Archives mensuelles : mai 2012

Eleni Kamma, From Bank to Bank on a Gradual Slope, Villa Romana, Firenze

Eleni Kamma expose en solo à la Villa Romana à Florence.
Du 25 mai  au 28 juin
Vernissage le 25 mai à 19h.

Le communiqué de la Villa Romana : 

Eleni Kamma’s practice is informed by the inherent gaps and contradictions within existing cultural narratives and structures. By revisiting systems of classification and strategies of description and taxonomy, she examines the relation of the cliché, the banal and the stereotype, to the formation of history and the production of meaning. Her recent body of work examines how can words and images co-exist and create meaning by disrupting it; make sense by seemingly letting meaning collapse.

The starting point for this exhibition, whose title is taken from the sonnet of Averardo Genovesi from 1838, is the film “Georgofili”*, a 27 minutes HD film produced in 2012, for the purposes of which Kamma conducted research during her residency at the Villa Romana, as an international visiting artist in 2010 and 2011. Throughout “Georgofili”, an assemblage of different in time voices of Italy takes place. The old genre of Tuscan “Contrasto” verbal duels, in which the performers-poets Emilio Meliano and Realdo Tonti use their arguing skills to debate the politics and morality of contemporary Italy, meets historical educational dialogues from the age of enlightened despotism, performed and commented by the young Italian actors Lavinia Parisi and Marco Rustioni.

The exhibition “From Bank to Bank on a Gradual Slope” stages the premiere of the film among a selection of found objects placed on shelving structures developed specifically for the rooms of the Villa Romana in collaboration with the Belgian architect Breg Horemans. Windows and doors of the main exhibition rooms are projected along their own axis, until the point where they interfere. These crossing points shape the outline of the flexible and adjustable shelving structures.

The exhibition is accompanied by a printed edition of the Georgofili script, designed by Salome Schmuki. “From Bank to Bank on a Gradual Slope” openly invites the viewer to a spatial exploration between lived experience and a simultaneous reflection of contemporary Florence.

Eleni Kamma was born in 1973 in Athens and lives and works in Brussels and Maastricht. She was nominated for the 5th DESTE Prize and received the Lissone Award in 2007. Solo exhibitions include Enlever et Entretenir II, Wiels Project Room, Brussels (2011), Enlever et Entretenir I, HEDAH, Maastricht (2010), Forgotten Ties, Nadja Villene, Lieges, (2009). She has participated in numerous group exhibitions such as Found in Translation, Chapter L, Casino Luxembourg (2011), Expanded Ecologies. Perspectives in a time of emergency, National Museum of Contemporary Art, Athens (2009), Freeze! Who is there? 1st International Moscow Young Biennial, Moscow (2008); Chanting Baldessari, Bonnefanten Museum, Maastricht (2008); 10th International Istanbul Biennial, Istanbul (2007); Other Spaces, 1st Thessaloniki Contemporary Art Biennial: Heterotopias, Thessaloniki (2007); Take My Breath Away, Galerie La Centrale-Powerhouse, Montréal (2006).

The film “Georgofili” was produced with the support of Mondriaan Fund. Eleni Kamma‘s exhibition is supported by the Cultural Services of the Ministry of Culture and Education of the Republic of Cyprus.

* The Accademy of the Georgofili was founded in Florence in 1757 in order to promote science in favour of agriculture.

Emilio Lopez Menchero, L’Homme Bulle, photos de Marie Christine Mewissen

L’Homme Bulle d’Emilio Lopez Menchero a quitté le centre urbain liégeois et la bibliothèque des Chiroux. Il est en route pour Marchin, bourgade de la Hesbaye liégeoise où il sera installé dans les prochains jours. Le service de la Culture de la Province de Liège se propose, en effet, de faire circuler l’Homme Bulle, ce médiateur de la parole publique, au travers de la Province de Liège, à la rencontre des habitants. L’Homme Bulle a entrepris cette pérégrination à Waremme, à l’occasion de la manifestation « Aux Arts, Etc », il s’est ensuite arrêté à Liège, d’abord sur le parvis du Musée de la Vie wallonne, ensuite en contrebas de la bibliothèque des Chiroux.  A chaque étape, il est l’objet de l’attention d’un photographe ;  à chaque escale, les messages que reçoit son phylactère sont soigneusement consignés.  Un livre, fin 2013 évoquera le quotidien de l’Homme Bulle et ses transhumances, éclairés par une série de témoignages et points de vue.

