Archives par étiquette : Werner Cuvelier

Art Brussels, les images (1)

Werner Cuvelier, Impressions d’Espagne, photographies NB, tirages argentiques, 30 x 160 cm

Connexions PS XXII – 1975 : Werner Cuvelier. Dolmens et menhirs de France. Retour 5 – 6
Dessin, photos NB, crayon et encre de chine. 58 x 48 cm.
Werner Cuvelier, Statistic project XVL, Ponti di Firenze, 1986. 
Photographies NB, technique mixte, collage, encre de chine, 23,5 x 80 cm
Werner CUVELIER
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent,
2e version, 1981
Werner CUVELIER
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent,
2e version, 1981
Werner Cuvelier, Portes d’Espagne, photographies NB, technique mixte, collage, crayon, montage après 1998, prises de vue : années 70
Werner CUVELIER
Statistic Project I, 1971
Sammlung Karl Ströher, 2. Sammlung
Peter Ludwig, 3. Sonsbeek buiten de perken – Arnhem 71, 4 documenta 4 – Kassel 68
Aglaia Konrad,
BT 21, 2021
Inkjet print on fine art paper, aluminium, framed, 126 x 86 cm
Aglaia Konrad,
BT 12, 2021
Inkjet print on fine art paper, aluminium, framed, 126 x 86 cm
Aglaia Konrad,
BT 05, 2021
Inkjet print on fine art paper, aluminium, framed, 126 x 86 cm
Werner CUVELIER
Statistic Project I, 1971
Sammlung Karl Ströher, 2. Sammlung
Peter Ludwig, 3. Sonsbeek buiten de perken – Arnhem 71, 4 documenta 4 – Kassel 68
Aglaia Konrad,
BT 11, 2021
Inkjet print on fine art paper, aluminium, framed, 126 x 86 cm

Le Monde est Rond, Werner Cuvelier, S.P.1

Archives Werner Cuvelier

Le Statistic Project I de Werner Cuvelier est une analyse statistique de l’art des années 60, fondée sur un scrupuleux dépouillement de quatre publications. Celles-ci concernent deux expositions, la Documenta IV (catalogue en deux volumes), Sonsbeek buiten de perken – Arnhem, et deux collections, celles de deux industriels allemands, Karl Ströher d’une part, Peter Ludwig d’autre part. Ne seront pris en compte que les éléments objectifs concernant les artistes présents dans ces publications : le nombre d’œuvres présentes dans ces collections et expositions, les âges, les lieux de naissance et de vie, les nationalités. Ces éléments constitueront les données statistiques à exploiter, tout d’abord en listes et tableaux commentés, ensuite en dessins, tableaux sur toiles, reliefs et œuvres tridimensionnelles.

Le projet est exposé pour la première fois en 1972 à la galerie Plus Kern à Gand. Une fois de plus, annonce le communiqué de presse, Cuvelier apporte des informations sur l’art, mais la visualisation de ces informations devient à son tour un processus artistique. Les tableaux, graphiques, peintures, reliefs, objets et compositions sonores qui en résultent peuvent être considérés comme des œuvres d’art autonomes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de leur relation avec le matériau utilisé. La valeur statistique, cette mise en œuvres de données objectives, fonde en effet le processus. Elle est à l’origine, rappelle Werner Cuvelier, d’une importance capitale. De par la nature même du travail, mais aussi et sans doute, parce que la déferlante des artistes américains et du Pop Art en Europe, confirmée par l’exploitation de ces quatre catalogues, est de stricte actualité à l’époque, ce qui suscite bien des réactions dans les milieux artistiques. Toutefois, écrit Werner Cuvelier dans son Tekenboek I, l’importance de la valeur plastique des résultats l’a vite emporté sur la valeur statistique. Celle-ci ne reprendra de la valeur que placée entre guillemets. Ces guillemets font, en effet, référence au caractère subjectif (par opposition à objectif) de tout ce qui a contaminé le monde auparavant. J’utilise l’art, affirme Werner Cuvelier pour faire de l’art, contrairement à tout ce qui a déjà servi de modèle pour l’art. Werner Cuvelier envisage la chose comme une sorte de renonciation – le mot est fort – une renonciation à être créateur. Néanmoins, nuance Werner Cuvelier, c’est moi qui fais le travail, c’est moi qui décide des couleurs, c’est moi qui décide du format. Seules les proportions et le nombre de couleurs découlent des données statistiques. Il conclut, enfin : Ce projet peut être considéré comme une question philosophique, et donc extrême, pour les artistes, les collectionneurs, les directeurs de galeries, les critiques, les historiens et autres personnes impliquées dans l’art… une question sur le comment et le pourquoi des choses.

