Archives mensuelles : octobre 2016

Eran Schaerf & Eva Meyer, La répétition mise à l’épreuve, Vox, Montréal

Eran Schaerf & Eva Meyer participent à l’exposition « La Répétition mise à l’épreuve », organisée par VOX, centre de l’image contemporaine, la Galerie Leonard & Bina Ellen et SBC galerie d’art contemporain à Montréal (Québec). Jusqu’au 26 novembre 2016

VOX, centre de l’image contemporaine, la Galerie Leonard & Bina Ellen et SBC galerie d’art contemporain accueilleront à l’automne 2016 un événement majeur intitulé La répétition mise à l’épreuve complété par un programme de films présenté à la Cinémathèque québécoise et à VOX. Les trois commissaires de l’exposition, Sabeth Buchmann, Ilse Lafer et Constanze Ruhm, réuniront plus de cinquante artistes de la scène internationale, qui examinent un ensemble de positions et de stratégies en art contemporain où la répétition est envisagée à la fois comme sujet et comme pratique. Si le thème de la « répétition » est fréquemment abordé au cinéma et au théâtre, de même que dans le domaine des beaux-arts, il est rarement pris en considération en histoire de l’art ou dans le discours sur l’art contemporain. C’est dans cette optique que l’exposition La répétition mise à l’épreuve interroge le rôle et la fonction de la notion de « répétition », conçue à la fois comme une méthodologie, un modus operandi et un médium, ainsi qu’un site de représentation et de réflexion pour les processus de production artistiques.

VOX, centre de l’image contemporaine, the Leonard & Bina Ellen Art Gallery and SBC Gallery of Contemporary Art will host a major event entitled Putting Rehearsals to the Test, accompanied by a film program presented at the Cinémathèque québécoise and at VOX. The three curators of the exhibition, Sabeth Buchmann, Ilse Lafer, and Constanze Ruhm, bring together over fifty international artists who address a set of positions and strategies in contemporary art that consider rehearsal as both subject and practice. While the subject of “rehearsal” is popular in film and theater, as well as in the fine arts, it has been scarcely considered in historical and contemporary art discourses. It is with this in mind that the exhibition Putting Rehearsals to the Test investigates the role and function of the notion of “rehearsal,” understood as a methodology, a modus operandi, a medium, a site of representation and reflection for artistic production processes.

Avec / With : Marwa Arsanios, Judith Barry, Martin Beck, Rainer Bellenbaum, Cana Bilir-Meier/Liesa Kovacs/Lisa Kaeppler en collaboration avec Nora Jacobs, Merlin Carpenter, Keren Cytter, Carola Dertnig, Discoteca Flaming Star, Loretta Fahrenholz, Harun Farocki, Heike-Karin Foell, Marie Claire Forté et Alanna Kraaijeveld en dialogue avec Sophie Bélair Clément, Hanako Geierhos, Jean-Luc Godard, Ana Hoffner, Oliver Husain, Richard Ibghy & Marilou Lemmens, On Kawara, Jutta Koether, Eva Könnemann, Krüger & Pardeller, Achim Lengerer (en collaboration), Rashid Masharawi, Jasmina Metwaly et Philip Rizk, Eva Meyer et Eran Schaerf, minimal club, Regina (Maria) Möller, Yoko Ono, Silke Otto-Knapp, Falke Pisano, Mathias Poledna, Marlies Pöschl, Isa Rosenberger, Constanze Ruhm, Susanne Sachsse, Klaus Scherübel, Eske Schlüters, Maya Schweizer, Wendelien van Oldenborgh, Clemens von Wedemeyer, Tanja Widmann, Katarina Zdjelar, Heimo Zobernig.

Eran Schaerf & Eva Meyer

Eran Schaerf & Eva Meyer

Vue de l’exposition La répétition mise à l’épreuve – En cours de production : l’image post-dramatique. Photo: Michel Brunelle.

