Archives mensuelles : septembre 2013

Sophie Langohr, Hybrides 2, Douai

Sophie Langohr participe à la seconde biennale Hybride, organisée par le SMAC, service mobile d’action culturelle, en divers lieux de la ville de Douai (Nord de la France).
Cette biennale rassemble une trentaine d’artistes, parmi lesquels Pierre Ardouvin, Gilles Barbier, Claude Lévêque ou Jacques Charlier  autour de la thématique de l’hybride.

Rien n’est plus hybride que la pratique artistique qui suscite tous les sens (regarder, toucher, sentir, entendre, goûter), reliant les performances du corps aux expérimentations de l’intellect. L’œuvre d’art utilise les sciences, les technologies, les espaces, la nature et l’homme. Rien n’est plus hybride qu’un territoire. Douai et le Douaisis n y échappent pas. Depuis les origines à aujourd’hui, l’hybride semble lier l’humain à ses capacités d’adaptation aux contraintes environnementales, offrant ainsi par le métissage de différents ordres, une nouvelle diversité, ontologiquement créative, résolument anticipatrice ou craintive. Omniprésent dans les technologies, la biologie, la communication et bien d’autres domaines encore, il l’est dans l’expression artistique. L’histoire de l’art a souvent pointé les premières hybridations techniques avec les collages cubistes du début du XXe siècle, mais déjà, ne se trouvaient-elle pas dans les peintures rupestres du paléolithique dont l’observation soulèvent certaines questions, par la mixité des outils et des matières employés (empreintes, négatifs, contours), par la juxtaposition de représentations figuratives et de signes graphiques ?
Du besoin de susciter les sens, de la volonté inévitable de relier les performances du corps aux expérimentations intellectuelles, l’art contemporain explore l’hybride usant lui aussi le champ des sciences, des technologies, des espaces, de la nature et de l’homme, aux côtés des préoccupations du monde d’aujourd’hui.
“L’esthétique de l’hybride est par définition polysémique, faite de strates, de mémoires… Elle se construit par des allers-retours entre passé et futur, il s’empare des interstices qu’offre la culture. Cette esthétique offre un champ élargi de l’art, créatrice et faisant coexister des lieux multiples de l’art et rejoint en cela le principe d’hétérotopie de Michel Foucauld. L’hybridation ne peut être identifié comme un processus général mais implique une multiplicité de processus ayant chacun son propre fonctionnement”.

Sophie Langohr y présentera une large sélection des New Faces récemment exposées au Grand Curtius à Liège

Des réserves d’un musée, Sophie Langohr a exhumé une quinzaine de statues mariales de tradition saint-sulpicienne, coupables aujourd’hui de représenter la plus pure bondieuserie kitsch et les débuts d’un art semi-industriel. L’artiste confronte leurs visages surannés à ceux, glanés sur internet, d’actuelles égéries qui incarnent les grandes marques de l’industrie du luxe. La publicité pour la mode et la beauté a aujourd’hui des prétentions culturelles ; elle se veut « arty », auréolée de toute la gloire et tout le mystère de la création. Avec un art consommé de la retouche, l’artiste confond ces visages en diptyques, transfigurant mannequins et actrices en Vierges et saintes : le miracle tient ici, signe du temps, à un logiciel de traitement de l’image. Sublimation, culpabilité et mortification, le coup de bistouri digital de Sophie Langohr évoque cette imposition d’une image féminine stéréotypée, comme si, d’une dévotion à l’autre, l’on passait de Saint Sulpice au sain supplice.

Sophie Langohr

Vierge polychrome conservée au Grand Curtius de Liège, nouveau visage à partir de Emily di Donato pour Maybelline, de la série New Faces 2011-2012, photographies couleurs marouflées sur aluminium, (2) x 50 x 40 cm.

Du 14 septembre au 6 octobre. Divers lieux
Rencontre avec les artistes le samedi 21 septembre à 18h

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Honoré d’O au Compte goutte, la Première, Le monde invisible

Les élèves de rhétorique du Collège Sainte-Véronique de Liège ont découvert l’art contemporain durant leur dernière année dans l’option « arts d’expression » (4h/semaine). Après des recherches de groupes, de nombreuses visites d’expositions et quelques rencontres avec des professionnels, ils se sont intéressés au rapport entre l’art différencié et l’art contemporain, à travers l’exposition « Au compte-goutte », par l’artiste gantois Honoré d’O, au MAD Musée de Liège. A écouter ! Le monde invisible du 5 septembre RTBF radio La première à 22 heures.

