Archives par étiquette : Marie Zolamian

Marie Zolamian, Memento, les images (3)

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Marie Zolamian

Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

Marie Zolamian

Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

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Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

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Sans titre (Berlin), 18 x 31.5 cm.
Huile sur toile sur bois, 2016.

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Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

Marie Zolamian

Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

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Marie Zolamian,
Sans titre (Carnaval de Nuremberg), 27 x 21 cm.
Gouache sur papier, 2016.

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Marie Zolamian, Memento, les images (2)

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Sans titre (Tesbig), 20.5 x 26.5 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Sans titre (Venus), 17 x 24 cm.
Huile sur papier, 2016.

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Sans titre (Touareg d’après Memling), 30 x 27 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Sans titre (Ogre amoureux), 32.5 x 25 cm.
Huile sur papier, 2016.

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Sans titre (Nature explosion), 22 x 27 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Sans titre (Pierrot), 26 x 20 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Marie Zolamian, Memento, les images (1)

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Sans titre (Faux jour), 32.5 x 25 cm.
Huile sur papier, 2016.

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Sans titre (Pause café), 29 x 26 cm.
Huile sur toile, 2016

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Sans titre (Atavisme), 26 x 23 cm.
Huile sur toile, 2016.

Marie Zolamian

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Sans titre (La danse), 14.5 x 25.5 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Marie Zolamian
Sans titre (Boîte rose), 27 x 20 cm.
Huile sur toile, 2016.

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Raphaël Van Lerberghe, Marie Zolamian, vernissages le 11 juin, à 19h

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous inviter au vernissage des expositions :

Marie Zolamian
MEMENTO

Marie Zolamian

et :

Raphaël Van Lerberghe

Raphaël Van Lerberghe

le samedi 11 juin à partir de 19h.
Les expositions sont accessibles du 12 juin au 9 juillet
Je. Ve. Sa. de 14 à 18h et sur RV du 1 au 9 juillet.

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Marie Zolamian, invitée du festival Voix de Femmes

Marie Zolamian est l’invitée du Festival Voix de Femmes 2015 et expose au Manège Fonck, rue Ransonnet, 2, à Liège.
Vernissage de l’exposition « No borders » Marie Zolamian / Alice Jarry / Julie Kern Donck / Françoise Gamma, ce jeudi 15 octobre à 18h

La première soirée du festival s’ouvre dans la douceur apparente des oeuvres de Marie Zolamian qui nous parlent d’exils, d’êtres, de fragilités.
On passe au bar, on se promène sous le lustre cinétique d’Alice Jarry, on s’assied dans le monde tranquille de Julie Donck, on s’arrête devant le GIF Wall de Françoise Gamma… Avant d’assister à deux courtes performances : la voix numérisée du bout des doigts de Laurence Moletta d’abord, l’œuvre plurielle, troublante et joyeuse des Soeurs H ensuite.
Puis, les concerts : Rocío Márquez, flamenco contemporain, touches d’électro, chant pur, sans appel – un must ! Et Récital Boxon : slam, chant, spoken word, guitares, saxophones, contrebasse, accordéon, percussions. Nuances de klezmer, balkanique, latino… Hors frontières.

Marie Zolamian

Marie Zolamian, Je suis un homme maintenant, que veux-tu de plus?, acrylique sur carton entoilé, 26 x 21 cm

le site du festival
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Marie Zolamian, Grandchildren, New geographies of belonging, Depo, Istanbul

En off de la Biennale d’Istambul qui débute le 4 septembre, Marie Zolamian participe à l’exposition Grandchildren, New geographies of belonging, organisée par le Centre d’Art Depo. Une exposition qui regroupe, tout comme c’était le cas à la biennale de Venise, une série d’artistes appartenant à la diaspora arménienne.

exhibition to take place
from 03.09. till 01.11. 2015 in DEPO / Tütün Deposu Lüleci Hendek Caddesi No.12 Tophane 34425 İstanbul

Opening: 03.09 at 19:00 h
Press conference: 03.09. at 16:00 h

In a global context where mobility and the virtual world challenge established identifications with national societies, ethnic groups or religions, Armenians can be considered a good example of a group with a long, cosmopolitan and globalized history. The exhibition GRANDCHILDREN, New geographies of belonging intends to look closer at personal and communal affiliations in the Armenian transnation, the mechanisms that empower and nurture the diasporic identities and its patterns of representation as well.

The today diasporic reality of the Armenians is consequence of different historic events, but no event has influenced the life of Armenians as their tragic fate, their annihilation and deportation under the Regime of the Young Turks in 1915.

