Michel Assenmaker Firenze, 2023 Collage, 17,5 x 23,5 cmMichel Assenmaker Sans titre, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Sans titre, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Blumen, 2022 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Berthe, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cmJacqueline Mesmaeker Séquence II, 2020 Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.Jacqueline Mesmaeker Séquence II, 2020 Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.Jacqueline Mesmaeker Séquence II, 2020 Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.Jacqueline Mesmaeker Séquence II, 2020 Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.Jacqueline Mesmaeker Séquence II, 2020 Photographies couleurs, impression pigmentaire sur papier archivable, 42 x 29,7 cm.
Valérie Sonnier Le bassin des Beaux-Arts (I), 2024 Fusain et acrylique sur papier coréen, 150 x 210 cmValérie Sonnier Le bassin des Beaux-Arts (II), 2024 Fusain et acrylique sur papier coréen, 150 x 210 cm
Jean Auguste Dominique Ingres, Jacques-Louis David, Charles Garnier, Géricault, Jean-Baptiste Carpeaux, André Dunoyer de Segonzac, Brancusi, César, Delacroix, Henri Matisse, André Masson, Gustave Moreau se sont certainement promené par ici. François Mansart, Charles Lebrun ou André Le Nôtre aussi. Tous trois ont participé à l’embellissement des lieux. Nous sommes dans le jardin de l’Hôtel de Chimay, propriété de l’École des Beaux-Arts de Paris, là même où Valérie Sonnier enseigne le dessin morphologique depuis 2003. Il était logique, voire attendu, qu’elle se mette un jour en quête de l’esprit des lieux.
John Murphy In their own dark, 2015 Photocopy, gouache, pen and ink on board, 46 x 54 cm
John Murphy s’est également intéressé aux dessins des Tiepolo et à la figure même de Pulcinello, cette collection de personnages, car Pulcinello est multiple et même nombreux, tout en étant, en quelque sorte, qu’une seule existence qui mange des gnocchis et fait des lazzis, toutes ces sortes de plaisanteries burlesques, grimaces et gestes grotesques. Déjà en 2006, alors qu’il fait sienne cette image extraite de La Grande Bouffe, la « grande abbuflata », de Marco Ferreri (1973), séminaire gastronomique et suicide collectif de quatre hommes fatigués de leurs vies ennuyeuses et de leurs désirs inassouvis et qui bouffent dès lors jusqu’à ce que mort s’ensuive, John Murphy rapproche ce plan où l’on voit Ugo Tognazi s’apprêtant à donner la pâtée à Michel Piccoli de quelques dessins des Tiepolo, père et fils, Giambattista et Giandomenico : des Pulchinello masqués, ventrus, pansus, bossus, constamment occupés à cuisiner des gnocchis, à les manger, à les digérer, à les déféquer. Plus récemment, John Murphy a sélectionné une série des dessins de la vie de Pulcinello, ce divertissement pour les jeunes gens. Tout l’art de Murphy consiste à rassembler une constellation de signes révélateurs d’une expérience poétique. Il dialogue sans cesse avec des œuvres existantes provenant pour la plupart d’un corpus littéraire, pictural, cinématographique. En ce cas, il a fait des copies de certains de ces dessins de Giandomenico Tiepolo et les a masqué, les recouvrant du sfumato d’une couche de gouache blanche. Ensuite, à la plume, il a retracé les motifs sous-jacents qui l’intéressent, comme s’il désirait nous révéler le secret de Polichinelle, sans aucun doute Pulchinello lui-même, affublé de son masque, doté de son gros nez crochu, portant sur la tête un étrange chapeau, sommet de sa difformité, revêtu de son costume blanc et spectral, confondu à la gouache, personnage grotesque, touchant et effrayant à la fois, sans cesse au bord de la chute entre une invivable tragédie de la destinée et le comique des situations, la comédie comme inéluctable répétition du caractère. A la fois, Murphy ravive le souvenir des dessins de Domenico Tiepolo, les révèle et s’en écarte, les efface, ne conservant que ce qu’il estime nécessaire à son propos. La compagnie des polichinelles s’affaire et s’agite, se montre du doigt. Rien pourtant n’empêchera la perte, la chute, la fin en soi. Le sublime et le grotesque se côtoient, l’un et l’autre évoquent la finitude de la condition humaine, ce dévalement de la vie qui se dissout dans la multiplicité et l’affairement.
