Jacques Lizène, Meetsystem, CIAP, Hasselt, vernissage ce 23 septembre

Jacques Lizène

Jacques Lizène
Sculpture génétique 1971, sculpture génétique cultuelle, 2009, la danse de derrière le décor (le ballet d’entretien des lieux d’expositions afin de faire reluire le lieu écrin de l’art séductif) 1975, en remake 2010-2011. Acrylique sur plâtre découpé, matériel d’entretien, 170 x 30 x 40 cm.

Jacques Lizène expose au CIAP à Hasselt, en compagnie de Gerlach en Koop et de Nora Turato. Une proposition du curateur Bas Hendrickx. Vernissage ce 23 septembre. Une soirée autour des films et vidéos de Jacques Lizène est prévue le 29 novembre.

De tentoonstelling meetsysteem werd samengesteld door curator Bas Hendrikx (1987, Amsterdam) en combineert het werk van drie kunstenaars, zij het in verschillende mate van zichtbaarheid en aanwezigheid. Jacques Lizène, gerlach en koop, en Nora Turato delen een eigengereide houding en een interesse in de mechanismes van taal en beeld. Jacques Lizène noemt zichzelf de Luikse Kleinmeester van de middelmatigheid en in veel van zijn werken staat het perifeer denken centraal, in zijn langlopende serie Banlieue d’art. gerlach en koop tonen in meetsysteem een werk in de context van het gedachtengoed van Lizène. Op donderdag 26 oktober vindt er een spoken-word performance van Nora Turato plaats en een lezing door de curator.

Opening: 23.09, vanaf 19u.
Gratis toegang.

Lezing door curator Bas Hendrikx en performance door Nora Turato
26.10, 19u00
Gratis toegang.
Lezing in het Nederlands, performance in het Engels.

Op woensdag 29 november is Lizène, in het kader van CIAP CINEMA, de curator van een avond gewijd aan zijn video’s.

Biografieën:

Jacques Lizène (1946, Ougrée, BE) woont en werkt in Luik. Sinds 1964 is hij actief als kunstenaar en maakte in die vroege jaren naam met het bevragen van kunst en het kunstenaarschap. In de jaren ’70 maakte hij, samen met Jacques Lennep en Jacques-Louis Nyst, deel uit van Le Cercle d’Art prospectif (CAP). Hij toonde zijn werk onder andere in de Yellow Gallery in Luik en l’Atelier 340 in Brussel. In 2009 kwam het M HKA met de retrospectieve tentoonstelling Le(s) Moi(s) de Lizène, waarbij ook de oeuvrecatalogus Tome III verscheen.

De collectieve kunstenaar gerlach en koop (NL) woont en werkt in Brussel en Den Haag. In 2015/16 maakten ze het tentoonstellingstweeluik Choses Tuées voor de Appel in Amsterdam en Temporary Gallery in Keulen. ROMA publiceerde de bijbehorende catalogi. Hun recente tentoonstelling met de onuitspreekbare titel : voor het Bonnefantenmuseum in Maastricht werd genomineerd voor een AICA Oorkonde.

Nora Turato (1991, Zagreb, HR) woont en werkt in Amsterdam. Ze studeerde aan de Rietveld Academie en Werkplaats Typografie en is momenteel resident aan de Rijksakademie. Haar recente solotentoonstellingen zijn Your Shipment Has Been Dispatched bij de Neuer Aachener Kunstverein en Opening Night bij galerie Juliette Jongma in Amsterdam. Haar performance vonden plaats bij onder meer KW Berlin, Impakt Festival, Kunstverein Köln, IKOB Eupen en de Bonner Kunstverein.

Bas Hendrikx (1987, Amsterdam, NL) woont en werkt in Amsterdam en Brussel. Hij maakte onder meer de tentoonstellingen Your Time Is Not My Time voor de Appel in Amsterdam, Hybrid Modus voor Skulptur Bredelar en Running Time voor Marres in Maastricht. Recent verscheen zijn boek Authenticity? bij uitgeverij Valiz. Na CIAP volgt nog een tentoonstelling in de Euregio: De Hollandse Savanne opent bij museum de Domijnen in Sittard in januari 2018.