Podcast :

Honoré d'O

Le MAD Musée à Liège dispose –et il est utile de le rappeler – d’une incroyable collection, pas loin de 2000 œuvres, unique en son genre, toutes réalisées par des artistes déficients mentaux travaillant en atelier. Issues d’horizons variés sur les plans stylistique, thématique et technique, ces oeuvres composent une collection de portée internationale, brassant une foule d’univers singuliers. Hors norme, elle s’inscrit donc dans le champ de l’art en marge. Dans l’attente de l’aménagement de l’actuel bâtiment du parc d’Avroy, Pierre Muyle, directeur du musée, a initié un cycle d’expositions in situ et hors les murs, destiné à sortir ce patrimoine des réserves, le proposant à la lecture de l’un ou l’autre commissaire d’exposition invité. L’an dernier, Brigitte Massart et Aloys Beguin se sont concentré sur l’idée de circonvolution, ronde obstinée de l’artiste autour de son sujet, approche de cette énergie multiforme concentrée en sa mouvante obsession. Plus tôt, ce fut Jean-Marc Gay, directeur des musées liégeois, qui fut invité à sélectionner une série d’œuvres dans les réserves du MAD : il décida, au fil de l’exposition, d’intégrer de manière régulière, quelques une de ces œuvres différenciées dans le circuit des collections du Grand Curtius, cultivant ainsi les concepts de différence et d’indifférence.
Cette fois, c’est un artiste que Pierre Muyle invite : Honoré d’O. Voici donc celui-ci « au volant », campant dans l’espace vide infini, prêt pour tout inévitable voyage vers un but où le mouvement ne compte pas, un voyage vers des points de reconnaissance, une exploration de zones qui mettent son intuition continuellement à l’épreuve. Honoré d’O apprécie les conversations : souvent dématérialise-t-il celles-ci en phylactères d’ouate, cotonneux corps d’échange. Pour lui, les processus de connaissance, sont un continuel processus de pensée créatrice truffé d’anecdotes formulées par des accidents de rencontre, révélés au hasard des conversations. Peu à peu s’élabore ainsi un scénario où prédominent la concentration et l’extension du langage plastique. L’artiste nous a le plus souvent habitué à une poétique oscillant entre dilatation spatiophage, cette sorte d’extension continuelle, de prolifération, d’all over, all on, all in, all between, et des interventions ponctuelles, cadrées de façon précise, aptes à faire image de façon concentrée. Sa première réaction, dès cette invitation, est dès lors parfaitement inscrite en cette pratique : « Je ne ressens pas du tout le besoin d’imposer une lecture dirigée de ces œuvres, déclare-t-il. Il faut éviter une compréhension rationnelle qui servirait nos propres intérêts, ajoute-t-il. Un rendez-vous intime me semble plus approprié si on veut s’approcher de ce que c’est vraiment ». Le principe de la conversation, au compte goutte, s’impose dès lors tout naturellement.

Un dispositif

A toute monstration classique, Honoré d’O a préféré la conception d’un dispositif apte à susciter le colloque singulier. Les portes de la salle d’exposition sont closes. Un premier sas d’entrée nous décontamine de toute idée reçue. Au sol, sur un fragile monticule de sable, Honoré d’O projette un film conçu pour l’occasion, manipulant une œuvre d’Adolphe Beutler, un artiste fréquentant le Kunstwerkstatt Mosaik de Berlin, diffractant l’image de l’oeuvre en spirale (une goutte logicielle) et en mosaïque. Dans la pénombre de l’espace d’exposition, sur une vaste ellipse de sable, est posé un meuble de bois et de métal, conçu avec la complicité de Peter De Blieck. Le meuble, agencement strict, sobre et minimal, combine pupitre et table, guéridons et cases de rangement. Deux points de lumière concentrent le regard sur le pupitre et le lieu des conversations. Chaque jour, une nouvelle œuvre de la collection est posée sur le lutrin, chaque jour un hôte bénévole accueille le visiteur pour une conversation autour de l’œuvre exposée. L’installation, privilégiant le dévoilement d’une œuvre isolée, questionne la qualité de la rencontre avec celle-ci. Aux visiteurs de découvrir qui les accueillera pour partager leurs lectures des œuvres exposées. Au compte-goutte donc.