(…) Dans l’installation d’Eva Meyer et d’Eran Schaerf, intitulée Pro Testing (2010), le concept d’ensembles temporaires devient à la fois une manifestation d’une répétition et, inversement, la répétition d’une manifestation, ainsi que le suggère le titre. Or c’est précisément la répétition qui provoque l’émergence des sujets politiques ; c’est en testant les règles du jeu que l’on que l’on obtient véritablement un « produit performatif », lequel s’avère à son tour être une répétition d’interactions sociales. Ceci met à contribution les principales caractéristiques des récits allégoriques : l’appropriation, la répétition et la métonymie. Sans oublier les trois termes centraux autour desquels l’œuvre de Meyer et Schaerf s’articule – Tableau (art, esthétique), Drapeau (signe d’identité nationale) et Bateau (une référence à l’histoire de l’art, mais également un signifiant contemporain dépourvu de référent) – qui symbolisent le parcours de l’esthétique au politique, en référence évidente et explicite à l’œuvre Un voyage en mer (1973) du Nord de Marcel Broodthaers. On relève ici le passage de la technologie à la peinture, une allégorie en cours de transition qui n’est pas sans rappeler la constellation de Widman.(…)

(…)In Eva Meyer and Eran Schaerf’s installation Pro Testing (2010), the notion of “temporary ensembles” transforms into both a demonstration of a rehearsal and, vice-versa, a rehearsal of a demonstration, as the title already suggests. It is precisely the rehearsal that triggers the becoming of political subjects. To test the rules of the game is the “performative product,” which turns out to be a rehearsal of social interactions. This implies significant characteristics of allegorical narratives: appropriation, repetition and metonymy. Not least, three central terms on which the work is based—Tableau (art, aesthetics), Drapeau (the flag as a sign of national identity) and Bateau (on the one hand, as art-historical reference; on the other, as contemporary media signifier without referent)—describe precisely the route from the aesthetic to the political, explicitly referencing, of course, Marcel Broodthaers and his work Voyage on the North Sea (1973). Here, a shift between technology and painting becomes discernible, an allegory in transition not unlike Widmann’s constellation.(…)

Eran Schaerf & Eva MeyerEran Schaerf & Eva Meyer

Eva Meyer and Eran Schaerf, Pro-testing, 2010, film stil

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Emilio Lopez Menchero, Identity as a trademark, centre culturel d’Hasselt, les images (2)

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Torero torpédo, col d’Aubisque, 2008
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 120 x 100 cm. Edition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
P.P.bis n°1, 2000 ou Trying to be Pablo Picasso n°1.
Photographie NB marouflée sur aluminium, 87,5 x 129 cm. Edition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Ensor, 2010.
Concept & performance : Emilio López-Menchero, photo : Emilio López-Menchero & Carmel Peritore. Costume et ma- quillage : Carmel Peritore. Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 76,5 x 61,5 cm. Edition 10/10

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Cindy, 2009
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 122 x 60 cm. Édition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero
Trying to be Valie Export, 2016
Photographie NB marouflée sur aluminium, 105 x 135 cm

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Fernand Léger, 2014
Photographie NB marouflée sur aluminium, 110 x 88 cm. Edition 5/5

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Emilio Lopez Menchero, Identity as a trademark, centre culturel d’Hasselt, les images (1)

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Rasputin, 2007
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 108 x 129 cm. Edition 5/5

Emilio López-Menchero
Trying to be Frida, 2005
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 105 x 128 cm. Edition 5/5

Emilio López-Menchero
Trying to be Pablo Escobar en Pancho Villa, 2014
Photographie couleurs marouflée sur aluminium Edition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Arafat, 2010
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 110 x 90 cm. Edition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be Rrose Sélavy, 2005 -2006
Photographie N.B marouflée sur aluminium, 74,5 x 91,5 cm. Edition 5/5

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to be American Indian (Warhol’s Russell Means), 2005
Photographie couleurs marouflée sur aluminium, 74,5 x 91,5 cm

Emilio Lopez Menchero

Emilio López-Menchero
Trying to John Lennon 2007-2008
Photographie couleurs marouflée sur aluminium. Edition 5/5

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Jacques Charlier, Jacques Lizène, De Broodthaers à Braeckman – La photographie dans les arts plastiques en Belgique, M hka, Anvers

Jacques charlier

Jacques Charlier et Jacques Lizène participent tous deux à l’exposition « De Broodthaers à Braeckman – La photographie dans les arts plastiques en Belgique », organisée par le Muhka à Anvers et dont le commissariat a été confié à Liesbeth Decan.

Exposition du 6 octobre au 5 février 2017. Vernissage le 13 octobre à 20h30, conjointement avec l’exposition Robert Filliou.