Jacques Lizène Art syncrétique [1964], sculpture génétique [1971] en remake 2011. Statue fétiche africaine croisée copie inspirée d’antique. résine, bois, 85 x 15 x 15 cm / sur colonne : 165 cmLoïc Moons Sans titre, 2023 Huile sur toile, 101 x 81 cmJacques Lizène Art syncrétique [1964], sculpture génétique [1971] en remake 2011. Statue fétiche africaine croisée copie inspirée d’antique. résine, bois, 85 x 15 x 15 cm / sur colonne : 165 cmJacques Lizène Entassement de toiles d’après un projet de 1970 à placer dans un coin, peinture nulle et non-communicative, 177 x 77 cm, 1988.Jacques Lizène Nature morte à la maladresse [1974], en remake 2010 Photographie NB, vin rouge, moulures, 70 x 70 cmJacques Lizène Nature morte à la maladresse [1974], en remake 2010 Photographie NB, vin rouge, moulures, 70 x 70 cm
Aglaia Konrad I love Rückbau, 2020 Video, color, sound, flatscreen, 16:9 vertical, 19 min.
Aglaia Konrad Footnote 1. CAT, 2020 Digital print, clip frame, 42 × 30 cm
Aglaia Konrad Footnote 3. Concrete, 2020 Digital print, clip frame, 42 × 30 cm
Aglaia Konrad Footnote 2. Rückbaukristall, 2015 Digital print, clip frame, 42 × 30 cmMichiel Ceulers “Your clock will never fade like a flower (ah non je ne fais plus ça)”, 2024 oil, gloss, spray paint, wooden pieces, perspex, collage on canvas and wooden panel 60 × 103 cmSuchan Kinoshita Hängen Herum No. 5/6, 2023 metal, JBL flip essential, son
John Murphy Selected works #2, #3, #6, #23, 1973 musical partitions, vitrine, h.99 cmJacqueline Mesmaeker Contours clandestins, 2020 crayon sur papier, (10) x 42 x 29,7 cmAglaia Konrad Shaping Stones, 2023 Impression sur bâcheExhibition viewAlevtina Kakhidze Sans titre, 2023 technique mixte sur papier, 20,5 x 15 cm, 2023Michiel Ceulers Immer Realistischere Malerei / Je cherche quelqu’un, 2024 Oil, acrylic and acrylic mirrors on canvas in found frame, 64 x 52 cm (4500) Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Michel Assenmaker Florence Delay, 2022 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker Blumen, 2022 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker Sans titre, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
Michel Assenmaker Berthe, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cmJohn Murphy Portrait of the Artist as a Deaf Man, 1996 Framed photographic print, 70 x 60 cmMichiel Ceulers Pierre, Jacques et Jean endormis (thirty pieces of silver running away), 2024 Oil, spray paint, pigment and caulk on canvas / artist made frame; oil & caulk on canvas on wood, staples, 88 x 77 cm
Drawing by numbers. Sur un drap installé comme un abri précaire,Alevtina Kakhidze dessine, un par un, le nombre de jours de guerre écoulés depuis le premier jour de l’invasion russe en Ukraine. Nous sommes le 27 Avril 2024 et c’est le le 750 neuvième jour de guerre.
Contours réalisés à l’aide d’ustensiles divers (des jouets, des instruments trouvés, des outils de cuisine) dessinés tels quels ou en combinatoires, renvoyant aux images élémentaires des livres à colorier. Les tracés ne se discernent que difficilement ; ils sont à chercher comme des oeufs de Pâques. Certains de ceux-ci ont été dessinés sur les murs lors d’une exposition à Marseille en 2020. Dix dessins au crayon, format 42 x 29,7 cm
Michel Assenmaker Sans titre, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cmMichel Assenmaker Blumen, 2022 Collage, documents, 37,5 x 47 cmMichel Assenmaker Florence Delay, 2022 Collage, documents, 37,5 x 47 cm Michel Assenmaker Sans titre, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cmMichel Assenmaker Berthe, 2021 Collage, documents, 37,5 x 47 cm
John Murphy Portrait of the Artist as a Deaf Man, 1996 Framed photographic print, 70 x 60 cm John Murphy Selected works #2, #3, #6, #23, 1973 musical partitions, vitrine, h.99 cm
One of ltalo Calvino’s ‘Six Memos for the Next Millenium’ is concerned with the question of ‘lightness’. Quoting the De Rerum Natura of Lucretius, he muses on the idea that knowledge of the world tends to dissolve its solidity, leading to a perception of ail that is infinitely light and mobile. He talks, too (for these essays were conceived as lectures), of ‘the sudden agile leap of the poet-philosopher who raises himself above the weight of the world, showing that with all his gravity he has the secret of lightness. Lucretius, he tells us, is a poet of the physical and the concrete, who nonetheless proposes that emptiness is as dense as solid matter. Just so, as lightness is inseparable from precision and determination. ‘One should be light like a bird, and not like a feather’, said the poet Paul Valéry.
If lightness has to do with the subtraction of weight, then this body of work by John Murphy is light. Several of these canvases carry merely the delineation of an ear; the others refer to the state of being that remains when all weight has been removed. ‘Selected Works’, blank music paper bound and displayed in vitrines, push that liminal state a step further into the unknown, for they exist in a permanent state of potentiality, somewhere between birth and death.
