,5 cm
2010-2016

Benjamin Monti
Sans titre (sapindacée : acer)
Encre de chine sur dessin trouvé (de la série des histoires naturelles)
22,7 x 14,5 cm
2010-2016

Benjamin Monti
Sans titre (coupe de prunus, coupe de Narcisse)
Encre de chine sur dessin trouvé (de la série des histoires naturelles)
22,7 x 14,5 cm
2010-2016

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

Benjamin Monti
Sans titre, 2018
Encre de chine sur papier, 29,7 cm x 21 cm.

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Jacques Halbert, HTFAM (how to fuck a monochrome), les images (1)

Jacques Halbert
HTFAM (how to fuck a monochrome), 2017
Laque, 40 x 40 cm

Jacques Halbert
Camouflage, 2018
Huile sur toile, 165 x 130 cm

Jacques Halbert
HTFAM (How to fuck a monochrome), 2017
Laque, 165 x 130 cm

Jacques Halbert
Camouflage, 2018
Huile sur toile, 80 x 80 cm

Jacques Halbert
La Galerie Cerise, 1976
triporteur, technique mixte

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Benjamin Monti, Drawing Room, La Panacée – MoCo, Montpellier

La galerie Nadja Vilenne participe au Salon du Dessin Drawing Room 018, à La Panacée, centre d’art contemporain de Montpellier et y exposera des oeuvres de Benjamin Monti

La 9e édition de Drawing room se déroulera du 14 au 16 septembre 2018 et accueillera 16 galeries dont la présence inédite des galeries : Anne Barrault, Valérie Delaunay, Mariska Hammoudi, La Ferronnerie, Larnoline, Nadja Vilenne. Le salon du dessin contemporain de Montpellier présentera un programme complet et ouvert, sur le principe d’un open space accueillant 16 solo show.
Depuis 2017, La Panacée-MoCo co-organise Drawing room avec l’association Les galeries de Montpellier-art contemporain et programme une série d’évènements qui placent la figure du collectionneur au cœur du projet. En 2018, Nicolas Bourriaud, directeur du MoCo, invite Lafayette Anticipations – Fonds de dotation Famille Moulin à proposer une sélection d’oeuvres remarquables évoquant le dessin contemporain dans une approche singulière. Le Prix Galeries Lafayette, initié en 2016 par le groupe Galeries Lafayette, récompensera un artiste choisi parmi les solo show des galeries invitées.
L’École Supérieure des Beaux-Arts MoCo, l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier, l’Espace Saint-Ravy, le Frac Occitanie Montpellier, ICI, le Centre Chorégraphique National de Montpellier s’associent à cet évènement afin d’offrir à un public toujours plus nombreux (10 000 visiteurs en 2017), un parcours artistique dans la ville. Une série de rendez-vous accompagne cette programmation dans la perspective de proposer des approches riches et multiples du dessin contemporain.

Du 14 au 16 septembre 2018
Du vendredi au dimanche de 13h à 19h – Entrée libre
Vernissage le 13 septembre à 18h30
La Panacée – MoCo
14 rue de l’école de pharmacie 34000 Montpellier