Since 2006 a landscape has emerged that encompasses artists cooperating within different structures, realizing virtual visual dialogues followed by real exchanges in the form of exhibitions, symposiums and meetings. During these various events, discussions have focused on the potential to build identities beyond national borders, traditions and languages, the relevance of new media as a field to experiment with different affiliations, art as an expression of new tendencies, how to foster solidarity, or strategies to build collectives, etc. These artists’ approach to Armenia goes beyond the idea of a nation being geographically or genetically defined. Their current reality, result of a process of displacement rooted in the beginning and the end of the twentieth century, is framed trough the tension between a plurality of paradoxes: presences and absences, the richness and opportunities posed by multilingualism and cultural diversity and the cultural spacelessness for “Armenian” contemporary art, the necessity of conserving culture and at the same time the urgent need to shape new cultural landscapes, the chances and traps of an identity nurtured by the shelter of the difference.

Artists: Achot Achot (Yerevan/Paris), Marian Bedoian (Buenos Aires), Talin Büyükkürkciyan (Istanbul), Hera Büyüktaşçıyan (Istanbul), Silvina Der-Meguerditchian (Buenos Aires/Berlin), Linda Ganjian (New York), Archi Galentz (Moscow/Berlin), Karine Matsakyan (Yerevan) Mikayel Ohanjanyan (Yerevan/Florenz), Ani Setyan (Istanbul), Arman Tadevosyan (Gyumri/Nancy), Scout Tufankjian (New York), Marie Zolamian (Beirut/Liege)

Concept and project coordination: Silvina Der-Meguerditchian

Sponsors:
This exhibition is organized in cooperation with the Calouste Gulbenkian Foundation, Anadolu Kültür, the Goethe Institut and the Kultur Akademie Tarabya.

Marie Zolamian

Marie Zolamian
nous partout, 2008
Huile sur toile, 27.3 x 28.7 cm.

D’identité et de souvenance, il est bien sûr question dans la série de peintures «nous partout», inspirée d’anciennes photographies noir et blanc et anonymes. Quatre enfants, une dame, peut-être leur mère, leur grand mère, campent dans treize paysages, dans treize environnements différents, sur le pont d’un bateau, devant une grosse berline, non loin d’une roulotte, tout près d’un château au bord de l’eau, ou d’un moulin, sur un quai sans doute le long de l’eau, un quai de gare aussi, sur la plage, dans le couloir d’une piscine publique, au restaurant enfin. En arrière plan de l’une d’elle, on reconnaît la citadelle de Huy ; la toile agit comme une carte postale. En chaque lieu, sans doute à peine arrivée ou déjà prête à repartir, cette petite tribu pose devant l’objectif suivant un même rituel, où chacun a sa place bien précise. «nous partout», explique Marie Zolamian, c’est cette identité hybride, la cristallisation d’une mixité culturelle, la reconstitution d’un réseau familial perdu, une reconstruction fondée sur la fragilité». «Le temps, signe d’impuissance, écrit encore Michel Guérin, est aussi gage et voie de restitution (autrement) de ce qui s’est échappé d’abord de notre être poreux. Le voyageur veut savoir et il soupçonne que la vérité n’est nulle part ailleurs que dans la dialectique des faits et des idées, de la familiarité et de la distance». Ces toiles ont la simplicité et la sobriété d’intimes photographies de famille ; c’est celle-ci qui, ici, effectue le voyage créateur et s’ancre au fil de ces quelques transhumances que l’on devine estivales.

Marie Zolamian

Marie Zolamian a décidé de repartir de cette série de peintures réalisées en 2007-2008. A Istanbul, elle est partie à la rencontre de grands-mères arméniennes stambouliotes. »Dans une société ou la tradition orale est encore prédominante, dit-elle, où des histoires contradictoires fusent dans tous les sens et pour contrer une histoire écrite uniquement par celui qui en a l’opportunité, je ressens probablement un devoir de mémoire personnelle. Ainsi, la tradition orale inspire mes recherches et j’utilise principalement des histoires de petites gens pour créer des narratifs qui leur sont propres. Il s’agira de voir la ville d’Istanbul, chargée de tant d’histoires, à travers les yeux de mes grands-parents d’un jour. De tenter de comprendre cet autre, marcher à son rythme, adopter son point de vue, son sexe, sa classe, sa culture ». Marie Zolamian dédie ces rencontres au « Vivre ensemble » tel que l’a défendu Hrant Dink. Broyé par les machines follement emballées des passions identitaires antagonistes, Hrant Dink, journaliste turc d’origine arménienne, a créé en 1996 l’hebdomadaire Agos, une flamme bien fragile d’un espoir pour son pays avec ses diverses composantes.
Hrant Dink a toujours souligné sa citoyenneté turque et sa « chance » de vivre en Turquie qui lui donnait la possibilité de comprendre à la fois les sensibilités des Turcs et des Arméniens, une compréhension nécessaire pour la réconciliation de ces deux peuples qui ont partagé mille ans d’histoire commune. Il a affirmé le besoin de démocratisation de la Turquie, soulignant que le règlement du problème arménien n’est qu’un volet de la démocratisation générale du pays. Dans la même perspective, il défendait fermement l’adhésion de la Turquie au sein de l’Union européenne, comme une garantie de la démocratisation. Tout au long de sa vie, il s’est focalisé sur les questions des droits des minorités, des droits civiques et des problèmes concernant la communauté arménienne de Turquie. Il était un activiste des mouvements de gauche et pacifistes. Il a été assassiné le 19 janvier 2007 par un nationaliste turc de 17 ans dans le quartier d’Osmanbey à Istanbul, devant les locaux de son journal bilingue Agos.