A point of entry into this weightless world may be through ‘A Portrait of the Artist as a Deaf Man’, a recent work based on a painting by Sir Joshua Reynolds. To those who are in possession of all their senses, the condition of deafness, like that of blindness, can suggest both isolation and an acute awareness of an inner world. ln conjunction with ‘Selected Works’, are we to suppose that the artist, within himself, hears echoes of Baudelaire’s « La Musique », which was inspired by the work of the deaf composer, Beethoven? (‘l feel all the passions of a groaning ship vibrate within me, the fair wind andthe tempest’s rage cradle me on the fathomless deep- or else there is a fiat cairn, the giant mirror of my despair’). But perhaps he can hear nothing at all?
There is solitude in John Murphy’s work, as well as a little irony and a touch of the comic. (Calvino, again, remarks that ‘melancholy is sadness that has taken on lightness. Humour is comedy that has lost its bodily weight’). The space in these paintings is unidentifiable; it is neither close nor distant. So, too, is their colour, which is poised but unstable. Pink passes into blue; blue passes into pink.
Music and the metaphysical are seldom far apart. It is in and through music that many of us feel most intimately in the presence of meaning that cannot verbally be expressed. Murphy’s ‘Selected Works’ are either so full of meaning that they are inexpressible or, quite plainly, they have never existed. Like his paintings, the ‘Selected Works’ invoke the aesthetics of the sublime; they present the unpresentable to demonstrate that there is something conceivable which is not perceptible to the senses. The experience of the sublime, according to Kant, accords us simultaneous grief and pleasure, because it both opens and conceals. The sublime impedes the beautiful; it destabilizes good taste.
Francois Lyotard, who has written about a connection between the aesthetics of the sublime and postmodernism, suggests that it is the business of contemporary culture to invent allusions to the conceivable that cannot be presented – not to enjoy them but to impart a new sense of the unpresentable. Calvino makes a comparable point, more wonderfully. ‘Think what it would be like to have a work conceived from outside the self, he writes, ‘a work that would let us escape the limited perspective of the individual, not only to enter into selves like our own but to give speech to that which has no language, to the bird perching on the edge of the gutter, to the bee in spring and the tree in fall, to stone, to cement, to plastic… ‘. John Murphy conveys to us the activity of absence – its force and inner vitality.
By titling her exhibition “Architectural Psychodramas,” Suchan Kinoshita effectively provides the salient keywords that lead to a possible mode of reception. Kinoshita invariably eschews fixed categories and definitions; she loves the changeable and the speculative. For her, architecture is built space, environmental space that influences us, but also some- thing that we shape. “Psychodramas,” experiences, memories and emotions stick to it, but without necessarily congealing; they remain changeable. This understanding of time and space, replete with the subject-object groupings and contexts of meaning that are constantly updated within it, also resonates recognizably in her background in music and performance art. The individual elements in the exhibition are not given one single role or meaning. Rather, it is about their “potential as objects,” as Eran Schaerf described it in the catalogue for Kinoshita’s exhibition at Museum Ludwig, Cologne (2010). As a result, there are countless connections to be discovered between the totality of the assembled elements, which coalesce and condense in a number of themes and ideas, no sooner to jump into another context once more. (…)
Suchan Kinoshita produce sounds with the help of birdcalls. She presents them via instruments, made with by hand and with incredible creativity, in a kind of aviary, thus also adhering to the principle of granting a physical presence to the acoustic components of the exhibition. These objects, too, are architectures in Kinoshita’s understanding, since they form a dwelling place for sound. And this brings us back to the never-ending topic of change- ability: when Kinoshita deploys birdcalls, it is by no means to imitate them. Instead, it is about the creation of something new. Just as it is with every memory, every object, every word.
Kristina Scepanski, introduction to the exhibition « Architektonische Psychodramen » Westfälischer Kunstverein, 2022.
Michiel Ceulers “YOUR CLOCK WILL NEVER FADE LIKE A FLOWER (AH NON JE NE FAIS PLUS ÇA)” oil, gloss, spray paint, wooden pieces, perspex, collage on canvas and wooden panel 60 × 103 cmMichiel Ceulers Pierre, Jacques et Jean endormis (thirty pieces of silver running away), 2024 Oil, spray paint, pigment and caulk on canvas / artist made frame; oil & caulk on canvas on wood, staples, 88 x 77 cmMichiel Ceulers Immer Realistischere Malerei / Je cherche quelqu’un, 2024 Oil, acrylic and acrylic mirrors on canvas in found frame, 64 x 52 cm
Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)
Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)Benjamin Monti Sans titres, de la série Miniatures, 2020 – 2022. Collages de photocopies, 9 x 9 cm (encadrés 25,5 x 18,5 cm)