 

Werner Cuvelier
Statistic Project I
1. Sammlung Karl Ströher, 2. Sammlung Peter Ludwig, 3. Sons- beek buiten de perken – Arnhem 71, 4 documenta 4 – Kassel 68 Technique mixte, acrylique et bois. 100 x 100 x 100 cm
Werner Cuvelier
Statistic Project I
1. Sammlung Karl Ströher, 2. Sammlung Peter Ludwig, 3. Sons- beek buiten de perken – Arnhem 71, 4 documenta 4 – Kassel 68 Technique mixte, acrylique et bois. 100 x 100 cm
Werner Cuvelier
Statistic Project I
1. Sammlung Karl Ströher, 2. Sammlung Peter Ludwig, 3. Sons- beek buiten de perken – Arnhem 71, 4 documenta 4 – Kassel 68 Technique mixte, acrylique et bois. 100 x 100 cm

Jacqueline Mesmaeker, Werner Cuvelier, Time Elapsed, Bruxelles.

De vier seizoenen – Hommage à Vivaldi
Huiles sur bois, 69 pièces, dimensions diverses
Jacqueline Mesmaeker
Ouest-Sud-Ouest (2009-2017), cartons postaux

Jacqueline Mesmaeker et Werner Cuvelier participent à l’exposition  Time Elapsed, conçue par Pierre-Philippe Hofmann. Imprimerie de la Banque Nationale – Bd de Berlaimont 56, 1000 Brussels.  Vernissage le 16 avril de 14 à 18h. Exposition du 17 au 27 avril 2023 

[EN] How does time affect the way we feel or the way we produce art? TIME ELAPSED brings together a variety of pieces that attempt to answer this essential question in their own manner.

[NL] Hoe beïnvloedt tijd de manier waarop we de werkelijkheid ervaren of de manier waarop we kunst produceren? TIME ELAPSED brengt verschillende werken samen die op hun eigen manier deze essentiële vraag proberen te beantwoorden.

[FR] De quelle façon est-ce que le temps agit sur notre façon de ressentir ou notre façon de produire des oeuvres? TIME ELAPSED rassemble des pièces hétéroclites qui tentent de répondre à leur façon à cette question essentielle.

Luxembourg Art Week, The Fair, les images

Jacques Charlier
Jacques Charlier – Aglaia Konrad
Aglaia Konrad
Aglaia Konrad
Werner Cuvelier
Raphaël Van Lerberghe
Loic Moons
Gaetane Verbruggen
Gaetane Verbruggen

Luxembourg Art Week, The Fair, preview (2), Jacques Charlier, Werner Cuvelier

Jacques Charlier, Please, 105 x 105 cm, 2013
Jacques Charlier, Androïd, 85 x 95 cm, 2007
Jacques Charlier, Poetry, 85 x 65 cm, 2020
Jacques Charlier, Fragile, 125 x 104 cm

Qu’il tente de libérer Venise d’une incroyable pudibonderie ou de réhabiliter Lamartine,  qu’il investisse toutes les doublures du monde dans un salon parlementaire , ou qu’il «warholise» ministres et autres célébrités, Jacques Charlier est, avec une saisissante labilité parodique et un sens critique aiguisé, un observateur attentif tant du microcosme du monde de l’art que de la société dans laquelle il agit. Naguère directeur des Zones Absolues, fondateur d’un Centre International de Désintoxication Artistique, pourfendeur d’idées reçues, d’anachronismes et incongruités, l’artiste vit et travaille en Wallagonie, ce pays où fleurissent les fronts de libération des chiens et des trottoirs, des coqs et des tilapias. En Wallagonie, il est de bon ton de fréquenter les centres de la lèche et de la brosse à reluire, les sociétés anonymes des bières et du tir aux pigeons, les comités de la tarte au riz et des marchés de Noël. Sans cesse à la recherche de la meilleure adéquation entre l’idée et le médium, Jacques Charlier privilégie une approche pluridisciplinaire. C ‘est un caméléon du style, un activiste «non exalté », un lecteur attentif de Jean Baudrillard comme de Paris Match qu’il parodie lorsqu’il s’agit d’éditer ses propres travaux. De cette société de l’art contemporain, il est très vite devenu, dès le la fin des années 60, l’observateur agissant des us et coutumes. Avec érudition et labilité, ses récents «Cent sexes d’artistes» en témoignent. Avec humour et bon sens, lorsque Sergio Bonati, son hétéronyme, déclare : «En Art pour être le premier, il est vivement conseiller d’être le suivant ». Ses caricatures, textes, bande dessinées, ses photographies de vernissages sont à la fois une la chronique d’une époque, un regard amusé, mais sans complaisance sur ce fort remuant microcosme, un abrégé des pratiques d’avant-garde, un démontage des discours théoriques qu’il détricote allègement, une critique permanente de la Curie et de l’incurie artistique.