L’exposition De Broodthaers à Braeckman. La photographie dans les arts plastiques en Belgique présente à la faveur de quelques exemples représentatifs la manière dont le média photographique a fait son entrée dans le domaine des arts plastiques en Belgique et dont il a ensuite évolué en discipline artistique autonome entre les années 60 et 90.

De par sa situation géographique à la croisée de grands centres artistiques comme Londres, Amsterdam, Düsseldorf et Paris, et par la présence de collectionneurs importants et de galeristes visionnaires, la Belgique a représenté dans les années 60 et 70 une plaque tournante majeure du monde de l’art international. Ainsi, la génération émergente d’artistes belges a pu entrer en contact direct avec les principales tendances artistiques internationales, comme l’art conceptuel, l’Internationale situationniste et Fluxus. Des traditions artistiques locales influencent aussi leurs pratiques. Ainsi « l’héritage » des Surréalistes bruxellois est très notable, en particulier celui de René Magritte et de Paul Nougé. En outre, la tradition picturale très ancrée dans les Pays-Bas historiques, et par extension dans toute l’Europe, a manifestement exercé sur l’œuvre des artistes sélectionnés une influence décisive, caractérisée par une attention constante pour la réalité environnante.
L’exposition commence par l’œuvre photographique de trois « pionniers » de l’art conceptuel en Belgique : Marcel Broodthaers, Jacques Charlier et Jef Geys. Ensuite vient la percée en Belgique du photoconceptualisme, à travers l’œuvre de Jacques Lennep, Jacques Louis Nyst, Jacques Lizène, Philippe Van Snick et Danny Matthys. Et l’exposition s’achève par la transition du photoconceptualisme vers le tableau photographique et l’imbrication croissante de la photographie et de la peinture avec l’œuvre de Lili Dujourie, Jan Vercruysse, Ria Pacquée, Liliane Vertessen et Dirk Braeckman.
L’exposition De Broodthaers à Braeckman. La photographie dans les arts plastiques en Belgiques’inspire des recherches que Liesbeth Decan a effectuées pour sa thèse de doctorat : Conceptuel, surréaliste, pictural : l’art photographique en Belgique du début des années 60 au début des années 90. Sa thèse sera publiée concomitamment à l’exposition, dans la collection Lieven Gevaert Series (Universitaire Pers Leuven).

Through representative examples From Broodthaers to Braeckman. Photography in the Visual Arts in Belgium shows how the medium of photography entered the field of visual arts in Belgium and how it evolved into an independent artistic medium between 1960 and 1990.
Its location between major artistic centres such as London, Amsterdam, Dusseldorf and Paris, and the presence of important collectors and visionary gallery owners, turn Belgium into an important meeting place for the international art world in the 1960s and 1970s. A rising generation of Belgian artists comes into direct contact with international artistic trends like conceptual art, Fluxus and the Situationist International. Local artistic traditions too influenced their practice. Especially striking is the legacy of the Brussels surrealists, in particular the work of René Magritte and Paul Nougé. Moreover, the strong pictorial tradition of the Low Countries, and by extension Europe, turns out to have had a decisive influence on the work of the artists selected for this exhibition, which is characterised by a constant attention to their surrounding reality.
The exhibition opens with the photographic work of three pioneers of conceptual art in Belgium: Marcel Broodthaers, Jacques Charlier and Jef Geys. Subsequently, the breakthrough of photoconceptualism in Belgium can be seen in the work of Jacques Lennep, Jacques Louis Nyst, Jacques Lizène, Philippe Van Snick and Danny Matthys. Finally, the transition of photoconceptual work to the photographic tableau – the ever growing mixture of photography and painting – is shown by means of the work of Lili Dujourie, Jan Vercruysse, Ria Pacquée, Liliane Vertessen and Dirk Braeckman.
The exhibition From Broodthaers to Braeckman. Photography in the visual arts in Belgium is based on the doctoral research of Liesbeth Decan: Conceptual, Surrealist, Pictorial: Photo-based Art in Belgium (1960s-early 1990s), which appears as a book concurrently with the exhibition as part of the Lieven Gevaert Series (Leuven University Press).