www.drawingroom.fr

Benjamin Monti

C’est la nécessité de dessiner et de répéter – comme une leçon, une chanson, une posture – telle figure, qui est le moteur de l’imagerie poétique et acrobatique de Benjamin Monti. Cette nécessité de répétition, l’artiste en repère lui-même l’origine dans une première séquence troublante : trois portraits à peu près identiques de sa « mémé » réalisés vers l’âge de 7 ans et datés du jour même où elle mourut, se soustrayant ainsi de sa vue pour toujours. Est-ce pour affirmer que, depuis, il ne cesse de remplir un même devoir : être le sismographe de son existence, celui qui graphiquement en traduira les secousses ? Pourtant son œuvre n’est, en apparence, le symptôme d’aucun trauma profond. Son trait n’est pas expressionniste, qui relève d’une ligne claire, soigneusement posées sur du papier millimétré ou des pages d’anciens cahiers d’écoliers où figurent déjà des notes et des dessins tout aussi proprement appliqués. De même, ses figures ne sont pas personnelles, au sens où elles ne sont pas produites directement par son imagination mais extraites de l’imaginaire ready-made d’encyclopédies désuettes, de contes pour enfants ou de manuels d’apprentissage ; soit des images d’Epinal et des modèles stéréotypés qu’il s’applique calmement à recopier et surtout, à détourner avec malice. Mais que personne ne s’y trompe. Les dessins de Benjamin Monti, sages à première vue, procèdent d’un détournement du bon sens et de la bonne conduite, proche du surréalisme : on songe aux romans-collages de Max Ernst, comme La Femme 100 têtes (1929) ou Une semaine de bonté (1933). A bien les regarder, c’est d’ailleurs ce même parfum de délicate perversité qui s’en dégage ; fruit de l’union entre innocence et criminalité, jeu et cruauté, plaisir et souffrance. D’où, naturellement, l’impression que ses propres dessins, couplés souvent à d’autres sources, à des dessins d’autrui ou d’un autre âge, fonctionnnent comme ces « machines désirantes » que Gilles Deleuze et Félix Guattari ont imaginées pour décrire l’inconscient non plus comme un théâtre mais comme « une usine, un lieu et un agent de production », et partant, le désir non plus comme manque mais comme « agencement ». (Denis Gielen)

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Nadja Vilenne@ En Piste, Antoine Nessi, Agence ED, les images

Au sol :
Antoine Nessi, Bulles spéculatives
Résine polyester, fibre de verre, (4) x 120 x 50 x 50 cm

Agence ED (société offshore Chiffonniers)
SEP project * Fluo yellow, 2017
Peinture au couteau sur bâche, 180 x 180 cm

A gauche :
Agence ED (société offshore Chiffonniers)

C aine * Artic blue
Peinture au couteau sur bâche, 2017

A droite :
Agence ED (société offshore Chiffonniers)
ENT * Max green, 2017
Peinture au couteau sur bâche, 195 x 298 cm

Au Musée de la Boverie, à Liège, ces 7, 8 et 9 septembre 

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Nadja Vilenne@ En Piste, Antoine Nessi, Agence ED, une note d’introduction

Antoine Nessi
Bulles spéculatives, 2017
Résine polyester, fibre de verre, (4) x 120 x 50 x 50 cm

Antoine Nessi (vit et travaille à Marseille)

« La vie plastique est terriblement dangereuse, l’équivoque est perpétuelle. Aucun critérium n’est possible, aucun tribunal d’arbitrage n’existe pour trancher le différend du beau ». Fernand Léger vante là le Salon de la Machine et poursuit : « S’ils (les fabricants de machines) pouvaient faire crever le stupide préjugé, s’ils savaient que les plus beaux Salons annuels sont les leurs, ils feraient confiance aux hommes admirables qui les entourent, les artisans, et ils n’iraient pas chercher ailleurs des incapables prétentieux qui massacrent leur œuvre ». Ces phrases que Fernand Léger publie en 1924 dans L’Esthétique de la Machine me reviennent en mémoire à propos des Bulles spéculatives d’Antoine Nessi.
Le travail de celui-ci se concentre sur la confrontation de deux univers, celui de l’art et celui de l’industrie ou de la manufacture, deux univers qui peuvent sembler antagonistes. Et ces mots de Fernand Léger, « une vie plastique terriblement dangereuse, cette équivoque, ce différend », ces mots résonnent si j’évoque ces quatre barils, ces quatre bidons qui composent, là sur le sol, une singulière figure géométrique. Non, ce ne sont pas des ready-made, ils sont post-formés, moulés, usinés. Et surtout postindustriels. Dûment estampillés, produits en série et à l’identique, ils sont néanmoins privés de leur fonctionnalité. En déplaçant la notion de production, Antoine Nessi renoue avec l’équivoque évoquée par Léger et déjoue la paresse duchampienne. Ses créations rendent hommage au travail qualifié ; il n’y a plus de différend. Dans son atelier des moulages, il met en oeuvre le principe d’une production mimétique et interroge la perfection productiviste. Ici, l’inachevé, la matière résiduelle, cette irrégulière dentelle de résine polyester excroissante qui n’a pas été ébarbée aux jointures des barils, prend tout son sens. Singulière beauté, « là j’ai admiré véritablement l’industrie », pour citer Victor Hugo, contemplant les usines liégeoises de Monsieur Cockerill. Ces bidons ou barils sont devenus, déclare Antoine Nessi, des bulles spéculatives : c’est leur titre. Une appellation flottante, en quelque sorte. Après les quelques semaines caniculaires de cet été, ces bidons semblent en effet flotter comme de précieux contenants. Je me souviens qu’ils ont été installés dans la galerie le jour même d’une manifestation revendiquant la fermeture immédiate des centrales nucléaires de Doel et Tihange. Du coup, ces quatre barils scellés pourraient aussi renfermer d’inquiétants contenus. Contenants, contenus qu’ils ne sont pas ou plus, leur présence singulière, étrange, énigmatique est, on le voit, en prise réelle avec le monde.