La photographe Marie Christine Mewissen a été chargée de cette dernière étape liégeoise. Ses photographies sont actuellement visibles à la Bibliothèque des Chiroux. Si chaque image est prise avec le plus grand souci du point de vue, la part belle est donnée à la couleur : chaque image est retravaillée comme un tableau. La photographe pose, oppose et marie les couleurs comme un peintre apporte une densité toute picturale au cliché photographique.

Bibliothèque des Chiroux, Liège, du lundi au vendredi de 13h à 18h et le samedi de 9h à 12h30.

Suchan Kinoshita, Acte the presence, performance

SmallTalk is a series of lectures that take place at irregular intervals in the Atelier of the Flemish Government Architect. The contents of these lectures closely relate to the programme of the Team.

ACTE THE PRESENCE
Suchan Kinoshita

For the interior design of the Atelier the Team Vlaams Bouwmeester collaborated with visual artist Suchan Kinoshita (b. 1960, Tokyo – lives and works in Maastricht).

En passant: Scenario for a Passage is an especially for the Atelier devised new commission, inspired by the passage character of the place. Suchan Kinoshita’s intervention responds to the passage of time and the changing functions of the Atelier, taking into account the differences between day and night, between moments of activity and moments of rest.

En passant: Scenario for a Passage is a layered project that includes several elements. Two of them were realized at the opening of the Atelier. The first chapter of her script focuses the attention of the passerby on the interior of the Atelier through a composition for two voices and a light bulb. In the second component, a so-called ‘clock’, the individualized, subjective experience of time plays an important role. The third part, an installation that draws footsteps and other noises from the Ravensteingalerij into the Atelier space, will enter into force May 2012.

Following this new creation Suchan Kinoshita brings Acte de Présence, a performance in which the idea of the performance itself is central.

Atelier Bouwmeester
Ravensteingalerij 54 – 59, 1000 Brussels
On Tuesday, May 22, 2012 at 7 p.m.

Reservation required (only 50 seats) at:
bouwmeester@vlaanderen.be with reference SmallTalk 22/5

Emilio Lopez Menchero, Track, les images

Emilio López-Menchero réalise pour TRACK une série de portraits cinématographiques dans les quartiers populaires gantois Moscou et Bernadette. Il a demandé à 35 habitants de ces quartiers de chanter une chanson devant l’objectif. Les films sont projetés deux par deux sur des écrans comme dans un concours. Pendant qu’un habitant d’un quartier chante, un habitant de l’autre quartier écoute, et inversement. Cela débouche sur un riche dialogue, non seulement entre les habitants des deux quartiers, mais entre diverses générations, cultures et personnalités.

Audrey Frugier, Openairs, Liège

A Liège, Audrey Frugier participe à Openairs

Openairs s’inscrit dans une politique culturelle d’envergure en proposant dans le cœur historique de Liège des oeuvres originales d’artistes de renommée internationale (Orlan, Claude Lévêque, Peter Kogler, Sophie Giraux, Audrey Frugier, Frédéric Platéus)
Johan Muyle, artiste belge reconnu dans le monde de l’art a été choisi comme directeur artistique car parallèlement à son travail personnel qui manipule et détourne les images populaires, les icônes politiques ou qui construit des sculptures et assemblages malicieux, il a le désir de s’inscrire dans des projets qui questionne l’art contemporain dans la réalité culturelle, politique ou sociale. Les artistes qu’il a choisis partagent, tout comme lui, le même engagement et leurs démarches respectives participent d’une réflexion critique qui se matérialise sous des formes métaphoriques. Ces oeuvres originales partageront toute le même medium, le gonflable ; qui ici sera détourné de son usage publicitaire pour interroger la définition même de la sculpture et sa dimension habituellement pérenne dans l’espace public. Openairs est une manifestation comme son titre le définit ouverte à tous, présentant un parcours original de nouvelles formes de sculptures urbaines.
Le communiqué de presse ajoute que « Montrer l’art contemporain ailleurs, loin des institutions consacrées, des galeries ou musées, c’est concrétiser la volonté démocratique d’offrir à tous citoyens un accès à l’art contemporain ». Personnellement, je ne vois pas en quoi les institutions, galeries et musées seraient moins démocratiques, mais c’est là un autre débat.

