Archives de catégorie : Des expositions d’ailleurs / exhibitions artists

Jacqueline Mesmaeker, Les Charlotte (le jardin), la Serre de Charlotte et Maximilien, Tuin en cascade

Au musée Emile Verhaeren.

Jacqueline Mesmaeker, Tuin (le jardin) en cascade, lettrage, 2023
Jacqueline Mesmaeker
La Serre de Charlotte et Maximilien, modèle, 2020 Technique mixte, 25 x 12 x 20 cm
Jacqueline Mesmaeker
Les Charlottes (le jardin), 1977-2023
Photocopies et impressions jet d’encre, (15 x) 29,7 x 21 cm

Alevtina Kakhidze, Dad, i’m in Odesa, Odesa National Fine Arts Museum, les images

Alevtina Kakhidze est retournée à Odessa au début de cette année 2024 afin d’y réaliser un film qu’elle se propose de montrer à Malte où elle occupera le pavillon national ukrainien de la toute jeune biennale d’art contemporain. Son synopsis prévoit de filmer dans deux lieux patrimoniaux qui, actuellement encore, ont échappé aux drones et aux bombes :  une ancienne câblerie de la ville portuaire ainsi que l’Académie navale. Distinguant ces deux lieux singuliers, elle part en fait, en quête de ses parents, tous deux décédés. C’est là, à Odessa, qu’ils se sont rencontrés et qu’ils se sont aimés. Son père, de nationalité géorgienne, fut cadet de la prestigieuse école navale. Sa mère, originaire de Donetsk, animée par le seul désir de vivre en bord de mer, a décroché un emploi dans cette corderie, seule façon d’obtenir laPropiska, ce document autorisant à se déplacer dans l’ancien empire soviétique. Réalisatrice et actrice du film, Alevtina Kakhidze investit les lieux, évoque ses parents, les interpelle, se questionne et s’inquiète, fulmine même, danse dans un abri souterrain, colle sous les semelles de ses chaussures dorées quelques billets de banque – souvenir d’une anecdote racontée par son père – et finit par brûler un billet qui, sur sa face, représente le Kremlin. Impeccablement cadré par son ami Roman Khimei, le film accompagne, à Malte, une installation de notes, dessins et photographies : au travers du miroir de l’histoire de sa famille, l’artiste analyse comment un empire a ruiné la vie de plusieurs générations et comment son influence, bien que parfois inaperçue, finit par se manifester.

Ce pacte autobiographique, ce réel vécu, incarné et narré, constitue l’assise de l’ensemble de l’œuvre de l’artiste. Alevtina Kakhidze a hérité de son père un patronyme géorgien. Elle-même est née dans le Donbass. Elle y a été élevée dans la culture russe, dans son incarnation soviétique. Sa famille est le reflet de la politique de russification : alors que sa grand-mère parle ukrainien, sa mère parle russe et élève ses enfants dans cette langue. Cette identité culturelle complexe qu’elle revendique comprend des éléments des mentalités ukrainienne, géorgienne mais aussi ouest-européenne, car si elle vit depuis 2007 à Muzychi, non loin de Kyiv, Alevtina a aussi résidé deux ans à Maastricht, étudiant à la Van Eyck Academie en 2004-2006….

Alevtina Kakhidze, Windows, signs of peace, Schunck Heerlen, les images (2)

Les dessins et les textes de Mme Kakhidze témoignent de son expérience personnelle de la guerre en temps réel et posent des questions sur les actions des puissances occupantes. Son travail exprime son opposition à la violence et lance un appel à la paix. Ce faisant, elle n’explore pas seulement la culture, mais aussi la nature. En effet, les plantes, même celles qui sont envahissantes, poussent pacifiquement aux côtés des espèces indigènes et représentent donc pour elle un symbole de pacifisme. Elle ajoute toujours que « les plantes sont pacifistes autant que possible sur notre planète ». Au printemps 2024, elle créera une œuvre spécifique dans la vitrine du magasin SCHUNCK. La vitrine de l’ancien grand magasin Schunck revêt une certaine importance pour elle : en 2005, une installation de ses dessins y a été exposée. L’emplacement même est symbolique, estime-t-elle : « Quand je vois une vitrine avec des produits attrayants , je pense que c’est un signe de vie paisible. Car s’il y avait une guerre, personne ne mettrait ces marchandises là ».

