De gauche à droite : Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Feuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm La Voix, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cm Sans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso)
De gauche à droite : Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Feuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Parachutisme, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cm Sans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso)
De gauche à droite : Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Feuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Passage, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cm Sans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso)
Marie Zolamian Est-Ouest-Sud-Nord, 2017 huile sur toile sur panneau, 31 x 43 cmMarie Zolamian Sans titre, 2015 Gouache sur papier d’après Peter Van der Borcht, « Allegory on the difficulty to gouverne a diverse nation »Marie Zolamian Sans titre, 2015 Gouache sur papier d’après Peter Van der Borcht, « Allegory on the difficulty to gouverne a diverse nation »Raphaël Van Lerberghe, Entrefilets,2020Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cmAvec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cmFeuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cmDerby de choc, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cmSans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso) Benjamin Monti, sans titres, encre de chine sur papier, 29,7 x 21 cmBenjamin Monti, sans titres, encre de chine sur papier, 29,7 x 21 cmBenjamin Monti, sans titres, encre de chine sur papier, 29,7 x 21 cmMarie Zolamian, Bienvenue, technique mixte et dimensions variables, 2017-2020Marie Zolamian, Bienvenue, technique mixte et dimensions variables, 2017-2020Emilio Lopez Menchero, Phylactère (modèle pour Art Public à Liège), plâtre 2020,Phylactère jouant de son ombre, encre sur papier 2020
De gauche à droite : Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Feuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm La Robinetterie, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cm Sans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso)
Nourri par l’approche des Cultural Studies, le travail de Sophie Langohr repose sur l’étude et l’interprétation d’oeuvres patrimoniales. Sophie Langohr s’approprie des images et des objets chargés d’histoire. Elle s’exprime à travers leurs propres modes de construction et de production de sens. Par différents procédés de refabrication, elle les revisite, les détourne et les subvertit pour les faire parler autrement dans de nouveaux contextes. A l’occasion de l’exposition « Les mesures du monde » à Tourinnes-la-Grosse, Sophie Langohr poursuit ses recherches sur la statuaire traditionnelle. Elle a lancé un appel à la population et organisé une collecte de sculptures de brocante : des statues de tout style, tout sujet, toute taille et tout matériau pourvu qu’elles soient évidées à l’intérieur. Dans son installation, on retrouve des figures connues : Un christ doré, un couple neoclassique, un ange, une vierge enceinte, deux pastoureaux, une sainte famille… L’artiste s’en est servie pour produire de nouvelles sculptures réalisées d’après le moulage de leur creux intérieur. Dans ce travail, son intervention consiste à faire littéralement «accoucher» des oeuvres désuètes de nouvelles formes. Celles-ci rompent radicalement avec les codifications extrêmement précises qui ont déterminé ’esthétique des pièces qui leur ont servi de «matrices». Les nouvelles sculptures épousent des contours étranges et singuliers. Sophie Langohr s’amuse de ces décalages formels qui troublent les catégories binaires à tra-vers lesquelles nous avons l’habitude de « mesurer le monde » : intérieur/extérieur, matière/forme, abstrait/ figuratif, féminin/masculin, nature/culture, passé/futur et spécule ainsi sur les possibilités de régénérescence et de transformation de notre pensée.
David Polzin, Unfolded Chair, 2017 – Walter Swennen, Cercles, 1998, huile sur toile, 58 x 55 cmDavis Polzin, Walter Swennen, Loic MoonsLoic Moons – Sans titre, technique mixte sur toile, 2020, 140 x 124 cmValérie Sonnier Sans titre (de la série Badeschloss) 2015 – 2017 Crayon, crayons de couleur et cire sur papier, 33,5 x 41,5 cmValérie Sonnier Sans titre (de la série Badeschloss) 2015 – 2017 Crayon, crayons de couleur et cire sur papier, 33,5 x 41,5 cmValérie SonnierValérie Sonnier – Loic MoonsLoic Moons Sans titre, technique mixte sur toile, 2020 190 x 140 cmLoic Moons – Hannah KalaoraHannah KalaoraHannah Kalaora, Ange 2020. Huile sur toile, 25 × 15cmHannah Kalaora, Veste 2020, Huile sur toile, 63: × 53 cmHannah Kalaora, 2020, Malette flamand rose. Huile sur toile 33: ×26 cmHannah Kalaora, Grenade sur tabouret 2020. Huile sur toile
Invitée à exposer à l’Hôpital Notre Dame à la Rose, Sophie Langohr s’est intéressée à deux tableaux anonymes à l’huile du 17ème accrochés dans la salle conventuelle de l’hôpital, représentant Marie-Madeleine « repentante et consciente de sa vanité » dans la grotte de Sainte-Baume. Sophie Langohr jalonne son itinéraire d’une suite de recherches qui, revisitant l’histoire de l’art, éprouvent et interprètent les codes iconographiques du passé tout en interrogeant nos actuels systèmes de représentation. C’est le champ de la photographie qu’elle investit principalement, examinant le médium à l’aune de sa production, de sa diffusion, de sa réception, analysant ses caractéristiques intrinsèques, notamment sa capacité à reproduire, imiter, falsifier. En ce cas précis, elle retouche les images des deux tableaux pour faire disparaître le personnage féminin et tous les éléments allégoriques. Ne subsiste dès lors que le décor de la scène : un univers de plein et de vide, d’ombre et de lumière. Ce qui apparait désormais, c’est un cadre antagoniste qui renvoie au mythe de la caverne et au-delà, à celui de la féminité matricielle.
Sophie Langohr, Sans titre ( d’après Marie-Madeleine, Anonyme, 17ème ,, Collection de l’Hôpital Notre-Dame à Lessines) 2019 Photographie couleur marouflée sur MDF 79 x 95 cmSophie Langohr, Sans titre ( d’après Marie-Madeleine, Anonyme, 17ème ,, Collection de l’Hôpital Notre-Dame à Lessines) 2019 Photographie couleur marouflée sur MDF 79 x 100 cm
De gauche à droite : Deux doigts vus, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avec ou sans, 2020 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Feuille, 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm Avi Plaisir, 2020 Impression jet d’encre, 21 x 29,7 cm Sans titre (ara), 2016 Crayon noir sur papier, 59,4 x 84,1 cm (recto/verso)