Trois réflexions du commissaire d’exposition :

À la différence du « mot-valise » qui charrie le sentiment de confusion, je qualifie volontiers « OPENAIRS » de « mot-tiroir » car si son interprétation est multiple, chacun est libre d’y trouver ou d’inventer des significations possibles. A ce titre, je n’évoquerais qu’une seule référence, celle du célèbre « Air de Paris » de Marcel Duchamp (1919). « OPENAIRS » fait bien évidemment penser à l’air en tant que matériau en soi, tout en évoquant le caractère public d’une manifestation « en plein air », qui par extension suscite aussi le concept de musée en plein air. Par ailleurs, si la musicalité du mot « air » et le sens d’ouverture qu’induit le terme « open » me tiennent particulièrement à cœur, les deux mots issus du français et de l’anglais s’apparentent à une langue internationale, immédiatement compréhensible par tous.

J’ai constaté que ce matériau est utilisé dans l’art contemporain de façon récurrente mais ponctuelle dans le parcours d’un artiste. En ce sens, il n’y a pas à proprement parler dans l’histoire de l’art contemporain un artiste du gonflable. Le potentiel de déploiement du matériau et sa capacité à créer des formes monumentales sont probablement à l’origine de l’intérêt répété des plasticiens pour la structure gonflable. De plus, le contresens qu’induit ce matériau de la définition de la sculpture le plus souvent à vocation pérenne me plaît. La destination première du gonflable employé dans la publicité ou dans des contextes ludiques est un argument supplémentaire pour imaginer la cooptation par un public large de cette nouvelle forme de sculpture urbaine.

Situé en bord de Meuse, le cœur historique de Liège est un îlot aux qualités architecturales indéniables où cohabitent plusieurs publics : celui des musées et des riverains avec tout le contexte de vie commerciale et animée qu’il induit. Si l’on considère que le « culturel » d’aujourd’hui sera le patrimoine de demain, il n’est pas impertinent de valoriser une nouvelle fois ce quartier en y installant des œuvres éphémères d’artistes contemporains qui permettront à un public belge ou étranger de découvrir les œuvres en même temps que de découvrir ou de redécouvrir l’éclectisme de ce patrimoine d’exception.

Audrey Frugier, Life is magnifique ®

Sous ses aspects attractifs, l’oeuvre d’Audrey Frugier interroge la sacralité de l’esthétique et le jugement de goût qui lui est associé. Recourant aux brillants de pacotille, aux gemmes de contrefaçon et autres paillettes frivoles pour magnifier des objets utilitaires du commun (petit électroménager, ponceuse, etc.), Audrey Frugier sonde aussi bien la question du genre (féminin/masculin) en même temps que s’ajoute celle du paraître en société. Derrière l’interrogation des modes (vestimentaire, accessoiriste) et celle du pouvoir de légitimation de l’appartenance au groupe, Audrey Frugier pointe l’archaïsme du besoin grégaire questionnant de facto l’espace de singularité individuelle si chèrement revendiqué.
« Life is magnifique ® » (2011) se joue des codes architecturaux en remplaçant un chancre par la façade d’une maison idéalisée telle qu’on la retrouve dans la panoplie des jouets d’enfants, venant ainsi matérialiser la « façade » révélatrice de l’inscription en société.