Les dessins, installations et vidéos d’Alevtina Kakhidze traitent de l’identité, de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, de la dynamique complexe entre l’Est et l’Ouest, des relations de pouvoir, du rôle du capitalisme et de notre culture de la consommation, ainsi que des contradictions et des conflits culturels.

Alevtina Kakhidze, Windows, signs of peace, Schunck Heerlen, les images (1)

Window display as a symbol of peace

Kakhidze’s drawings and texts convey her personal experiences of war in real time and pose searching questions for the actions of the occupying powers. Her work expresses opposition to violence and makes an appeal for peace. In so doing, she not only explores culture, but nature too. After all, plants, even those that are invasive, will grow peacefully alongside native species, so for her they represent a symbol of pacifism. She always adds that “plants are pacifists as much as possible on our planet”. In the spring of 2024 she will be creating a site-specific work in SCHUNCK’s store window. The display window of the former Schunck department store carries some significance for her: in 2005 an installation uof her drawings was exhibited here. The very location is symbolic she believes: “When I see a shop window with adorable goods, I think it’s a sign of peaceful life. Because if there was a war, no one would put those goods there.” 

Alevtina Kakhidze’s drawings, installations and videos deal with identity, the war in Russia-Ukraine, the complex dynamics between East and West, power relations, the role of capitalism and our consumer culture, and cultural contradictions and conflicts.

Brecht Koelman, Jacqueline Mesmaeker, Le Jardin Enchanté, musée Emile Verhaeren, Sint-Amands

Brecht Koelman et Jacqueline Mesmaeker participent à l’exposition Le Jardin Enchanté au musée Emile Verhaeren à Sint-Adams. Exposition du 16 juin au 6 octobre 2024. Du 16 juin à fin août 2024 : tous les jours (11h-18h), sauf le lundi. Du 7 septembre jusqu’au 6 octobre 2024 : du jeudi à dimanche (11h-18h), ou sur réservation. Vernissage : dimanche 16 juin 2024 à 11h.

Jacqueline Mesmaeker
La Serre de Charlotte et Maximilien, modèle, 2020
Technique mixte, 25 x 12 x 20 cm

Le jardin d’Eden, le jardin des délices, le jardin enclos ou tout simplement un potager. Depuis la nuit des temps, le jardin frappe notre imagination. C’est un endroit pour se promener ou se reposer, on peut y admirer les merveilles de la nature, mais il nécessite également pas mal d’entretien. En plus, le jardin est une source d’inspiration pour de nombreux artistes et poètes. Cette exposition rassemble des œuvres de Thierry De Cordier, Frank Depoorter, James Ensor, Lieve Kauwenberghs, Brecht Koelman, Bernd Lohaus, Freya Maes, Jacqueline Mesmaecker, Jean-Pierre Ransonnet, Reniere & Depla, Fabrice Souvereyns, François Poubeau, Frieda Van Dun et Jan Vanriet. Le volet poétique est assurée par Guido Gezelle, Bart Moeyaert, Jacques Prévert, Peter Theunynck, Petra van den Berghen, Emile Verhaeren et autres.

Jacques Lizène, Future is now, Le Parvis, Tarbes – Ibos

Jacques Lizène participe à Future is Now, exposition du cinquantième anniversaire du centre d’art Le Parvis à Tarbes. Exposition du 15 juin au 5 octobre 2024.