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Jacques Charlier, Emilio Lopez-Menchero, l’art du tricot

Et pendant ce temps là… les artistes tricotent. Ce sont leurs travaux d’aiguille.

Jacques Charlier

Jacques Charlier

Jacques Charlier

Jacques Charlier détricote la route de l’art à Verviers, espace Duesbergh. Et montre quelques planches originales de son ineffable « Route de l’art », une bande-dessinée tracée en 1975.

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez Menchero s’apprête, lui, à tricoter quelques Marcels au TAMAT de Tournai. Il fera tapisserie dès le 7 octobre.

Emilio Lopez Menchero

Emilio Lopez-Menchero
Tricot (Indonésie !), 2008
Photographie couleurs marouflées sur aluminium, 150 x 185 cm

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Suchan Kinoshita, Viennacontemporary 2017, Solo & Sculpture, 21-24 septembre

Viennacontemporary

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous informer qu’elle participe à la section « Solo & Sculpture » de la foire d’art contemporain Vienna Contemporary, à Vienne en Autriche et exposera des oeuvres de Suchan Kinoshita. Le commissaire de la section est Miguel Wandschneider.

Suchan Kinoshita

“Sculpture has been an extremely fertile ground for art to fulfill its potential of destabilizing and disrupting habitual modes of perceiving and experiencing things. Sculpture functions here as an operative principle that enables to highlight and cluster together a number of significant artistic positions, without laying claim to any unnecessary conceptual or historicist alibi. All the artists gathered together in this section explore in their work the primacy of the object and its inescapable materiality over meaning. Experience prevails over interpretation.” Miguel Wandschneider.

With the presentation of high-quality sculptures by renowned international artists, Solo & Sculpture, curated by Miguel Wandschneider, has a new topic. With nine artistic statements Miguel Wandschneider presents his selection of the most significant and established representatives in the field of sculpture. The solo shows constitute a counterpoint to the art fair’s bustle and leave space for individual experiences and the concentration on fundamental artistic statements.

Solo & Sculpture curated by Miguel Wandschneider:

Werner Feiersinger I Galerie Martin Janda
Koenraad Dedobbeleer I Gesellschaft für projektive Ästhetik vormals GKFA
Michael E. Smith I KOW
Bruno Gironcoli I Galerie Krinzinger
Belén Uriel I Galeria Madragoa
Joëlle Tuerlinckx I Galerie nächst St. Stephan Rosemarie Schwarzwälder
Ana Santos I Galeria Quadrado Azul
Alexandre Estrela I Travesia Cuatro
Suchan Kinoshita I Galerie Nadja Vilenne

viennacontemporary
21 – 24 September 2017
Marx Halle Vienna
Karl-Farkas-Gasse 19, 1030 Vienna

Vernissage on 20 September 2017, 5:00–9:00 pm.
Opening hours:
Thursday, 21 September 2017: 11:00 am–7:00 pm
Friday, 22 September 2017: 11:00 am–7:00 pm
Saturday, 23 September 2017: 11:00 am–6:00 pm
Sunday, 24 September 2017: 11:00 am–6:00 pm

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Olivier Foulon, co-commissaire de l’exposition Von Da An, Museum Abteiberg, Mönchengladbach

Olivier Foulon a été invité par Suzanne Titz, directrice du musée Abteiberg à Mönchengladbach, à participer au commissariat de l’exposition « Von Da An ». Hommage à Johannes Cladders, fondateur visionnaire de cet anti-musée (1967-1978). Une exposition pour le moins historique, au plein sens du terme. Vernissage ce mercredi 13 septembre, 50 ans jour pour jour après l’inauguration du musée.