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Suchan Kinoshita, Behind the curtain. Concealment and Revelation since the Renaissance. Museum Kunstpalast, Düsseldorf, les images

Suchan Kinoshita

Suchan Kinoshita

Suchan Kinoshita
Meaning is moist, 2006
Mixed media, 180 x 140 x 270 cm

Behind the curtain. Concealment and Revelation since the Renaissance. From Titian to Christo, Museum Kunstpalast, Düsseldorf

The starting point of this exhibition is the tale of the contest between two ancient painters, who sought to outdo each other’s virtuosity in the art of trompe l’oeil. While Zeuxis, however, was merely able to fool the pigeons, which attempted to peck at the grapes he had painted, Parrhasius succeeded in actually deceiving the eye of his rival, who attempted to draw the curtain painted by Parrhasius to reveal the picture assumed to be behind it.

The fascinating interplay between concealing and showing, veiling and revealing using a curtain, veil or drapery is introduced in this themed exhibition, which is staged exclusively in Düsseldorf and shows important works from six centuries. With loans from international museums and private collections – paintings, drawings, sculptures, installations and photographs – the show ranges from Renaissance and Baroque paintings to modern and contemporary art. Alongside Titian’s “Portrait of Cardinal Filippo Archinto” dated 1558, which is on loan from the Philadelphia Museum of Art, the exhibition includes works by Lucas Cranach the Elder, El Greco, Jacopo Tintoretto, Arnold Böcklin, Robert Delaunay, Max Beckmann, Cindy Sherman, Christo and Gerhard Richter.

The exhibition, which is curated by General Director Beat Wismer and Claudia Blümle, Professor at the Institute of Art and Visual Studies of Humboldt Universität in Berlin, illuminates in different thematic chapters the ambivalence and fascination surrounding the notion of concealment and revelation, as well as the relationship between the fine arts and perception. The wealth of topics covered start with the antique painting competition and in further chapters turn to issues such as “mystery of the divine”, “power of representation”, “violence of unveiling”, “thrill of the concealed”, “internal and external”, as well as “the art of unveiling”.

The exhibition, which spans several epochs and genres, not only draws a link to the present in terms of the choice of works presented. To this day, the veil, concealment and revelation play an important part in religious and social contexts, as well as in fashion. In the same vein as the curtain, far more than any other motif, mediates between the world of the viewer and that of the picture, the programme accompanying the exhibition is intended to open up further spheres of experience to visitors.

Museum Kunstpalats, Düsseldorf > 22.01.2017

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Jacques Charlier, Jacques Lizène, Pol Pierart, Jacqueline Mesmaeker, Images et Mots depuis Magritte, Centre Wallonie-Bruxelles, Paris

Jacques Lennep

Lennep, Peinture casse pipe, 2009, huile, acrylique et craie sur toile, 3 x 64 x 47 cm, collection Jacques Lennep d’après l’oeuvre « La Trahison des Images » de René Magritte (1929)

Jacques Charlier, Jacques Lizène, Pol Pierart et Jacqueline Mesmaeker participent à l’exposition « Images et mots depuis Magritte.
Centre Wallonie-Bruxelles, Paris, dsl 13 octobre au 29 janvier 2017

Œuvres de 27 artistes : Thorsten Baensch, Pierre Bismuth, Marcel Broodthaers, Pol Bury, Jacques Charlier, Patrick Corillon, Christian Dotremont, Peter Downsbrough, Eric Duyckaerts, Eva Evrard, Sylvie Eyberg, Michel François, Maria Gilissen, Ann Veronica Janssens, Djos Janssens, Lennep, Jacques Lizène, Chantal Maes, René Magritte, Marcel Mariën, E.L.T. Mesens, Jacqueline Mesmaeker, Henri Michaux, Jean-François Octave, Pol Pierart, Bernard Queeckers, Joëlle Tuerlinckx, Bernard Villers.

Du surréalisme à Cobra, de l’art conceptuel aux médias actuels, l’exposition Images et Mots depuis Magritte offre un coup de projecteur sur les différents mouvements ou tendances artistiques, en Belgique de langue française, croisant langage et art, texte et geste, pensée plastique et pensée littéraire, poésie visuelle et peinture théorique.

Elle met en évidence une des spécificités de l’art moderne et contemporain, les relations entre les mots, l’écriture et les arts plastiques, tout en mettant en lumière les recherches variées qui s’en inspirent ainsi que leurs développements et leurs évolutions.