Agence ED (société offshore Chiffonniers)
SEP project * Fluo yellow, 2017
Peinture au couteau sur bâche, 180 x 180 cm

Agence ED (société offshore Chiffonniers)
ENT * Max green, 2017
Peinture au couteau sur bâche, 195 x 298 cm

Agence ED*, Société offshore Chiffonniers.
Wolf Cuyvers, Victor Daamouche et Jean-Baptiste Janisset

Société Offshore Chiffonniers occupe, à Dijon, un lieu improbable, une ancienne usine de radiateurs automobiles, un atelier friche appartenant aux Chemins de fer. Rejetant l’idée d’institution, se positionnant quelque part entre les communautés Emmaüs et les leaders de l’Arte Povera, ce collectif a commencé par mener des initiatives telles que vendre des plats préparés à l’arrache sur un réchaud posé sur un cadis, grâce à des invendus du marché couvert de Dijon. Progressivement, ils ont souhaité apporter une cohérence et une légitimité à leurs actions en se constituant en association. C’était en juin 2014. Depuis, les lieux ont été rénovés, les expositions, les concerts s’y succèdent. L’Agence ED* émane de la Société offshore Chiffonnier. Cette appellation fait référence à Victor Hugo, à son passage à Liège, à son ouvrage Le Rhin, publié en 1842, à la description que l’auteur fait des usines de la vallée de la Meuse, cette gueule pleine de braise, ce dégorgement de tourbillons de vapeur écarlate étoilée d’étincelles. « Ce spectacle de guerre est donné par la paix, écrit Hugo ; cette copie effroyable de la dévastation est faite par l’industrie. Vous avez tout simplement là sous les yeux les hauts fourneaux de M Cockerill ». L’ED de l’Agence, c’est cette Effroyable Dévastation, évoquée par l’écrivain.
L’errance urbaine, la déambulation (nuitamment surtout, précise le collectif), la récup’, l’exploration de bâtiments abandonnés, le troc, l’emprunt font partie de leur pratique artistique. Wolf Cuyvers, Victor Daamouche et Jean-Baptiste Janisset sont attentifs aux lancinances et brusques polarisations qui caractérisent le rythme d’une ville, de son histoire, de ses friches et de l’espace urbain. Ainsi ont-ils également durant leur séjour à Liège déambulé sur quelques chantiers de bâtiments en construction (ils sont nombreux) afin d’emprunter (nuitamment, on s’en doute) quelques bâches accrochées aux échafaudages des promoteurs immobilier et entrepreneurs investissant (en) ces lieux. Non, ils ne les ont pas tagguées in situ ; je pense même qu’ils les ont sélectionnées pour leur fraicheur et j’entends par fraicheur qu’elles n’ont pas souffert du temps. Bref, ils les ont ramenées à l’atelier. Là, ils les ont peintes au couteau, se sont approprié leurs compositions graphiques, ont détourné leur champ lexical, leur conférant ainsi une nouvelle dynamique des mots et de l’espace transfigurés par la couleur.