12 mai – 30 septembre 2012
Organisation : La Province de Liège – Service culture en collaboration avec l’Office provincial des Métiers d’Art.
Bulle d’informations : Sur le parvis du musée de la vie Wallonne et la Place St Barthélémy

Emilio Lopez Menchero, Track, Gent, Moscou, Bernadette

Emilio Lopez Menchero particpe à TRACK, une initiative du SMAK, menée dans la ville de Gand durant tout l’été.

TRACK est une expérience artistique unique dans l’espace public et semi-public de la ville de Gand. Le projet propose des rencontres inattendues et enrichissantes avec la ville, son histoire et ses habitants, et incite le public à réfléchir sur certaines réalités urbaines et la condition humaine contemporaine au sens large. 35 artistes des quatre horizons ont été invités à créer une œuvre nouvelle qui puise largement dans le tissu urbain de Gand, mais relie aussi le contexte local avec des thèmes de portée universelle.
Les deux commissaires, Philippe Van Cauteren et Mirjam Varadinis, ont pris le temps de sélectionner des lieux caractéristiques du centre-ville gantois. Ils ont invité des artistes ayant des affinités avec le contexte thématique de ces lieux. Les artistes sélectionnés ont trouvé dans la réalité locale une riche source d’inspiration. Les résultats de leur plongée dans la ville ne sont donc pas des œuvres d’art au sens traditionnel du terme, mais des projets artistiques faisant appel à divers médias qui explorent les conditions sociales, économiques, culturelles et politiques de la ville et de notre époque. Leurs œuvres exhortent à la participation, entrent de diverses manières en interaction avec les communautés et laissent des traces permanentes.
TRACK est conçu comme un univers de récits, d’évènements, d’histoires parallèles. Il se décompose en six clusters procurant ensemble une coupe historique, culturelle, architecturale et mentale de Gand et du concept de ville contemporaine. Chaque cluster a sa propre ambiance et traite d’un thème spécifique : mobilité, religion, émigration, économie, langage, science, évolutions dans la ville…
TRACK invite le public à découvrir l’exposition sous divers angles. Pas d’itinéraire tracé à l’avance donc, pas de directives à suivre. Chaque visiteur se créera son propre TRACK en choisissant les clusters qui l’intéressent tout particulièrement, se tissant ainsi un récit basé sur ses propres origines et sur la manière dont il approche l’exposition. Un mode de découverte qui est de mise dans un monde globalisé et reflète l’idée que plusieurs réalités peuvent se produire au même moment.

TRACK is a unique art experience in the public and semi public space of the city of Ghent. It offers surprising, enriching and unexpected encounters with the city, its history and its inhabitants and incites to reflect upon urban realities and the contemporary human condition in a broader sense. 35 international artists were invited to conceive new art works that are strongly rooted in the urban fabric of Ghent but link the local context with issues of global significance.
The two curators Philippe Van Cauteren and Mirjam Varadinis took the time to select exemplary locations in the wider city centre of Ghent and invited artists who have an affinity with the thematical context of those places. The selected artists used the local reality as a fertile source of inspiration and the results of their in-depth explorations are not simply traditional works of art, but artistic projects in all different medias that embrace the social, economic, cultural and political conditions of the city and the times we live in. Their works call for participation, interact with the different communities in various ways and leave permanent traces.
TRACK is conceived as a universe of parallel narrations, occurences and (hi)stories. It consists of six clusters that offer a historical, cultural, architectural and mental cross-section of Ghent and the idea of a city today. Each cluster has its own distinct atmosphere and touches upon a specific issue like mobility, religion, migration, economy, language, science and city changes.
TRACK invites the audience to explore the exhibition in various ways. Visitors do not have to follow a given linear trail but are free to choose their own personal TRACK through the clusters and the city.  Each visitor thus creates a different kind of narration, based on his or her background and the way they are approaching the exhibition. This free and multi-layered perception corresponds to our globalised world and the idea of plural realities happening at the same time.
TRACK is welcoming everybody to visit the exhibition and to be inspired by the visionary potential of art.
TRACK was initiated by the S.M.A.K. It continues the tradition established by the large-scale exhibition projects Chambres d’Amis (1986) and Over the Edges (2000), which installed contemporary art in the context of the city and entered into direct dialogue with the public.