Jacques Lizène, Sculpture nulle, 1980, art syncrétique 1964, sculpture génétique culturelle 1971-1984, danse de derrière le décor (le ballet d’entretien des lieux d’expositions afin de faire reluire le lieu écrin de l’art séductif), 2011
 

Le Parvis qui est l’une des premières institutions d’art contemporain à voir le jour en France est également l’une des plus atypiques. Et force est de constater que ces 5 décennies passées n’ont pas entamé l’engouement des artistes et des publics pour ce lieu intrigant, implanté dans un centre commercial et intégré à une scène nationale.

De l’empirisme des débuts et des espaces dits « d’expositions » ou « d’arts plastiques », mais pas encore appelés « contemporains ». Des accrochages « amateurs » sur cimaises brinquebalantes à la naissance des grands mouvements artistiques contemporains. De la décentralisation des lois Lang jusqu’à la prise en compte par les artistes des enjeux politiques et sociétaux. De la liberté qui fut laissée aux créateurs ainsi qu’à un écosystème de l’art balbutiant. Du rejet de la peinture à la promotion de l’art vidéo et du numérique. Aux années qui se recentrèrent sur l’expérience humaine à l’ère pourtant de la dématérialisation et du post-internet. Aux artistes et aux marchés super médiatisés puis au retour à un art conscient de l’autre humain ou non. Et, pour finir, à cette lame de fond que sont les questions de genres et les problématiques écologiques dans la création actuelle. Voilà autant de sujets abordés ou évoqués dans cette exposition des 50 ans, à travers les archives du lieu et les œuvres récentes des artistes invités qui y ont exposé de 1974 à 2024.
 Avec les œuvres de : Martine Aballéa, Saâdane Afif , Nils Alix-Tabeling, John Armleder, Bianca Bondi, Michel Blazy, Ulla von Brandenburg, Céleste Boursier-Mougenot , Berdaguer & Pejus, Les frères Chapuisat, Claude Closky, Caroline Corbasson, Nina Childress, Alain Declercq, Damien Deroubaix, Erik Dietman, Christoph Draeger, Mounir Fatmi, Daniel Firman, Dora Garcia, Marco Godinho, Josep Grau-Garriga, Joël Hubaut, Fabrice Hyber, Pierre Joseph, Kapwani Kiwanga, Bertrand Lavier, Ange Leccia, Jacques Lizène, Philippe Mayaux, Caroline Mesquita, Tania Moureau, Philippe Quesne, Jean-Xavier Renaud, Lionel Sabatté, Bruno Schmelz, Franck Scurti, Alain Séchas, Niek van de Steeg, Philippe Ramette, Claire Tabouret, Djamel Tatah, Barthélémy Toguo, Jean-Luc Verna, Jacques Vieille, Gisèle Vienne, Xavier Veilhan, Jérôme Zonder…

 

Alevtina Kakhidze, Dad, i’m in Odesa, Odesa National Fine Arts Museum

Alevtina Kakhidze expose le projet présenté à la récente biennale de Malte au Musée National des Beaux-Arts d’Odessa. 

Dad, I’m in Odesa

Alevtina Kakhidze est retournée à Odessa au début de cette année 2024 afin d’y réaliser un film qu’elle se propose de montrer à Malte où elle occupera le pavillon national ukrainien de la toute jeune biennale d’art contemporain. Son synopsis prévoit de filmer dans deux lieux patrimoniaux qui, actuellement encore, ont échappé aux drones et aux bombes :  une ancienne câblerie de la ville portuaire ainsi que l’Académie navale. Distinguant ces deux lieux singuliers, elle part en fait, en quête de ses parents, tous deux décédés. C’est là, à Odessa, qu’ils se sont rencontrés et qu’ils se sont aimés. Son père, de nationalité géorgienne, fut cadet de la prestigieuse école navale. Sa mère, originaire de Donetsk, animée par le seul désir de vivre en bord de mer, a décroché un emploi dans cette corderie, seule façon d’obtenir la Propiska, ce document autorisant à se déplacer dans l’ancien empire soviétique. Réalisatrice et actrice du film, Alevtina Kakhidze investit les lieux, évoque ses parents, les interpelle, se questionne et s’inquiète, fulmine même, danse dans un abri souterrain, colle sous les semelles de ses chaussures dorées quelques billets de banque – souvenir d’une anecdote racontée par son père – et finit par brûler un billet qui, sur sa face, représente le Kremlin. Impeccablement cadré par son ami Roman Khimei, le film accompagne, à Malte, une installation de notes, dessins et photographies : au travers du miroir de l’histoire de sa famille, l’artiste analyse comment un empire a ruiné la vie de plusieurs générations et comment son influence, bien que parfois inaperçue, finit par se manifester.