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Benjamin Monti, Marie Zolamian, Le Bourgmestre de Furnes, Emergent, Furnes

Benjamin Monti et Marie Zolamian participent à l’exposition Le Bourgmestre de Furnes à la galerie associative Emergent à Furnes. Du 9 juillet au 20 septembre.

Benjamin Monti

Benjamin Monti
Sans titre
Encre de chine sur cartes perforées de la « Courage Organisation SA », 21 x 14,7 cm, 2010-2015

Benjamin Monti

Benjamin Monti
Sans titre
Encre de chine sur dessin trouvé, 22,7 x 14,5 cm, 2010-2015

A l’occasion du 25e anniversaire de la mort de Georges Simenon et d’une nouvelle traduction néerlandaise du roman « Le Bourgmestre de Furnes », paru en 1939, Emergent, galerie et association sise… à Furnes a invité deux curatrices, Anne Françoise Lesuisse et Nina Folkersma à sélectionner une série d’œuvres et d’artistes autour des thématiques abordées par le roman. Dans la très ancienne ville de Furnes, en Flandre-Occidentale, tiraillée entre le progrès venu d’Amérique et les souvenirs du Moyen Âge, le bourgmestre s’impose par son autorité, sa rigidité. C’est un personnage sûr de lui que le doute n’effleure pas. Pourtant un jour, le  » Baas  » (le maître, le patron), comme on l’appelle, se dépouille de sa carapace sociale pour connaître la passion et la déchéance. Roman à dominance psychologique que d’aucuns ont inscrit dans une suite d’œuvres où Georges Simenon aborde le spectre de la déviance, celle-ci est celle d’un individu qui refuse de continuer à remplir les fonctions que lui assigne la société au risque de la perte de soi. Portrait saisissant – un des meilleurs romans de Simenon selon Gaston Gallimard lui-même, Le Bourgmestre de Furnes est également une singulière vue de Flandres. Furnes, assurément est une ville simenonienne.

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Dormition, 2011.
Acrylique sur toile, 27.4 x 21.8 cm.

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Dormition, 2011.
Acrylique sur toile, 29 x 27,5 cm

Avec : Eylem Aladogan, Thorsten Brinkmann Dirk Braeckman, Tom Callemin, Michael Dans, Pierre Gérard, Paul Kooiker, Lucas Lenglet, Benjamin Monti, Sébastien Plevoets, Arjan van Helmond Ina van Zyl, Anne Wenzel et Marie Zolamian

vernissage le dimanche 5 juillet
10h30 Inauguration par… le bourgmestre de Furnes
Entrée libre de 11h à 13h.
15h Après-midi littéraire : Anna Luyten, Rokus Hofstede, Jacques Dubois, Michiel Hendryckx, François Beukelaers, Nina Folkersma & Anne-Françoise Lesuisse.
19h Projection du film Le Bourgmestre de Furnes, BRT (1984) Régie: Dré Poppe, avec entre autres: Ward de Ravet, Dora van der Groen, Ingrid De Vos.

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Wild Open Space, Les Moissons de la Cité, Grand Curtius Liège

Jacques Lizène

Eleni Kamma, Jacques Lizène, Emilio Lopez-Menchero, Sophie Langohr, Pol Pierart et Marie Zolamian participent à l’exposition “Wild Open Space, Les Moissons de la Cité”, exposition rétrospective des 80 oeuvres acquises par la Space Collection. Au Grand Curius à Liège, du 25 juin au 13 septembre. Vernissage le 24 juin.

Lancée en 2002 par l’artiste belge Alain De Clerck, la SPACE Collection construit un réseau de villes européennes liées entre elles par une collection transfrontalière d’art contemporain.
Les œuvres sont acquises grâce à des sculptures interactives implantées dans l’espace public. Quand un passant glisse une pièce dans une des bornes de la SPACE, il anime une sculpture et reçoit un ticket avec un poème ou un cadeau culturel. L’argent récolté est augmenté grâce à du mécénat et permet d’acheter des œuvres d’art. A Liège et à Maastricht, les deux premières génératrices de culture ont déjà permis d’acquérir 80 œuvres mélangeant les genres, les supports, les techniques et les artistes.

Launched in 2002 by Belgian artist Alain De Clerck, SPACE Collection is building a network of European cities linked by a trans-border collection of contemporary art.
The works are acquired thanks to interactive sculptures set up in public spaces. Whenever a visitor inserts a coin into a SPACE machine, he animates the sculpture and gets a ticket to poetry or cultural prize. Then, money is collected, increased by sponsorphip and transformed into works of art. In Liege and Maastricht, the first culture machines already allowed to buy 80 works mixings genres, material supports, techniques and more or less renowned artists.

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