Inévitablement, je repense à la leçon de Jacques Rancière, au spectateur émancipé. Le protocole mis en place par Honoré d’O opte résolument pour une situation communielle. Et l’émancipation commence lorsqu’on remet en question l’opposition entre regarder et agir. « Etre spectateur, écrit Rancière, n’est pas la condition passive qu’il nous faudrait changer en activité. C’est notre situation normale. Nous apprenons et nous enseignons, nous agissons et nous connaissons aussi en spectateurs qui lient à tout instant ce qu’ils voient à ce qu’ils ont vu et dit, fait et rêvé. Il n’y a pas plus de forme privilégiée que de point de départ privilégié. Il y a partout des points de départ, des croisements et des nœuds qui nous permettent d’apprendre quelque chose de neuf, si nous récusons premièrement la distance radicale, deuxièmement la distribution des rôles, troisièmement les frontières entre les territoires ». Au MAD, chaque jour, entre l’œuvre, l’hôte et le spectateur, il n’y a plus de distance radicale, il y a une distribution des rôles à chaque moment réévaluée, il n’y a qu’un territoire : celui d’une œuvre singulière et d’une large ellipse aux innombrables grains de sable.

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Jacques Halbert, Repeat / Repeat (1)

Jacques Halbert

Jacques Halbert
Free floating canvas, 2008
Huile sur toile souple, 330 x 50 cm

Jacques Halbert

Jacques Halbert

Jacques Halbert
Cherry lips, 1975
Acrylique sur reproduction d’art, 23 x 17 cm
Sur un portrait de Jeanne Samary par Pierre Auguste Renoir, 1877.

Jacques Halbert

Jacques Halbert

Jacques Halbert

Jacques Halbert
Cherry lips, 1975
Acrylique sur reproduction d’art, 23 x 17 cm

Jacques Halbert

Jacques Halbert

Jacques Halbert
Cherry lips, 1975
Acrylique sur reproduction d’art, 23 x 17 cm
Sur une reproduction de « Garçon soufflant sur une braise pour allumer une bougie, El Greco, 1570-1572

Jacques Halbert

Jacques Halbert
Cherry lips, 1975
Acrylique sur reproduction d’art, 23 x 17 cm

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Marie Zolamian, Repeat / repeat (2)

Marie Zolamian

Entre déni et fantasme, 2012, 24 min. 56 sec.
Birzeit, Palestine.

Marie Zolamian

« La consommation d’eau chez les agriculteurs et les éleveurs dans la zone C* est estimée à moins de 30 litres par habitant et par jour, bien en dessous des 100 litres des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Par comparaison, les colonies israéliennes consomment environ 270 litres par habitant et par jour.
[…] Les faibles précipitations ont également donné lieu à des ménages ne pouvant remplir les citernes qu’à un tiers de la capacité disponible, les obligeant à acheter des grandes quantités d’eau en citerne, qui est jusqu’à trois à quatre fois plus cher que l’eau fournie par le réseau d’eau.
Ce qui aggrave également le problème, c’est la démolition de citernes par les autorités israéliennes en raison de l’absence de permis de construire. De janvier 2010 à ce jour, 44 citernes (principalement pour la récolte des eaux de pluie) et 33 puits ont été démolies, dont la moitié a été enregistrée cette année seulement (20 citernes et 15 puits en 2011) affectant près de 14.000 personnes, dont la moitié sont des enfants. La plupart des structures démolies en 2011 ont été les principaux moyens de subsistance de familles les plus vulnérables en Cisjordanie, les poussant plus profondément dans la pauvreté.
[…] La zone discriminatoire et le régime de planification qui régit les communautés palestiniennes vivant dans ces régions, mis en œuvre par l’Administration civile israélienne (ACI), devient évident lorsqu’on le compare à la répartition des ressources en eau prévu pour les colonies israéliennes situées dans les mêmes zones. Par exemple, environ 9.400 colons israéliens vivent dans la région de la vallée du Jourdain, et consomment environ 45 millions de mètres cubes d’eau par an. C’est presque un tiers de la quantité d’eau allouée aux 2,5 millions de Palestiniens vivant en Cisjordanie. »

* La zone C couvre 72% de la Cisjordanie mais elle est peu peuplée (90 % de la population cisjordanienne vit dans les zones A et B). Le gouvernement israélien conserve l’entière maîtrise de la zone, occupée essentiellement par des colonies.

Source : Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires du territoire palestinien occupé, moniteur mensuel humanitaire, juillet 2011.