VON-DA-AN

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Jacques Charlier, La Route de l’Art, Centre Culturel de Verviers

Jacques Charlier

Jacques Charlier, Tomorrow an other day, 2017, 50 x 60 cm

La route de l’art est devenue aujourd’hui une autoroute saturée. Depuis les années soixante, l’art dit d’avant garde, la création de nouveaux musées, le nombre d’aspirants à la carrière d’artiste, le nombre croissant de nouvelles galeries, l’enthousiasme des collectionneurs et des spéculateurs en ont créé un phénomène de société. Pour certains, une nouvelle religion avec sa curie, ses dogmes, ses foires et ses célébrations internationales. C’est ce constat que Charlier illustre avec humour et sagacité dans la série dites : La Route de l’Art. Comme d’habitude, les styles et les genres lui sont indifférents. Il les choisit au gré de son inspiration du moment et du scenario qui lui convient le mieux.

Sergio Bonati.

C’est la rentrée : Jacques Charlier reprend le collier et La Route de l’Art. Dans le cadre du Grand Large @ Verviers, produit par Daniel Dutrieux et les Editions Bruno Robbe. Centre culture de Verviers, Espace Duesberg, du 15 septembre au 20 octobre 2017. Vernissage : vendredi 15 septembre à 18h.

Depuis les années septante, de temps à autre, quand ça lui prend, Jacques Charlier, artiste pluridisciplinaire, peint ou dessine des «Routes de l’art». Ces routes n’ont rien à voir avec les parcours culturels des offices du Tourisme. Elles nous parlent des embûches, des revirements, des détournements, des impasses, des pièges de la mode et du marché qui jalonnent la vie d’artiste. Il cherche depuis toujours à préserver du mieux qu’il peut le cheminement poétique d’une pensée de traverse.

Lors du vernissage de l’exposition, sera présenté le film de Jacques Donjean «Jacques Charlier, pirate de l’Art».
Entrée libre. L’exposition est accessible du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h30, et lors des spectacles et activités de l’Espace Duesberg, ou sur rdv pour les groupes.

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Maen Florin, Valérie Sonnier, vernissage ce 14 septembre

La galerie Nadja Vilenne a le plaisir de vous convier aux vernissages des expositions de :

MAEN FLORIN

Maen Florin

VALERIE SONNIER

Valérie Sonnier

Vernissages le jeudi 14 septembre à 19h en présence des artistes
Exposition du 15 septembre au 27 octobre 2017
Je. Ve. Sa. de 14 à 18h ou sur RV.

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Art on Paper with Bozar, Alevtina Kahkidze, I still draw love, plants and things, les images

Alevtina Kahkidze est l’invitée d’Art On paper with Bozar et produit pour le hall d’entrée de la foire une installation intitulée « I still draw love, plants and things », coproduction entre BOZAR et Art On paper. L’artiste s’entretiendra avec Sophie Lauwers (Bozar) et Pauline Hatzigeorgiou (Art on Paper), co-curators de l’installation, ce samedi 9 septembre de 16 à 17h au Bozar Studio. Elle proposera ensuite une performance relative à l’installation produite. Toujours à Bozar Studio, de 18 à 19h.

Alevtina Kakhidze

Alevtina Kakhidze

Alevtina Kakhidze

Alevtina Kakhidze

Alevtina Kakhidze, I still draw love, plants and things, 2017

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John Murphy, Art on paper 2017, BOZAR, les images

John Murphy
Exhibition view

John Murphy

John Murphy
For the eyes of dogs to come, 2015
Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm

John Murphy

John Murphy
Words fall like stones, like corpses, 2015
Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm

John Murphy

John Murphy
Cadere. Waste and Cadavers All, 2015
Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm

John Murphy

Exhibition view

John Murphy

John Murphy
Nothing, Wait and See, 2015
Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm

John Murphy

John Murphy
Not there, 2015
Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm

« Que Domenico ait commencé le Divertissement au lendemain de l’effondrement de la République ne doit pas surprendre. Il ne s’agissait pas pour lui, comme on a pu le suggérer, de fuir la réalité mais, tout au contraire, d’une proximité avec le réel et l’histoire qui appartient depuis le début à l’histoire du comique. C’est un fait sur lequel il ne faudrait jamais cesser de réfléchir : les comédies d’Aristophane ont été écrites lors d’un moment décisif, ou plutôt catastrophique de l’histoire d’Athènes. En s’enfermant à Zianigo en compagnie de Polichinelle, Giandomenico ne choisit ni la farce, ni la tragédie. Il ne s’agit pas davantage, comme les interprètes le répètent à l’envi, de désenchantement ou de désillusion, mais bien plutôt d’une sobre méditation sur la fin ». Ces phrases sont du philosophe Giorgio Agamben qui a récemment consacré un fort dense petit opus au personnage de Polichinelle : « Polichinelle ou Divertissement pour les jeunes gens en quatre scènes » s’inspire d’une œuvre tardive de Domenico Tiepolo, ce « Divertimento per li Regazzi », un album regroupant un ensemble de 104 dessins réalisés entre 1795 et 1804, une vie sans queue ni tête de Pulchinello, ce personnage central de la Commedia dell Arte.

John Murphy s’est également intéressé aux dessins des Tiepolo et à la figure même de Pulcinello, cette collection de personnages, car Pulcinello est multiple et même nombreux, tout en étant, en quelque sorte, qu’une seule existence qui mange des gnocchis et fait des lazzis, toutes ces sortes de plaisanteries burlesques, grimaces et gestes grotesques. Déjà en 2006, alors qu’il fait sienne cette image extraite de La Grande Bouffe, la « grande abbuflata », de Marco Ferreri (1973), séminaire gastronomique et suicide collectif de quatre hommes fatigués de leurs vies ennuyeuses et de leurs désirs inassouvis et qui bouffent dès lors jusqu’à ce que mort s’ensuive, John Murphy rapproche ce plan où l’on voit Ugo Tognazi s’apprêtant à donner la pâtée à Michel Piccoli de quelques dessins des Tiepolo, père et fils, Giambattista et Giandomenico : des Pulchinello masqués, ventrus, pansus, bossus, constamment occupés à cuisiner des gnocchis, à les manger, à les digérer, à les déféquer.

Plus récemment, John Murphy a sélectionné une série des dessins de la vie de Pulcinello, ce divertissement pour les jeunes gens. Tout l’art de Murphy consiste à rassembler une constellation de signes révélateurs d’une expérience poétique. Il dialogue sans cesse avec des œuvres existantes provenant pour la plupart d’un corpus littéraire, pictural, cinématographique. En ce cas, il a fait des copies de certains de ces dessins de Giandomenico Tiepolo et les a masqué, les recouvrant du sfumato d’une couche de gouache blanche. Ensuite, à la plume, il a retracé les motifs sous-jacents qui l’intéressent, comme s’il désirait nous révéler le secret de Polichinelle, sans aucun doute Pulchinello lui-même, affublé de son masque, doté de son gros nez crochu, portant sur la tête un étrange chapeau, sommet de sa difformité, revêtu de son costume blanc et spectral, confondu à la gouache, personnage grotesque, touchant et effrayant à la fois, sans cesse au bord de la chute entre une invivable tragédie de la destinée et le comique des situations, la comédie comme inéluctable répétition du caractère. A la fois, Murphy ravive le souvenir des dessins de Domenico Tiepolo, les révèle et s’en écarte, les efface, ne conservant que ce qu’il estime nécessaire à son propos. La compagnie des polichinelles s’affaire et s’agite, se montre du doigt. Rien pourtant n’empêchera la perte, la chute, la fin en soi. Le sublime et le grotesque se côtoient, l’un et l’autre évoquent la finitude de la condition humaine, ce dévalement de la vie qui se dissout dans la multiplicité et l’affairement. John Murphy a conservé quelques petits chiens qui hantent les dessins de Tiepolo. Me reviennent ces quelques phrases écrites par Nietzsche dans le « Gai Savoir » : « J’ai donné un nom à ma souffrance et je l’appelle « chien », — elle est tout aussi fidèle, tout aussi importune et impudente, tout aussi divertissante, tout aussi avisée qu’une autre chienne — et je puis l’apostropher et passer sur elle mes mauvaises humeurs : comme font d’autres gens avec leurs chiens, leurs valets et leurs femmes ».