Ce pacte autobiographique, ce réel vécu, incarné et narré, constitue l’assise de l’ensemble de l’œuvre de l’artiste. Alevtina Kakhidze a hérité de son père un patronyme géorgien. Elle-même est née dans le Donbass. Elle y a été élevée dans la culture russe, dans son incarnation soviétique. A l’origine, elle est donc russophone. Sa famille est le reflet de la politique de russification : alors que sa grand-mère parle ukrainien, sa mère parle russe et élève ses enfants dans cette langue. Cette identité culturelle complexe qu’elle revendique comprend des éléments des mentalités ukrainienne, géorgienne mais aussi ouest-européenne, car si elle vit depuis 2007 à Muzychi, non loin de Kyiv, Alevtina a aussi résidé deux ans à Maastricht, étudiant à la Van Eyck Academie en 2004-2006. (…)

All Good ? 2024, 20 min, Odesa. video performance based on real events. Alevtina Kakhidze, Roman Khimei, Paulo Litovkin, Vadim Khudoliy, Kristina Shyshkaroua, Ga.Eva. 

Alevtina Kakhidze, Windows, signs of peace, SCHUNCK, Heerlen, Nederland

Alevtina Kakhidze est l’invitée de SCHUNCK, à Heerlen aux Pays-Bas. Elle y investit les vitrines du bâtiment et expose à la bibliothèque une série de dessins récemment acquise par l’institution. A l’église Saint-Pancrace, elle est commissaire d’une exposition réunissant les oeuvres d’une quinzaine d’artistes ukrainiens.

Alevtina Kakhidze
The dove of peace is no longer with us, it was frightened off by the russian missiles that are exploding in Ukraine,
but we still have plants, the biggest pacifists on our planet
Mixed media, 29,8 x 21 cm, 2022 (collection Schunck, Heerlen)

Alevtina Kakhidze’s drawings, installations and videos deal with identity, the war in Russia-Ukraine, the complex dynamics between East and West, power relations, the role of capitalism and our consumer culture, and cultural contradictions and conflicts.

Alevtina Kakhidze was born in Eastern Ukraine, a region which has been plagued by the Russian-Ukranian war since 2014. Alevtina lives and works in the Kyiv region and made a conscious decision to remain in Ukraine after the invasion of Russian forces in February 2022. Kakhidze’s drawings and texts convey her personal experiences of war in real time and pose searching questions for the actions of the occupying powers. Her work expresses opposition to violence and makes an appeal for peace. In so doing, she not only explores culture, but nature too. After all, plants, even those that are invasive, will grow peacefully alongside native species, so for her they represent a symbol of pacifism. She always adds that “plants are pacifists as much as possible on our planet”. In the spring of 2024 she will be creating a site-specific work in SCHUNCK’s store window. The display window of the former Schunck department store carries some significance for her: in 2005 an installation of her drawings was exhibited here. The very location is symbolic she believes: When I see a shop window with adorable goods, I think it’s a sign of peaceful life. Because if there was a war, no one would put those goods there. 