Foisonnant, le travail de l’artiste s’exprime encore à travers deux films réalisés dans le cadre de sa résidence en Palestine, dans la localité de Birzeit, au nord de Ramallah. Le premier, minimaliste et contemplatif, est un long plan fixe sur une tasse en verre dans laquelle miroite une myriade de pigments dorés en suspension dans l’eau. La lumière du jour, d’abord éclatante, puis de plus en plus diffuse et bleutée, accompagne le mouvement des particules en une chorégraphie infinie et extasiée. Des éléments au tout, le regard bascule puis se perd, noyé à son tour par la densité. d’un monde en soi. Si la problématique de l’eau en Palestine y est suggérée, Between fantasy and denial invite aussi à d’autres lectures, aussi polyphoniques et diverses que la constellation qui s’y déploie. (Benoît Dussart, dans l’Art Même)

Marie Zolamian

En contrepoint du film, une longue table, recouverte de dessins. Des planches, des tables, un atlas. Nous feuilletons l’œuvre à loisir, laissant divaguer notre « volonté de savoir », il nous est possible d’en arpenter les bifurcations en tous sens, « moyennant quoi, précise Didi-Huberman, nous ne refermons le recueil de planches qu’après avoir cheminé un certain temps, erratiquement, sans intention précise, à travers son dédale, son trésor ». Celui-ci est d’ocre et d’eau, de rivages et d’or sous le ciel bleu, un atlas, « un prétexte pour enraciner dans la trame du temps nos rêves faits de l’âme du monde » pour reprendre les mots de Maria Kodama à propos de l’Atlas de Borgès.
Les dessins sont de gouache et d’eau, certains sur Caravelle Vélin supérieur. Tous se nomment « Mer Morte ».

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Mer morte, 2013
Gouaches sur papier 21 x 13,5 et 23,5 x 16,5 cm

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Mer morte, 2013
Gouaches sur papier 21 x 13,5 et 23,5 x 16,5 cm

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Mer morte, 2013
Gouaches sur papier 21 x 13,5 cm

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Mer morte, 2013
Gouaches sur papier 21 x 13,5 et 23,5 x 16,5 cm

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Marie Zolamian, Repeat / repeat (1)

Marie Zolamian

Marie Zolamian
A servir, 2013 (1)
gouache sur papier sténo, 21 x 13,5 cm

Marie Zolamian

Marie Zolamian
A servir, 2013 (2)
gouache sur papier sténo, 21 x 13,5 cm

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Poussière du lac Rose, 2013
Crayon de couleur sur papier sténo, 21 x 13.5 cm.

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Checksi, 2013
Gouache sur papier, 25.5 x 17.7 cm.

Marie Zolamian

Marie Zolamian
Checksi, 2013
Gouache sur papier, 25.5 x 17.7 cm.

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Jacqueline Mesmaeker, Repeat/Repeat, Versailles avant sa construction

Jacqueline Mesmaeker

Jacqueline Mesmaeker
Versailles avant sa construction, 1980
Photographie NB, encadrement, cartel.

Georges Roque écrit à propos de « Versailles avant sa construction » :

La galerie ERG (rue de la Régence, Bruxelles) a présenté du 26 mars au 9 avril 1981 un travail de Jacqueline Mesmaeker : Versailles avant sa construction.
Une autre manière de voir un paysage, de lui donner un titre, avant de fixer son image, de l’encadrer.
Exposition minimaliste ? Sans doute, mais aussi transparente tout comme les précédents travaux (Les Oiseaux, 1978). La mémoire des images reçues de Versailles s’y superpose forcément, invitant le spectateur à ajouter de lui-même les grands bassins, les axes, la perspective, les statues, le Trianon, voire le Grand Palais. Or l’image ne montre qu’un de ces paysages typiques qui jalonnent les autoroutes de l’Île-de-France. Sans le titre et sa puissance évocatrice – Versailles – le spectateur n’y verrait qu’un champ et trois masses d’arbres dont la plus lointaine, à peine visible, pourrait pourtant figurer le fantôme brumeux d’une bâtisse royale, ou tout simplement la suggestion de son emplacement.
Que serait-elle, cette image, sans son cadre doré et le passe-partout, plage ivoire, creusé à l’emplacement du titre ?
Image démultipliée à différentes échelles, depuis la carte postale jusqu’à l’agrandissement monumental accroché sur une vitre et laissant apparaître sur ses côtés – au-dehors – les façades d’une ruelle. Exposition du vide, du peu, mais combien chargée d’évocations, d’invitations à se remémorer l’histoire, ou à la réinventer, pour soi, par jeu.
Mais pourquoi la répétition en différents formats, s’il est vrai que l’idée s’impose, évidente, dès le premier coup d’oeil au premier montage ?
C’est peut-être que, en changeant d’échelle, l’image évoque différemment, autrement, au long d’un parcours qui s’effectue comme à rebours, puisqu’il nous faut, à la fin de la visite, repasser devant les petits formats, jetant un dernier regard à Versailles avant sa construction, avant que l’image, s’estompant, il n’en reste plus que le souvenir.