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Aglaia Konrad, Asymmetric Architextures Readings in the Postwar History of the Kunstverein, Kunstverein Düsseldorf

Aglaia Konrad participe à l’exposition Asymmetric Architectures. Readings in the Postwar History of the Kunstverein au Kunsteverein Düsseldorf.
Jusqu’au 8 octobre 2017

Aglaia Konrad

Aglaia Konrad
Iconocopycity 2011
Inkjet NB Photocopies mounted on the wall, variable dimensions. Edition 3/3

Asymmetric Architextures
Readings in the Postwar History of the Kunstverein

Roy Arden, Ilka Becker, Peter Brüning, Robert Burghardt, Natalie Czech, Henning Fehr & Philipp Rühr, Gesa Hüwe / Inga Thiele, Christina Irrgang, hobbypopMUSEUM, Aglaia Konrad, Sarah Kürten, David Lamelas, Katrin Mayer, Rita McBride / Christoph Westermeier, Vanessa Joan Müller, Marie-Luise Otten, Hedda Schattanik / Roman Szczesny, Mark von Schlegell, Arne Schmitt, Studio For Propositional Cinema, Sarah Szczesny, Alexander Jasch / Rita Kersting / Anette Freudenberger / Jens Ullrich, Jan Wagner, Alex Wissel

This year, the Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen together with the Kunsthalle Düsseldorf will celebrate the 50th anniversary of the architectural complex on the Grabbeplatz (completed in 1967), and hence 50 years that both institutions have existed under the same roof. On this occasion, the Kunstverein presents the exhibition, archival project, and event series Asymmetric Architextures – Readings in the Postwar History of the Kunstverein. At the center of the group exhibition is an investigation of the artistic and cultural-political activities and negotiations of the Kunstverein in connection with the institution’s architecture, designed by Konrad Beckmann and Christoph Brockes.
The thematic and temporal framework is derived from the building itself, and also from the cultural-political conflicts, discussions, and events linked to its origin: the siting of the postwar Kunstverein in the ruins of the old Kunsthalle; the call for proposals and the competition for a new building; the discussions around the former director of city planning, Friedrich Tamms, who had previously been active as an architect in Albert Speer’s closest circle, and the dispute over architecture in Düsseldorf that he and his allies provoked; the role of the Kunstverein under the direction of Hildebrandt Gurlitt – and subsequently under Karl-Heinz Hering – and thus of an era in which the Kunstverein’s gave an important impetus towards a reconstruction of the Kunsthalle; and finally the protests that met the opening of the building, as well as those over its preservation in the 1990s. In short, the point of departure is a period that was characterized by protests against an inadequate process of coming to terms with the National Socialist past, as well as by the reconstruction of the postwar years, and which even today remains crucial for understanding the current institutional landscape in Düsseldorf and the intertwining of the Kunstverein and Kunsthalle.
In connection with a wide-ranging research project and an examination of the numerous records of the Kunstverein in the Düsseldorf Municipal Archive, artists and art historians were invited to connect aspects of these historical discussions to their own work, and/or to expand on these discussions through readings of selected moments in the institution’s later exhibition history. The artist Katrin Mayer in turn developed a display made of assembled vertical and horizontal surfaces which are overwritten with archival materials, artworks, artifacts, and texts, as well as art historical analyses and new artistic productions. In this interplay between individual spatialized clusters of material, the history of the building – and thus also that of the Kunstverein – is activated as a continuously shifting provisional framework for various interrelated temporalities and architextures.
The project is accompanied by a program of events as well as a film series at the Filmwerkstatt Düsseldorf. The precise schedule will be made available shortly.
The exhibition was curated by Eva Birkenstock and conceived in dialog with Katrin Mayer with the assistance of Lidiya Anastasova, Gesa Hüwe, and Inga Thiele, as well as the participants in the accompanying seminar Living Archives. Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen 1947-67 at the Heinrich-Heine-Universität Düsseldorf.

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