Emilio Lopez Menchero, Moscou – Bernadette

López-Menchero joue avec les codes et les attentes et infiltre des éléments connus de la culture populaire dans un contexte culturel artificiel. Il exerce sa pratique artistique dans les zones marginales à forte connotation sociale. López-Menchero réalise pour TRACK une série de portraits cinématographiques dans les quartiers populaires gantois Moscou et Bernadette. Il a demandé à 35 habitants de ces quartiers de chanter une chanson devant l’objectif. Les films sont projetés deux par deux sur des écrans comme dans un concours. Pendant qu’un habitant d’un quartier chante, un habitant de l’autre quartier écoute, et inversement. Cela débouche sur un riche dialogue, non seulement entre les habitants des deux quartiers, mais entre diverses générations, cultures et personnalités.

López-Menchero plays with codes and expectations and insinuates recognisable elements from everyday popular culture into an ‘artificial’ and cultural context. He engages in his artistic practices in indistinct peripheral areas with a high social significance. For TRACK he has made a series of film portraits in the working-class Ghent districts of Moscou and Bernadette. He asked about 35 inhabitants to sing a song in front of the camera. As if in a contest, the films are shown on two screens facing each other. While an inhabitant of one district sings, one from the other district listens, and vice versa. This brings about a captivating dialogue not only between the residents of the two districts, but also between various generations, cultures and personalities.

TRACK:
du 12.05 au 16.09.2012
12h00 – 18h00

S.M.A.K.: 10h00 – 18h00
le jeudi: 10h00 – 23h00

TRACK et le S.M.A.K. sont fermés le lundi.

Capitaine Lonchamps, Kamarama à Bruges, les images

Capitaine Lonchamps, Neige (Le Sanguinaire, tigre mangeur de Snowman),  2009, Technique mixte sur toile trouvée, 145 x 120 cm

Capitaine Lonchamps, Neige, 2011 (Snow – varan), Technique mixte sur objet trouvé, 320 x 100 x 90 cm.

Capitaine Lonchamps, Neige, 2011 (Snow – émeu), Technique mixte sur objet trouvé, 175 x 130  x 60 cm.

Capitaine Lonchamps, Neige 2012, Technique mixte sur imprimé, 25 x 34 cm

Capitaine Lonchamps, Neige 2012, Technique mixte sur imprimé, 18 x 24 cm

Capitaine Lonchamps, Neige 2012, Technique mixte sur imprimé, 17 x 13 cm

Capitaine Lonchamps, Neige 2012, Technique mixte sur imprimé, 14 x 9 cm

 

 

 

Capitaine Lonchamps et les Nègres du Kilimandjaro d’André Stas au Comptoir

Ce samedi 5 mai de 17 à 19h, André Stas présentera son dernier livre

LES NÈGRES DU KILIMANDJARO
Journal de voyage
suivi de Ce qu’en pense Yak Rivais et deLe Pot aux roses
avec neuf Neiges de Capitaine Lonchamps

paru au Crayon qui tue,
en présence de Thieri Foulc, éditeur et de Capitaine Lonchamps, illustrateur

Les errances et les intimités d’un personnage multiface : exactement cinq cent quatre-vingt-cinq faces dont les noms sont révélés, avec sept-cent quarante-neuf références, en fin d’ouvrage, dans la liste des « nègres ».
Digne de l’Oulipo.Un volume de 144 pages, sous couverture à rabats, avec gaufrage.
Neuf planches en pleine page.
33 exemplaires de tête non rognés, au format 16 x 22 cm, dont 3 sur japon retrouvé et 30 sur hollande Van Gelder, couverture Arches ivoire.
179 exemplaires sur vergé gris, au format 15,5 x 21,5 cm, couverture noire.