«Des symbolistes à Charlier, écrit Yves Randaxhe, en passant par Duchamp (et naturellement Magritte), on osera aussi tendre un fil rouge qui va de l’ambition annoncée par Jean Moréas dans le Manifeste du Symbolisme de «vêtir l’idée d’une forme sensible» à la volonté duchampienne de «remettre la peinture au service de l’esprit», jusqu’au projet sans cesse réaffirmé du Liégeois de «mettre l’art au service de l’idée». C’est clair, l’héritage d’Ensor, de Rops ou de Magritte, le compagnonnage vécu avec Marcel Broodthaers, cela ne compte pas pour du beurre. Le doute, le décor, la pompe, car la peinture pompière a ses lettres de noblesse, le pamphlet, le simulacre sont autant d’armes redoutables. 

Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 119 x 10 x 10 cm
Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 119 x 10 x 10 cm
Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 119 x 10 x 10 cm

Werner Cuvelier produit une œuvre d’une grande richesse, qui prend souvent sa source dans le classe- ment, le catalogage et l’inventorisation de toute une série de faits et de données. Il réalise d’une part des graphiques basés sur des statistiques et des données primaires. D’autre part, il créé un travail géométrique, découlant de traitements formels issus du nombre d’or. À partir de ces deux angles, émergent des peintures et des sculptures, mais aussi des carnets d’esquisses et de notes, qui constituent une recherche incessante de la mise en images d’ordres, de structures et de col- lections. La méthode et la technique de la collecte, du traitement, de l’interprétation et de la présentation de carrés et de cercles apparaissent dans des tableaux d’aperçu, des graphiques et des figures telles que des histogrammes, des diagrammes en bâtons et desgraphiques linéaires. Cette approche scientifique, la répartition rigoureuse des lignes et l’activation res- trictive de telles procédures constituent le moteur du développement de son langage visuel. Si ces ordon- nances semblent mettre des éléments en lumière, les séries génèrent également une expérience esthétique propice à une forme de résilience.

Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 94 x 9,5 x 9,5 cm
Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 94 x 9,5 x 9,5 cm
Werner Cuvelier, Zonder titel (sans titre), 1996, mousse rigide et polystyrène, enduits. 94 x 9,5 x 9,5 cm

Werner Cuvelier, photographie et art conceptuel, les images de l’exposition

Werner Cuvelier
Statistic Project XVI, Buitenverblijven, 1973 
fotografie Fred Vandaele
80 diapositives
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 60 planches de doubles photographies, 40,5 x 66 cm,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 60 planches de doubles photographies, 40,5 x 66 cm,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 60 planches de doubles photographies, 40,5 x 66 cm,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 60 planches de doubles photographies, 40,5 x 66 cm,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 60 planches de doubles photographies, 40,5 x 66 cm,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
S.P. XXXV. Bruggen van Gent,
technique mixte sur papier, 25 x 81,5 cm, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 2e version,
technique mixte, photographie et encre de chine, 1981
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 2e version, 1981
Série III : Canal Gent – Terneuze – 6 planches
photographies NB 36 x 227 cm
Werner Cuvelier
Statistic Project XXXV, Bruggen van Gent, 2e version, 1981
Série II : les ponts sur la Lieve – 5 planches
photographies NB 36 x 172,5 cm
Werner Cuvelier,
Statistic project XVL, Ponti di Firenze, 1986. 
Photographies NB, technique mixte, collage, encre de chine, 23,5 x 80 cm
Werner Cuvelier,
Portes d’Espagne,
photographies NB, technique mixte, collage, crayon,
montage après 1998, prises de vue : années 70
Werner Cuvelier
S.P. XXII, Dolmens et menhirs de France, 1975,
crayon sur papier, (24x) 70 x 70 cm
Werner Cuvelier
S.P. XXII, Dolmens et menhirs de France, 1975,
crayon sur papier, (24x) 70 x 70 cm
Werner Cuvelier
S.P. XXII, Dolmens et menhirs de France, 1975,
crayon sur papier, (24x) 70 x 70 cm
Werner Cuvelier
SP XXXVI Retrato de L.N, 1980
Technique mixte, dimensions variables 
Werner Cuvelier
SP XXXVI Retrato de L.N, 1980
Tableau 1. photographies couleurs, 90 x 220 cm
Werner Cuvelier
SP XXXVI Retrato de L.N, 1980
Technique mixte, dimensions variables 
Werner Cuvelier
SP XXXVI Retrato de L.N, 1980
Technique mixte, dimensions variables 
Werner Cuvelier
SP XXXVI Retrato de L.N, 1980
Technique mixte, dimensions variables 
Werner Cuvelier
SP XXVII Relaciones, Espana, Verano 1978.
Technique mixte,, dessins et photographies couleurs. 17 dessins 70 x 70 cm
Werner Cuvelier
SP XXVII Relaciones, Espana, Verano 1978.
Technique mixte,, dessins et photographies couleurs.
Werner Cuvelier
SP XXIV Pyramide de Cestius, 1975-1985
Werner Cuvelier
SP XXIV Pyramide de Cestius, 1975-1985
Werner Cuvelier
SP XXIV Pyramide de Cestius, 1975-1985