Tant les oeuvres d’Antoine Nessi que celles de l’Agence ED ont été produites en 2017, lors d’une résidence à Liège, au RAVI, Résidence ateliers Vivegnis International.

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Antoine Nessi et Agence ED, société offshore Chiffonnier sont en Piste !

La galerie Nadja Vilenne participe au désormais traditionnel En Piste, organisé par la Ville de Liège, rencontre et exposition commune de l’ensemble des acteurs liégeois actifs dans le domaine des arts plastiques. Elle y expose des œuvres d’Antoine Nessi et du collectif – à géométrie variable – Agence ED, société offshore Chiffonnier, en ce cas composé de Wolf Cuyvers, Victor Daamouche et Jean-Baptiste Janisset. Les oeuvres exposées ont été produites à Liège, à l’occasion d’une résidence de ces artistes au RAVI, Résidence Art Vivegnis International, en 2017. 

Musée de la Boverie
Du 7 au 9 septembre, de 9 à 18h
Vernissage le jeudi 6 septembre à 18h.

Samedi 8.09 à 18h, en lien avec cette exposition, a lieu une performance musicale du Collectif du Lion, dans l’auditorium du musée. Intitulée Est-ce un oiseau ? , cette performance fait référence au procès de Brancusi contre les Etats-Unis. En 1927 s’ouvrait à New York un retentissant procès. L’objet du litige était une sculpture de Constantin Brancusi (1876-1957), Oiseau dans l’espace : les douanes américaines lui avaient refusé l’exonération de taxe, dont bénéficiaient légalement les œuvres d’art. Le Collectif du Lion propose une performance revenant sur cette affaire et les interrogations qu’elle emporte sur le statut de l’œuvre d’art et de l’artiste. Avec : Saskia Brichart comédienne, Michel Debrulle musicien (batterie, percussions), Nicolas Dechêne musicien (guitares), Thierry Devillers comédien, chanteur, Adrien Lambinet musicien (trombone-tuba-électronique), Francois Laurent poète urbain.

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Jacques Halbert, Le Pâtissier Pâtissé, Banquet cerisiste, les images (2)

Jacques Halbert participe en 1980 à l’exposition new yorkaise Une idée en l’air ainsi qu’au Festival Eat-Art organisé par Daniel Spoerri à Chalon-sur-Saône.
A cette occasion, rappelle Cindy Daguenet dans la publication qu’elle a récemment consacrée à  l’œuvre de Daniel Spoerri,  Jacques Halbert réalise plusieurs performances devant une tablée de cent convives et en garde encore aujourd’hui un souvenir partagé. Et l’auteure de citer un fragment d’un entretien entre Jacques Halbert et Ben Vautier, entretien daté de cette même année 1980. « Le public attendait de moi un Jacques Halbert jovial qui offrait des tartelettes. Et là, je suis arrivé avec des musiciens qui jouaient du rock. Je chantais des recettes en les exécutants. J’étripais un canard, pendant que les gens mangeaient du canard aux griottes, et j’exécutais la recette du canard aux griottes en la chantant sur du mauvais rock. Ainsi, j’étripais le canard, je le préparais et le mettait au four, c’était une folie car je me suis rendu compte que c’était le troisième âge qui était là. On m’a jeté des croutons de pain et des os de canard à la figure. En fin de prestation,  j’ai fait une performance que j’ai nommée Le Pâtissier Pâtissé où je me faisais recouvrir de vingt cinq litres de crème chantilly, de crème chocolat. J’avais réalisé cette performance à New York quelques mois auparavant pour Une idée en l’air. Les gens venaient me manger à l’aide de boudoirs. Et là à Chalon sur Saône, un type s’est levé et ma renversé la gamelle sur la tête. ». Depuis, Jacques Halbert a décliné Le Pâtissier Pâtissé à diverses reprises, y compris en guise de dessert au Banquet de la Fête Permanente au musée de la Vie wallonne, avec l’artiste liégeois Benjamin Monti comme partenaire pâtissier.

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