Débutant avec Magritte et la publication en décembre 1929 de son manifeste Les mots et les images, le parcours de l’exposition montre la diversité des recherches artistiques poursuivies jusqu’à aujourd’hui, selon la confrontation de l’image et du verbe, de la forme et de la pensée, de l’écriture ou du geste artistique, du langage poétique ou de son expression plastique.

Elle interroge des approches de la modernité et de la contemporanéité aussi différentes que celles pouvant être mises en miroir avec les oeuvres de Marcel Broodthaers, plutôt théoriques et conceptuelles, que d’autres davantage attachées à la dimension littéraire ou scripturale de l’expression artistique, à la suite de l’apport de Christian Dotremont et d’Henri Michaux.

Dans la lignée de Magritte et Broodthaers, Lennep, Jacques Charlier et Jacques Lizène questionnent avec un humour irrévérencieux les positionnements artistiques des avant-gardes des années 70, selon des jeux de mots et d’images tournant en dérision les certitudes conceptuelles autant que les principes esthétiques préétablis.

De nombreuses nouvelles approches artistiques des relations entre mots et images complètent ce panorama et confrontent notamment des dessins, peintures, photographies, vidéos, installations, projections de Pierre Bismuth, Patrick Corillon, Michel François, Ann Veronica Janssens, Djos Janssens, Chantal Maes, Jacqueline Mesmaeker, Jean-François Octave, Pol Pierart, Bernard Queeckers, Joëlle Tuerlinckx…

L’exposition Images et Mots depuis Magritte offre de riches perspectives de dialogues avec l’exposition Réné Magritte, organisée de manière concomitante au Centre Pompidou. Autant de correspondances et de connivences qu’un symposium international mettra en lumière.

Commissariat et scénographie : Michel Baudson.
Adaptation de l’exposition Images et Mots, produite par Wallonie-Bruxelles International et présentée dans le cadre de l’accord culturel Chine / Wallonie-Bruxelles « 2012, Année du dialogue interculturel Union européenne – Chine ».

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Jacques Lizène, Identity as a trademark, centre culturel d’Hasselt, les images (2)

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Petit maître à la fontaine de cheveux, photographie de Pierre Houcmant (1980), photographie NB marouflée sur toile, 59 x 80 cm, en remake 2011. Edition 1/10

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Peinture nulle (1966), sur l’idée de mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), sculpture génétique (1971), en remake 2010, photographie marouflée sur toile, rehaussée en technique mixte, 50 x 60 cm, 2010

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizèn'e

Jacques Lizène
Art syncrétique (1964), sculpture génétique (1971), en totem et en remake 2014
Encre et crayon sur calques, 3 x 29,7 x 21 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture génétique (1971), Manzoni croisé Lizène, en remake 2015. Manzoni, merda d’artista (1961) – Lizène, peindre avec sa matière fécale (1977). Être son propre tube de couleur. Technique mixte, impression jet d’encre, peinture à la matière fécale sur papier, encre, acrylique, 101 x 75 cm.

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Art syncrétique (1964), sculpture génétique (1971), en totem et en remake 2014
Encre et crayon sur calques, 3 x 29,7 x 21 cm

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Jacques Lizène, Identity as a trademark, centre culturel d’Hasselt, les images (1)

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), remake 2011, photographie marouflée sur toile, 100 x 112 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Peinture nulle (1966), sur l’idée de mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), sculpture génétique (1971), en remake 2010, photographie marouflée sur toile, rehaussée en technique mixte, 50 x 60 cm, 2010

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture nulle, 1980, art syncrétique 1964, sculpture génétique culturelle 1971-1984, le 25e Bouddha, sur une colonne pseudo dorique, art néo-déco, remake 2011 technique mixte, 160 x 45 x 30 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture nulle (1980), autoportrait africain en totem, sculpture génétique (1971), mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), remake 2008- 2010, plâtre, acryl, vinyl, bois, 45 x 20 x 20 cm

Jacques Lizène
Sculpture nulle (1980), autoportrait au fruits remake 2008- 2010, sur l’idée de mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), sculpture génétique (1971) (James Ensor, Les Cuisiniers dangereux ou la collerette du clown)

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), la fumée pour élément sculptural, remake 2011, photographie marouflée sur toile et rehaussée à l’acrylique, 100 x 112 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, chaises découpées et croisées, en remake 2011. Technique mixte, 88 x 41 x 42 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Art syncrétique 1964, chaises découpées et croisées, en remake 2011. Technique mixte, 88 x 41 x 42 cm