Werner Cuvelier, photographie et art conceptuel (10), Las Negras, couffins, fourches, nasses et balais

Cortijo à Las Negras, inventaire

A  Las Negras, dans la province d’Almeria, Werner Cuvelier loue durant l’été un cortijo tout simple. Durant les années 70, c’est là qu’il passe ses vacances estivales, c’est là qu’il travaille aussi. Le SP XII, Las Hortichulas, le SP XXXVI, Retrato de L.N, Impressions d’Espagne, ainsi que de nombreux tekenboeken en témoignent. De même cette série de photos, des 6 x 6 noirs et blancs. Werner Cuvelier dresse un état des lieux, liste et photographie une série d’objets qu’il découvre dans la maison : balais composés de branchages, fourche de bois, nasse en osier, couffins de paille, tous ces objets ont trait à la vie agricole et rurale, tous composés de matériaux locaux et naturels. Aujourd’hui, l’inventaire fait figure de catalogue d’un écomusée du temps passé.

Werner Cuvelier, photographie et art conceptuel (9), Impressions d’Espagne

Werner Cuvelier, Impressions d’Espagne, photographies NB, tirages argentiques, 30 x 160 cm

Le titre résonne comme une pièce musicale interprétée par Narciso Yepes : Impressions d’Espagne. Une sensation, un souvenir diffus, une empreinte. En 1974, à Las Negras en Andalousie, Werner Cuvelier photographie méthodiquement le sol qu’il foule. Il réalise durant cde même été le SP XII, Las Hortichulas, une collecte d’objets effectuée durant une déambulation (ramasser quelque chose à portée de main tous les cent pas). On ne sait, si en ce cas, ces photographies procèdent d’un protocole particulier ou si elles sont prises de façon aléatoire. Werner Cuvelier les agence en patchwork, un piécé de textures, des impressions.

Werner Cuvelier, SPXXVII, Retrato de L.N, les documents

Werner Cuvelier, Retrato de L.N, carton d’invitation à l’exposition à la galerie Richard Foncke, 1981
Werner Cuvelier, Retrato de L.N, carte postale, édition galerie Richard Foncke
galerie Richard Foncke, vues d’exposition, 1981
Galerie Richard Foncke, 1981, communiqué de presse

« Retrato de L.N. » Espana – julio/agosto 1980 – S.P. XXXVI

Werner Cuvelier « Retrato de L. N. » ou le portrait d’un village en Espagne en 1980. Dans la première salle, il y a des photographies en couleur de toute la population du village, classées par âge. Sur 129 habitants, 13 clichés sont manquants (complétés par des zones gris uniformes) pour diverses raisons : maladie, absence, service militaire et refus de principe. Sous chaque portrait figure le nom de famille habituel en Espagne (d’abord celui du père, puis celui de la mère), le prénom et l’âge.

Le travail actuel peut être vu dans la pièce suivante : neuf classements: – D’abord le rapport hommes/femmes ; (1) – Puis les âges ; (2) – puis les groupes d’âge ; (3) – les familles ; (4) – les frères et les sœurs ; (5) – les noms de famille ; ( 6 ) – les prénoms ;{7) – l’ordre du hasard, (8) – et enfin un ordre de hasard (9) dans lequel on constate des des inversions et des renversements. Les images (=images) et les textes (=dessins) ont été séparés l’un de l’autre, mais appartiennent toujours ensemble comme image et image miroir.

Pour le catalogue (10), qui fait partie de l’ouvrage, l’ordre alphabétique a prévalui, les personnes qui n’ont pas été photographiées ont été rayées. Les couleurs se réfèrent aux hommes (rouge) et aux femmes (bleu) comme sur les dessins et les chiffres indiquent les âges. Mes remerciements vont à l’ensemble de la population pour sa collaboration spontanée, mais en particulier à M. et Mme Gonzalez-Maes, Mme Emilia Hernandez Garcia et M. Piet Ysabye.

Galerie Foncke, 16 octobre 1981.

Werner Cuvelier

Liste des portraits de LN. Les habitants, leur âge au moment de la prise de vue, le numéro d’ordre du cliché
Retrato de LN, notebook, 1980 (extrait)