Jacqueline Mesmaeker

« Versailles avant sa construction » a été précédemment montrée lors de deux expositions personnelles : « L’Or Cadre. Le Nôtre avant la lettre », Galerie ERG, Bruxelles, 1981 et « Versailles après sa Destruction, et plus, Villa Mariani, Solre le Château, 1998 (Commissaire Jacqueline Gueux). Ainsi que lors de trois expositions collectives : Une « Archéologie dans une autre Archéologie », Ateliers du Grand-Hornu, Hornu, 1980
(Commissaire Jean-Pierre de Roo), « Het Landschap », ICC, Anvers, 1981 (Commissaire Flor Bex), Uzès danse 2002, Hôtel des Consuls, Uzès, 2002

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Agenda Septembre 2013

Olivier Foulon
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept

Jacques Halbert
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept
– Candes Saint Martin (F), Cerises sur le château, château de Candes, jusqu’au 15 sept.
– Blois (F), exposition inaugurale de la Fondation du Doute, du 5 avril au 29 septembre.
– Chinon (F), Drolatique, exposition collective, musée de Chinon, jusqu’au 15 sept.
– Paris (F), Grigri fétiches, Atelier des Vertus, du 26 sept au 13 oct

Honoré d’O
– Antwerpen (B), Het karakter van een collectie, Muhka, du 7 juin au 6 octobre.

Eleni Kamma
– Thessaloniki (Gr), The Mediterranean experience: The Mediterranean as a spatial paradigm for circulation of ideas and meaning, Macedonian Museum of Contemporary Art, 16 sept-31 dec.
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept

Suchan Kinoshita
– Oud Rekem (B), Here is always somewhere else, Kasteel d’Aspremont-Lynden, 4 août – 29 septembre 2013
– Moscou (Ru), « More light », 5e Biennale de Moscou, 20 sept – 20 oct.

Aglaia Konrad
– Metz (F), Centre Pompidou, Vues d’en haut, jusqu’au 7 octobre.
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept
– Istanbul (Tu), Şen Bilge, Kadir Has Üniversitesi, Cibali, 14 sept – 20 oct.
– Aalst (B), Netwerk, Diffractions of Destroyed Design, 15 sept – 17 nov.

Sophie Langohr
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.
– Douai (F), Hybride, Ancien Hôpital général, 14 sept – 6 oct
– Geel (B), Middle Gate Geel, Halle et autres lieux, 29 sept – 22 dec (curator Jan Hoet)

Jacques Lizène
– Blois (F), exposition inaugurale de la Fondation du Doute, du 5 avril au 29 septembre.
– Antwerpen (B), Het karakter van een collectie, Muhka, du 7 juin au 6 octobre.
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.

Capitaine Lonchamps
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.

Emilio Lopez Menchero
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.
– Liège, Qui barre démarre, Space, En Féronstrée, vernissage le 19 sept

Jacqueline Mesmaeker
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.
– Oud Rekem (B), Here is always somewhere else, Kasteel d’Aspremont-Lynden, 4 août – 29 septembre 2013

Benjamin Monti
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept
– Liège (B), Anonymes ? Gravures anciennes réinterprétées par Benjamin Monti, Université de Liège, galerie Wittert, du 28 sept au 25 jan 2014.
– Carjac (F), Centre Georges Pompidou, Alternatives, Bandes dessinées contemporaines, 22 sept – 17 novembre

Pol Pierart
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept
– Montbéliard (F), Trois fois rien, le 19, CRAC Montbéliard, du 14 sept. au 24 nov. 2013

Eran Schaerf
– Antwerpen (B), Het karakter van een collectie, Muhka, du 7 juin au 6 octobre
– Berlin (D), Akademie des Kunst, Disorder of appearence (solo), du 21 sept. au 3 nov.

Valérie Sonnier
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.

Walter Swennen
– Lisboa (P), Fondation Culturgest, du 22 juin au 8 septembre (solo)
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.

Raphaël Van Lerberghe
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 29 sept.

Marie Zolamian
– Liège (B), Repeat, galerie Nadja Vilenne, du 30 juin au 8 sept.
– Oud Rekem (B), Here is always somewhere else, Kasteel d’Aspremont-Lynden, 4 août – 29 septembre 2013

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