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture génétique 1971, Robert Filliou (portant sa galerie sur la tête) croisé, collage sur livre, 2016

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Peinture nulle (1966), sur l’idée de mettre n’importe quel objet sur la tête (1994), sculpture génétique (1971), en remake 2010, photographie marouflée sur toile, rehaussée en technique mixte, 50 x 60 cm, 2010

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Agenda octobre 2016

Jacques Charlier
– Charleroi (B), Panorama, BPS22, du 24 septembre au 22 janvier 2016
– Antwerpen (B), De Broodthaers à Braeckman – La photographie dans les arts plastiques en Belgique, Muhka, du 6 octobre 2016 au 5 février 2017
– Paris (F), Images et mots depuis Magritte, Centre wallonie Bruxelles, Paris, 12 octobre – 29 janvier 2017

Olivier Foulon
– London (GB), Vanité, Kunstraum, 9 septembre – 29 octobre 2016 (solo)
– Rotterdam (Nl), Cafard, Olivier Foulon & Alexander Lieck, RIB, 18 septembre – 30 décembre 2016

Eleni Kamma
– Tinos (Gr), Curiosity, Tinos Quarry Platform, du 2 juillet au 31 octobre
– Leipzig (D), Terra Mediterranea in action, Halle 14, 17 septembre – 20 novembre 2016
– Groningen (PB), Parrhèsia, or the courage of the truth in a transparent society, Sign, du 30 septembre au 23 octobre 2016

Suchan Kinoshita
– Dusseldorf (D), Behind the curtain. Concealment and Revelation since the Renaissance. From Titian to Christo, Museum Kunstpalats, du 29 septembre au 22 janvier 2017.

Charlotte Lagro
– Liège (B), Perdu à Pépinster, Space Collection, dans le cadre de la Biennale de l’Image possible 2016, du 20 août au 16 octobre 2016 (solo)

Jacques Lizène
– Liège (B), Homomigratus, comprendre les migrations humaines, Musée de la vie wallonne, du 30 avril au 11 décembre 2016
– Charleroi (B), Panorama, BPS22, du 24 septembre au 22 janvier 2016
– Ivry/Seine (F), Le territoire à l’oeuvre, galerie Fernand Léger, 23 septembre – 18 décembre 2016
– Antwerpen (B), De Broodthaers à Braeckman – La photographie dans les arts plastiques en Belgique, Muhka, du 6 octobre 2016 au 5 février 2017
– Hornu (B), Rebel Rebel, art contemporain et rock, MAC’S, musée des arts contemporains, du 23 octobre au 27 janvier 2017
– Hasselt (B), Identity as a TM, Stadstriënnale Hasselt-Genk, du 1er octobre au 8 janvier 2017
– Paris (F), Images et mots depuis Magritte, Centre wallonie Bruxelles, Paris, 12 octobre – 29 janvier 2017

Emilio Lopez-Menchero
– Charleroi (B), Panorama, BPS22, du 24 septembre au 22 janvier 2016
– Hasselt (B), Identity as a TM, Stadstriënnale Hasselt-Genk, du 1er octobre au 8 janvier 2017

Jacqueline Mesmaeker
– Paris (F), Images et mots depuis Magritte, Centre wallonie Bruxelles, Paris, 12 octobre – 29 janvier 2017

Benjamin Monti
– Huy (B), Dédale 2016, parcours d’art contemporain, divers lieux, du 9 septembre au 09 octobre 2016

Pol Pierart
– Charleroi (B), Panorama, BPS22, du 24 septembre au 22 janvier 2016
– Paris (F), Images et mots depuis Magritte, Centre wallonie Bruxelles, Paris, 12 octobre – 29 janvier 2017

Eran Schaerf
– Montréal (Qb), La répétition mise à l’épreuve, VOX, du 1er septembre au 26 novembre 2016

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Emilio Lopez Menchero, Identity as TM, Triennale Hasselt-Genk

Emilio Lopez Menchero

En façade du Centre Culturel d’Hasselt, cette bâche annonçant l’exposition « Identity as TM » dans le cadre de la Triennale Hasselt – Genk, à laquelle participe Emilio Lopez Menchero ainsi que Jacques Lizène. Commissaire : Emannuel d’Autreppe. 1er octobre – 8 janvier.

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