Alevtina Kakhidze
I have read and feel support during Russian Ukrainian war in 2022. 2.4.2022
Mixed media, 29,1 x 42 cm, 2022 (collection Schunck, Heerlen)

There is a whole generation of artists in Ukraine who have a voice, and deserve to be heard. With this in mind, Alevtina Kakhidze is bringing works by 14 different Ukrainian artists, which will be displayed at St Pancratius Church under the title ‘What hinders a sermon becomes one’. In line with the venue, all the selected artworks are in relation to concepts or practices that have an association with the Catholic faith, with themes such as bread, wine and heaven. For instance, there are recordings of an artist leading soldiers in prayer at the front. But there is also a work made of glass shards, the result of war. The artist collects the shards from bombed-out houses and tries to restore the objects. Participating artists: Mykhailo Alekseenko, Yuriy Bolsa, Bohdan Bunchak, Yuliia Elyas, Zheka (Yevhen) Holubientsev, Zhanna Kadyrova, Alexander Krolikowski, Volodymyr Kuznetsov, Krystyna Melnyk, Marharyta Polovinko, Stanislav Turina, Tamara Turliun, Tereza Yakovyna en Albina Yaloza.

Alevtina Kakhidze (b. 1973, Zhdanivka (UA)) lives and works in Muzychi (UA). She studied at the National Academy of Fine Art and Architecture in Kyiv (UA) (1999-2004) and at the Jan van Eyck Academie in Maastricht (2004-2006). She has been a UN envoy in Ukraine since 2018 and won the Kazimir Malevich Artist Award (2008), the first prize for the Competition for Young Curators and Artists, Kyiv, Center for Contemporary Art at NaUKMA (2002). She received an Honorary Mention at ‘State of the ART(ist)’ by Ars Electronica and the Austrian Ministry of Foreign Affairs (2023), and won the Women in Arts Award, by UN Women Ukraine (2023). She has taken part in diverse exhibitions across the globe, including Manifesta 10 (2014), Manifesta 14 (2022) and Kaleidoscope of (Hi)stories – Art from Ukraine in Museum De Fundatie, Zwolle (2023). In 2022, SCHUNCK acquired nine of Alevtina Kakhidze’s drawings for its collection of modern and contemporary art. 

Opening hours:
Store window: on display for the duration, free admission

SCHUNCK Glaspaleis: Monday-Saturday: 9:00 a.m. – 5:00 p.m., Sunday: 11:00 a.m. – 5:00 p.m.
St. Pancratius Church: Monday-Friday: 9:30 a.m. – 10:30 a.m., Saturday: 2:00 p.m. – 4:00 p.m. 

Alevtina Kakhidze
Western Politicians, if you don’t close the sky over Ukraine, please close the Belarus / Russia border with EU
goods. It ill stop the russian army a bit. 2.4.2022
Mixed media, 29, 8 x 29,8 cm, 2022 (collection Schunck, Heerlen)

Aglaia Konrad, proof of concept, The Briefing Room

Aglaia Konrad participe à l’exposition Proof of concept : photographie, au Briefing Room à Bruxelles.

Exhibition of seventeen pictures and one video by Philip Gaißer, Aglaia Konrad, Massao Mascaro, Susanne Keichel, Adrian Sauer, Arne Schmitt, Andrzej Steinbach, Sophie Thun, Erin Calla Watson, and Steffen Zillig.

Opening on Saturday, 27 April 2024. Exhibition 27.04 > 22.06.2024

Briefing Room. Avenue Louise 155, Bruxelles

Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, Delta, Namur

Quelques unes des Péripéties de Jacqueline Mesmaeker sont exposées au Delta à Namur dans le cadre de l’exposition La carte postale, objet de collection, oeuvre d’art.

Jusqu’au 18 août 2024

Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm
Jacqueline Mesmaeker, Les péripéties, cartes postales, cartel, 2012-2018, 43 x 61 cm

Les Péripéties constituent une série (ouverte) de paires de cartes postales sous cadre. Sous chaque couple d’image, un cartel : Les péripéties. Ces paires sont délibérément regroupées sans explication, histoire de laisser libre cours à l’interprétation. Comme un choix de couleur sur une palette, chaque couleur, chaque image révéle l’autre. Au fil des années Jacqueline Mesmaeker a construit sa collection de cartes postales grâce aux envois familiaux et amicaux.